
L’expression retour à la légalité est évoqué depuis bientôt 4 mois au détour de débats, de manifestations et de rencontres informelles, sans être véritablement bien compris.
Ce combat pour le «retour a la légalité» oppose d’une part le FNDD, structure hétéroclite ou se retrouvent des progressistes, des démocrates, des anarchistes et bien sur de nombreux symboles de la corruption systémique et de la prévarication sous le petit pitre Ould Taya, et d’autre part, les eternels souteneurs des militaires qui, ne l’oublions pas, ont parrainé SIDIOCA.
En effet, si SIDIOCA est devenu populaire, ce n’est ni à cause du coup d’état, encore moins à cause des efforts qu’ils auraient fait en direction de la réconciliation nationale mais plutôt a cause des complicités savamment montées pour masquer les injustices horribles infligées aux mauritaniens. SIDIOCA a été bel et bien imposé et fabriqué par les militaires. Et malgré le respect que nous avons pour certains membres du FNDD, il faut reconnaitre que ces 2 camps ont deux choses en commun :
Primo, ils ont jusque là réussi a faire du «retour a la légalité» un fonds de commerce sur lequel se négocieront toutes les prochaines tromperies politiques et secundo ils sont arrivés à différer, avec brio même si c’est temporaire, les vraies préoccupations stratégiques relatives à la manière dont notre pays devrait fonctionner.
Quand le CMJD et ses alliés décidaient de vider la transition de ses questions vitales (Refugies, passif humanitaire, révision de fond en comble de la constitution), cette même opposition s’était sentie investie d’une mission pour sauver une « transition en dérive ». Le patron de l’UFP, l’historien et non moins politicien Mohamed Ould Maouloud, avait alors parlé de «risques de surcharge» à l’évocation, par les victimes et les vrais opposants, de la question relative au passif humanitaire. Ces Risques, disait-il, pourraient conduire le pays à d’éventuelles instabilités et à des confrontations sociales.
D’autres hommes politiques abonderont dans le même sens. C’est ainsi que le patron de Tawassoul appellera, plus tard, les mauritaniens à oublier le passé. Or, oublier le passé pour ceux qui n’ont pas une mémoire courte, c’est une invite à oublier systématiquement de 21 ans de crimes horribles et d’exils forcés de plusieurs cadres noirs, le tout jalonnés par des pillages de nos abondantes ressources.
Jemil Ould Mansour, oublie, que pour promouvoir la paix et la quiétude, il est impératif d’assumer le passé en optant à la promotion de valeurs de référence universelle pourtant prônées par l’Islam. Trop longtemps dépossédés de la parole et du choix, les victimes mauritaniennes ne pouvaient que rejeter ce discours irrationnel, provocateur et injuste venant d’un homme qui revendique, hic et nunc, son alignement sur les enseignements vertueux de l’Islam.
Bref. Ces agitations politiciennes étaient, à l’évidence, favorables au bâclage politique dénoncés en son temps; Elles n'etaient pas pour autant fortuite mais s’inscrivaient dans une stratégie d’accès au pouvoir. Les signes étaient là. Les actes suivirent. D’ailleurs, les semaines suivantes ces 2 partis seront au pouvoir foulant au pieds le sacro-saint principe de l'unite pour agir sur l'essentile qu'etait la question nationale : Histoire d’une RECOMPENSE pour services rendus aux militaires et à la composante arabe qui aura profité des discriminations infligées aux noirs, en général, et ce, pendant 21 ans.
Lancée dans une logique de collaboration, cette opposition aidera à disperser les énergies pour imposer des normes non contraignantes au pouvoir de l’époque l’orientant et l’aidant à bâcler tous les contentieux graves dépossédant les mauritaniens de leurs droits à demander des comptes.
En appuyant le pouvoir, cette opposition savait ce qu’elle faisait car elle comprenait bien qu’en agissant ainsi elle rendait service aux auteurs des crimes de sang et des crimes économiques qui se trouvent être les détenteurs du pouvoir politique, judiciaire et militaire pendant la transition vallienne. Et la voila aujourd'hui en train de defendre les principes d'une "democratie" qui aurait ete un exemple en Afrique!!!
Dans une position mitoyenne se hissait un parti, L’AJD/MR, toujours égale à elle-même continuera à assener ses VERITES. De l’époque du Professeur Alpha Diallo en passant par Mody Cisse jusqu'à son leader actuel Ibrahima Moktar SARR, l’AJD/MR résiste toujours à l’érosion, dans le discours politique, des grands contentieux qui gangrènent l’état mauritanien et dont la pertinence reste entière.
