
Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’opposition vit mille et une contradictions. Dernier exemple en date de cette situation : l’entêtement de certains de ses dirigeants à vouloir comparer la situation de notre pays avec celle de la Tunisie ou d’autres Etats de la sous région arabe ou africaine.
Comparer la Mauritanie à ces pays, c’est vouloir tromper l’opinion nationale par des déclarations fallacieuses. En effet, si les tunisiens ont mené une révolution contre un régime policier qui les a tenu d’une main de fer depuis plusieurs décennies, ce n’est pas le cas ici en Mauritanie.
En effet, dans notre pays la révolution a eu lieu depuis l’arrivée au pouvoir de l’actuel président Mohamed Ould Abdel Aziz. En effet, personne ne peut soutenir que la démocratie n’existe pas aujourd’hui en Mauritanie.
Personne n’a besoin de grosses lunettes pour se rendre compte que les institutions de la démocratie marchent normalement chez nous et que les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire sont séparés et aucun d’eux n’interfère sur les prérogatives de l’autre.
De même, la liberté d’expression est garantie pour tous. Les journalistes écrivent ceux qu’ils veulent en toute liberté et sans qu’il en soit inquiétés un seul instant. La censure n’existe pas chez nous. De même les parlementaires, de l’opposition critiquent vertement l’action du gouvernement sans qu’ils soient censurés par les médias publics.
Les chefs de file des partis de l’opposition se voient autorisées toute manifestation publique qu’ils souhaitent organiser. Ils utilisent ces tribunes pour exprimer leur opinion en toute liberté. Il est donc moralement malhonnête de profiter de tout cet espace pour encore dire des contre vérités consistant à signifier qu’il n’existe pas de liberté ou de vouloir comparer notre pays aux Etats où les bouches sont muselées et où les partis sont réduits à leur plus simple expression.
La révolution menée par des peuples frères comme la Tunisie voisine, pour survivre a été déjà entamé par notre peuple depuis de nombreuses années. Nous en sommes plus à ce stade. Par ailleurs, la famine et la misère qui constituent des terreaux fertiles aux dérapages et à la surenchère ne sont pas présentes chez nous. Aujourd’hui, le gouvernement a mené plusieurs politiques sociales visant à alléger les souffrances des populations notamment les couches les plus défavorisées.
Ainsi , des actions concrètes sont menées en faveur des plus pauvres notamment dans le domaine de la santé où trois hôpitaux de type A ont été construit à Nouakchott (hôpital de Arafatt, hôpital d’oncologie, et hôpital de la Mère et de l’enfant), de l’éducation où un accent particulier est accordé aux enseignants et où des Etats généraux de l’éducation seront tenus dans les tous prochains mois et dans le domaine des infrastructures avec la construction de plusieurs kilomètres de routes, à Nouakchott et à l’intérieur du pays, avec l’approvisionnement en eau (les terribles pénuries d’eau qui frappaient Nouakchott ne sont plus que de vieux souvenirs…), la fourniture de l’électricité désormais disponible dans tous les quartiers périphériques de la capitale.
Sans compter les efforts remarquables dans le domaine de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme qui ont visiblement donné leurs fruits, sans compter également, les politiques menées en matière des prix notamment pour ce qui concerne les denrées de première nécessité avec l’ouverture de nombreuses boutiques dans les quartiers de Nouakchott.
Comment avec tous ces acquis peut-on se permettre de se hasarder à faire la comparaison entre notre pays et d’autres Etats loin dernière nous. C’est qu’en réalité, dans les rangs de l’opposition toutes les occasions sont bonnes pour tirer à boulets rouges contre le régime en place. C’est peut être de bonne guerre, mais lorsque l’intérêt supérieur de la nation est en jeu, il est nécessaire de ranger toutes les susceptibilités de côté et de défendre avec bec et ongles la Mauritanie qui appartient à tous ses fils.
La rédaction
Source: levéridique
Comparer la Mauritanie à ces pays, c’est vouloir tromper l’opinion nationale par des déclarations fallacieuses. En effet, si les tunisiens ont mené une révolution contre un régime policier qui les a tenu d’une main de fer depuis plusieurs décennies, ce n’est pas le cas ici en Mauritanie.
En effet, dans notre pays la révolution a eu lieu depuis l’arrivée au pouvoir de l’actuel président Mohamed Ould Abdel Aziz. En effet, personne ne peut soutenir que la démocratie n’existe pas aujourd’hui en Mauritanie.
Personne n’a besoin de grosses lunettes pour se rendre compte que les institutions de la démocratie marchent normalement chez nous et que les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire sont séparés et aucun d’eux n’interfère sur les prérogatives de l’autre.
De même, la liberté d’expression est garantie pour tous. Les journalistes écrivent ceux qu’ils veulent en toute liberté et sans qu’il en soit inquiétés un seul instant. La censure n’existe pas chez nous. De même les parlementaires, de l’opposition critiquent vertement l’action du gouvernement sans qu’ils soient censurés par les médias publics.
Les chefs de file des partis de l’opposition se voient autorisées toute manifestation publique qu’ils souhaitent organiser. Ils utilisent ces tribunes pour exprimer leur opinion en toute liberté. Il est donc moralement malhonnête de profiter de tout cet espace pour encore dire des contre vérités consistant à signifier qu’il n’existe pas de liberté ou de vouloir comparer notre pays aux Etats où les bouches sont muselées et où les partis sont réduits à leur plus simple expression.
La révolution menée par des peuples frères comme la Tunisie voisine, pour survivre a été déjà entamé par notre peuple depuis de nombreuses années. Nous en sommes plus à ce stade. Par ailleurs, la famine et la misère qui constituent des terreaux fertiles aux dérapages et à la surenchère ne sont pas présentes chez nous. Aujourd’hui, le gouvernement a mené plusieurs politiques sociales visant à alléger les souffrances des populations notamment les couches les plus défavorisées.
Ainsi , des actions concrètes sont menées en faveur des plus pauvres notamment dans le domaine de la santé où trois hôpitaux de type A ont été construit à Nouakchott (hôpital de Arafatt, hôpital d’oncologie, et hôpital de la Mère et de l’enfant), de l’éducation où un accent particulier est accordé aux enseignants et où des Etats généraux de l’éducation seront tenus dans les tous prochains mois et dans le domaine des infrastructures avec la construction de plusieurs kilomètres de routes, à Nouakchott et à l’intérieur du pays, avec l’approvisionnement en eau (les terribles pénuries d’eau qui frappaient Nouakchott ne sont plus que de vieux souvenirs…), la fourniture de l’électricité désormais disponible dans tous les quartiers périphériques de la capitale.
Sans compter les efforts remarquables dans le domaine de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme qui ont visiblement donné leurs fruits, sans compter également, les politiques menées en matière des prix notamment pour ce qui concerne les denrées de première nécessité avec l’ouverture de nombreuses boutiques dans les quartiers de Nouakchott.
Comment avec tous ces acquis peut-on se permettre de se hasarder à faire la comparaison entre notre pays et d’autres Etats loin dernière nous. C’est qu’en réalité, dans les rangs de l’opposition toutes les occasions sont bonnes pour tirer à boulets rouges contre le régime en place. C’est peut être de bonne guerre, mais lorsque l’intérêt supérieur de la nation est en jeu, il est nécessaire de ranger toutes les susceptibilités de côté et de défendre avec bec et ongles la Mauritanie qui appartient à tous ses fils.
La rédaction
Source: levéridique