DÉCLARATION PUBLIQUE
Le 9 novembre 2005, la plus haute juridiction pénale à Vienne a fait connaître sa décision dans la procédure pénale engagée contre six policiers, trois auxiliaires médicaux et un médecin inculpés d’homicide involontaire en relation avec la mort, le 16 juillet 2003, du ressortissant mauritanien Cheibani Wague. Le médecin et un des policiers ont été condamnés à une peine de sept mois d’emprisonnement avec sursis ; les autres accusés ont été acquittés. Amnesty International avait à maintes reprises fait part de sa vive préoccupation au sujet des circonstances entourant la mort de Cheibani Wague, survenue alors qu’il était immobilisé par des policiers et des auxiliaires médicaux, ainsi qu’au sujet du retard pris dans la tenue d’une enquête indépendante et impartiale en vue de déférer à la justice les personnes soupçonnées d’être responsables de ce décès.
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Le 9 novembre 2005, la plus haute juridiction pénale à Vienne a fait connaître sa décision dans la procédure pénale engagée contre six policiers, trois auxiliaires médicaux et un médecin inculpés d’homicide involontaire en relation avec la mort, le 16 juillet 2003, du ressortissant mauritanien Cheibani Wague. Le médecin et un des policiers ont été condamnés à une peine de sept mois d’emprisonnement avec sursis ; les autres accusés ont été acquittés. Amnesty International avait à maintes reprises fait part de sa vive préoccupation au sujet des circonstances entourant la mort de Cheibani Wague, survenue alors qu’il était immobilisé par des policiers et des auxiliaires médicaux, ainsi qu’au sujet du retard pris dans la tenue d’une enquête indépendante et impartiale en vue de déférer à la justice les personnes soupçonnées d’être responsables de ce décès.
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