En effet, L’AJD/MR, elle, ne cessera, a travers des communiqués, des tête-à-tête, des déclarations, d’attirer l’attention des opinions nationale et internationale sur le couteau à double tranchant que représentait cette problématique liée d’une part, à notre incapacité a pouvoir a répondre aux vraies attentes, et d'autre part notre mépris à EVOQUER, à AGIR ET à ENGAGER un processus de réconciliation nationale digne du nom.
C’est fort de ce paradigme que L’AJD/MR déclinera officiellement les offres d’entrée au gouvernement, là où, d’autres partis et soi-disant partis, accepteront, armes et bagages, a siéger.
On comprend donc aisément, sauf par mauvaise foi manifeste et notoire, que la position de l’AJD/MR est ORIGINALE et COHERENTE et qu’elle se détache, avec force et pertinence, des schèmes traditionnellement admis par notre société politique et nos «intellectuels» qui appelle la société a l’uniformise abject.
Et force aussi, est d’admettre que, cette position découle de la maitrise, par l’AJD/MR et de son leader, des questions stratégiques qui se posent et qui, par leur résolution, détermineront le décollage économique et social de notre pays. Enfin, cette position est la conséquence même du degré de cohérence politique qui justifient l’émergence du parti et qui structurent, en même temps, ses modalités de fonctionnement.
Ainsi, a l’heure où on parle de sortie de crise, nous prévenons les opinions que la non prise en compte des revendications des noirs et leur banalisation (voila 48 ans) depuis notre «accession à la souveraineté internationale», serait encore une grande injustice contre les negro-mauritaniens qui, depuis au moins 1966, exigent la révision de la constitution discriminatoire et le règlement de toutes les inégalités qui structurent et fondent le fonctionnement de l’état en Mauritanie d’autant plus que la banalisation et l’ignorance de la question noire mauritanienne constituent un FAIT CONSTANT des gouvernements et de toutes les transitions politiques jusque là soutenues par la majorité des partis politiques et de l’opinion internationale.
Hélas, en observant intelligemment les tête-à-tête des différents émissaires et des différentes hautes personnalités qui viennent en Mauritanie, nous ne pouvons qu’être inquiets pour les noirs mauritaniens et pour l’avenir de la Mauritanie. Il nous semble évident que des solutions toutes faites sont déjà dans leurs cartables !!!!! Tous les soi-disant leaders arabes ont été visés et ont été reçus. Donc ils ont eu le privilège d’être écoutés. Aucun leader noir n’a été honoré d’un entretien.
Cette pratique est propice a une pérennisation de la situation calamiteuse dans laquelle les noirs se retrouvent depuis 48 ans. De telles pratiques venant de l’opinion internationale et des partenaires de la Mauritanie sont incompréhensibles mais surtout incompatibles avec les impératifs d’unité nationale et de réconciliation entre les noirs et les arabes.
Ces pratiques sélectives contribuent à déformer la réalité politique mauritanienne et à faire croire que la Mauritanie ne connait qu’un seul et unique problème : Celui du retour d’un président fabriqué a ses fonctions. Conséquemment cette sortie de crise pourrait encore être pipée et elle est partie pour se faire au détriment des revendications liées à la question grave de la cohabitation.
La prise en compte de cette question, longtemps mise en veilleuse par les pouvoirs racistes et leur réseau intérieur et extérieur dormants ainsi que des questions sous-jacentes, telles que posées par l’AJD/MR et d’autres rares organisations politiques et humanitaires, ne feront que mettre du crédit aux efforts des amis et des partenaires de la Mauritanie visant la recherche de solutions équitables et durables.
Nous croyons que c’est seule une démarche juste et véridique qui intègre la question noire à celle de démocratie chantée à tort et à travers, aura une chance d’être réussie durablement pour qu’enfin notre pays puisse se hisser dans le panthéon des nations respectables.
En somme nous appelons à une dose de VERITE POLITIQUE et de lucidité et d’équité d’abord, avant de l’administration de prescriptions inadéquates. La Mauritanie a besoin d’une RECONCILIATION qui passe forcément par L’INTEGRATION EFFECTIVE DES NOIRS dans leur pays.
Cette exigence est FONDAMENTALE et elle appelle à une redéfinition de ce que doit être un ETAT MAURITANIEN : Son rôle, ses missions pour les différentes composantes, l’exercice des pouvoirs etc.
