Depuis la fin avril, les forces de sécurité mauritanienne ont arrêté des dizaines de personnalités religieuses, politiciens de l'opposition et activistes, soi-disant dans le cadre d'une campagne pour réprimer les mouvements terroristes en Mauritanie. Le gouvernement a récemment libéré la totalité des personnes arrêtées, un geste qui coïncide avec l'annonce des élections présidentielles prévues pour le 7 novembre prochain. Ces personnes font cependant toujours face à un procès suite à une inculpation pour trahison non-fondé.
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