![Experts militaires français et mauritaniens en conclave à Nouakchott pour discuter de la sécurité régionale Experts militaires français et mauritaniens en conclave à Nouakchott pour discuter de la sécurité régionale](https://www.avomm.com/photo/art/default/1626116-2186505.jpg?v=1289453727)
Des experts militaires français et mauritaniens sont depuis lundi en conclave à Nouakchott où ils entament un dialogue bilatéral sur la sécurité dans la zone sahélo-saharienne, a constaté APA.
Le ministre mauritanien de l’intérieur, Mohamed Ould Boilil, a indiqué que cette zone est « marquée par la montée de menaces multiples susceptibles de porter atteinte à sa sécurité et à sa stabilité ».
Il a affirmé que « la Mauritanie a remporté des succès appréciables dans la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue, l’immigration clandestine et toutes les autres formes de criminalité ».
Mais pour lui, « la montée en puissance de ces phénomènes et leur caractère transfrontalier requièrent la mise en commun de tous les efforts afin de les endiguer ».
M. Boilil a prôné « une coopération efficiente à ce niveau ».
De son côté, l’ambassadeur de France en Mauritanie, Michel Vandepoorter, a expliqué que cette rencontre de 2 jours cherche à analyser et à évaluer les menaces pesant sur les pays de la région, citant la Mauritanie, le Mali et le Niger.
Selon lui, ces 3 pays partagent le danger d’instabilité découlant aussi bien du terrorisme, du trafic de drogue et d’armes que de l’immigration illicite.
Le diplomate français a considéré que les deux parties sont devant la perspective d’un « dialogue confiant extrêmement utile » et qu’elles vont voir qu’est ce qu’elles peuvent « faire de plus efficace en ayant à l’esprit la dimension régionale.
La Mauritanie a été récemment secouée par deux opérations terroristes revendiquées par la branche d’Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), à savoir l’assassinat d’un humaniste américain le 23 juin 2009 à Nouakchott et l’explosion d’un kamikaze à proximité de l’ambassade de France, le 8 août dernier, qui n’a pas fait de victime autre que le kamikaze lui-même.
Source: afriqueavenir
Le ministre mauritanien de l’intérieur, Mohamed Ould Boilil, a indiqué que cette zone est « marquée par la montée de menaces multiples susceptibles de porter atteinte à sa sécurité et à sa stabilité ».
Il a affirmé que « la Mauritanie a remporté des succès appréciables dans la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue, l’immigration clandestine et toutes les autres formes de criminalité ».
Mais pour lui, « la montée en puissance de ces phénomènes et leur caractère transfrontalier requièrent la mise en commun de tous les efforts afin de les endiguer ».
M. Boilil a prôné « une coopération efficiente à ce niveau ».
De son côté, l’ambassadeur de France en Mauritanie, Michel Vandepoorter, a expliqué que cette rencontre de 2 jours cherche à analyser et à évaluer les menaces pesant sur les pays de la région, citant la Mauritanie, le Mali et le Niger.
Selon lui, ces 3 pays partagent le danger d’instabilité découlant aussi bien du terrorisme, du trafic de drogue et d’armes que de l’immigration illicite.
Le diplomate français a considéré que les deux parties sont devant la perspective d’un « dialogue confiant extrêmement utile » et qu’elles vont voir qu’est ce qu’elles peuvent « faire de plus efficace en ayant à l’esprit la dimension régionale.
La Mauritanie a été récemment secouée par deux opérations terroristes revendiquées par la branche d’Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), à savoir l’assassinat d’un humaniste américain le 23 juin 2009 à Nouakchott et l’explosion d’un kamikaze à proximité de l’ambassade de France, le 8 août dernier, qui n’a pas fait de victime autre que le kamikaze lui-même.
Source: afriqueavenir