Et tout partenaire qui travaillerait à sortir le pays de la crise actuelle, sans l’élargir (cette crise) à l’exigence liée à la résolution de la question de la cohabitation fera fausse route.
Les mauritaniens noirs, et bien sûr beaucoup d’autres nos compatriotes arabes, sont fatigués des tromperies politiques et de ces cycles infernaux de crises qui, en vérité, puisent toute leur force dans l’irrésolution de la question nationale telle que posée par l’AJD/MR, question qui est antérieure à cette prétendue crise institutionnelle créée, de toutes pièces, par les éléments d’un même Club.
A la place de la formule, "Retour a la légalité" qui trahi l'histoire, nous préférons, le concept encore in opérationnel du Retour de la Mauritanie a un Etat Africain et Arabe Garant d'une Vie Sociale réglementée et organisée et qui admet et reconnait nos differences
Adama NGAIDE.
USA. New-York
Ce combat pour le «retour a la légalité» oppose d’une part le FNDD, structure hétéroclite ou se retrouvent des progressistes, des démocrates, des anarchistes et bien sur de nombreux symboles de la corruption systémique et de la prévarication sous le petit pitre Ould Taya, et d’autre part, les eternels souteneurs des militaires qui, ne l’oublions pas, ont parrainé SIDIOCA.
En effet, si SIDIOCA est devenu populaire, ce n’est ni à cause du coup d’état, encore moins à cause des efforts qu’ils auraient fait en direction de la réconciliation nationale mais plutôt a cause des complicités savamment montées pour masquer les injustices horribles infligées aux mauritaniens. SIDIOCA a été bel et bien imposé et fabriqué par les militaires. Et malgré le respect que nous avons pour certains membres du FNDD, il faut reconnaitre que ces 2 camps ont deux choses en commun :
Primo, ils ont jusque là réussi a faire du «retour a la légalité» un fonds de commerce sur lequel se négocieront toutes les prochaines tromperies politiques et secundo ils sont arrivés à différer, avec brio même si c’est temporaire, les vraies préoccupations stratégiques relatives à la manière dont notre pays devrait fonctionner.
Quand le CMJD et ses alliés décidaient de vider la transition de ses questions vitales (Refugies, passif humanitaire, révision de fond en comble de la constitution), cette même opposition s’était sentie investie d’une mission pour sauver une « transition en dérive ». Le patron de l’UFP, l’historien et non moins politicien Mohamed Ould Maouloud, avait alors parlé de «risques de surcharge» à l’évocation, par les victimes et les vrais opposants, de la question relative au passif humanitaire. Ces Risques, disait-il, pourraient conduire le pays à d’éventuelles instabilités et à des confrontations sociales.
D’autres hommes politiques abonderont dans le même sens. C’est ainsi que le patron de Tawassoul appellera, plus tard, les mauritaniens à oublier le passé. Or, oublier le passé pour ceux qui n’ont pas une mémoire courte, c’est une invite à oublier systématiquement de 21 ans de crimes horribles et d’exils forcés de plusieurs cadres noirs, le tout jalonnés par des pillages de nos abondantes ressources.
Jemil Ould Mansour, oublie, que pour promouvoir la paix et la quiétude, il est impératif d’assumer le passé en optant à la promotion de valeurs de référence universelle pourtant prônées par l’Islam. Trop longtemps dépossédés de la parole et du choix, les victimes mauritaniennes ne pouvaient que rejeter ce discours irrationnel, provocateur et injuste venant d’un homme qui revendique, hic et nunc, son alignement sur les enseignements vertueux de l’Islam.
Bref. Ces agitations politiciennes étaient, à l’évidence, favorables au bâclage politique dénoncés en son temps; Elles n'etaient pas pour autant fortuite mais s’inscrivaient dans une stratégie d’accès au pouvoir. Les signes étaient là. Les actes suivirent. D’ailleurs, les semaines suivantes ces 2 partis seront au pouvoir foulant au pieds le sacro-saint principe de l'unite pour agir sur l'essentile qu'etait la question nationale : Histoire d’une RECOMPENSE pour services rendus aux militaires et à la composante arabe qui aura profité des discriminations infligées aux noirs, en général, et ce, pendant 21 ans.
Lancée dans une logique de collaboration, cette opposition aidera à disperser les énergies pour imposer des normes non contraignantes au pouvoir de l’époque l’orientant et l’aidant à bâcler tous les contentieux graves dépossédant les mauritaniens de leurs droits à demander des comptes.
En appuyant le pouvoir, cette opposition savait ce qu’elle faisait car elle comprenait bien qu’en agissant ainsi elle rendait service aux auteurs des crimes de sang et des crimes économiques qui se trouvent être les détenteurs du pouvoir politique, judiciaire et militaire pendant la transition vallienne. Et la voila aujourd'hui en train de defendre les principes d'une "democratie" qui aurait ete un exemple en Afrique!!!
Dans une position mitoyenne se hissait un parti, L’AJD/MR, toujours égale à elle-même continuera à assener ses VERITES. De l’époque du Professeur Alpha Diallo en passant par Mody Cisse jusqu'à son leader actuel Ibrahima Moktar SARR, l’AJD/MR résiste toujours à l’érosion, dans le discours politique, des grands contentieux qui gangrènent l’état mauritanien et dont la pertinence reste entière.
En effet, L’AJD/MR, elle, ne cessera, a travers des communiqués, des tête-à-tête, des déclarations, d’attirer l’attention des opinions nationale et internationale sur le couteau à double tranchant que représentait cette problématique liée d’une part, à notre incapacité a pouvoir a répondre aux vraies attentes, et d'autre part notre mépris à EVOQUER, à AGIR ET à ENGAGER un processus de réconciliation nationale digne du nom.
C’est fort de ce paradigme que L’AJD/MR déclinera officiellement les offres d’entrée au gouvernement, là où, d’autres partis et soi-disant partis, accepteront, armes et bagages, a siéger.
On comprend donc aisément, sauf par mauvaise foi manifeste et notoire, que la position de l’AJD/MR est ORIGINALE et COHERENTE et qu’elle se détache, avec force et pertinence, des schèmes traditionnellement admis par notre société politique et nos «intellectuels» qui appelle la société a l’uniformise abject.
Et force aussi, est d’admettre que, cette position découle de la maitrise, par l’AJD/MR et de son leader, des questions stratégiques qui se posent et qui, par leur résolution, détermineront le décollage économique et social de notre pays. Enfin, cette position est la conséquence même du degré de cohérence politique qui justifient l’émergence du parti et qui structurent, en même temps, ses modalités de fonctionnement.
Ainsi, a l’heure où on parle de sortie de crise, nous prévenons les opinions que la non prise en compte des revendications des noirs et leur banalisation (voila 48 ans) depuis notre «accession à la souveraineté internationale», serait encore une grande injustice contre les negro-mauritaniens qui, depuis au moins 1966, exigent la révision de la constitution discriminatoire et le règlement de toutes les inégalités qui structurent et fondent le fonctionnement de l’état en Mauritanie d’autant plus que la banalisation et l’ignorance de la question noire mauritanienne constituent un FAIT CONSTANT des gouvernements et de toutes les transitions politiques jusque là soutenues par la majorité des partis politiques et de l’opinion internationale.
Hélas, en observant intelligemment les tête-à-tête des différents émissaires et des différentes hautes personnalités qui viennent en Mauritanie, nous ne pouvons qu’être inquiets pour les noirs mauritaniens et pour l’avenir de la Mauritanie. Il nous semble évident que des solutions toutes faites sont déjà dans leurs cartables !!!!! Tous les soi-disant leaders arabes ont été visés et ont été reçus. Donc ils ont eu le privilège d’être écoutés. Aucun leader noir n’a été honoré d’un entretien.
Cette pratique est propice a une pérennisation de la situation calamiteuse dans laquelle les noirs se retrouvent depuis 48 ans. De telles pratiques venant de l’opinion internationale et des partenaires de la Mauritanie sont incompréhensibles mais surtout incompatibles avec les impératifs d’unité nationale et de réconciliation entre les noirs et les arabes.
Ces pratiques sélectives contribuent à déformer la réalité politique mauritanienne et à faire croire que la Mauritanie ne connait qu’un seul et unique problème : Celui du retour d’un président fabriqué a ses fonctions. Conséquemment cette sortie de crise pourrait encore être pipée et elle est partie pour se faire au détriment des revendications liées à la question grave de la cohabitation.
La prise en compte de cette question, longtemps mise en veilleuse par les pouvoirs racistes et leur réseau intérieur et extérieur dormants ainsi que des questions sous-jacentes, telles que posées par l’AJD/MR et d’autres rares organisations politiques et humanitaires, ne feront que mettre du crédit aux efforts des amis et des partenaires de la Mauritanie visant la recherche de solutions équitables et durables.
Nous croyons que c’est seule une démarche juste et véridique qui intègre la question noire à celle de démocratie chantée à tort et à travers, aura une chance d’être réussie durablement pour qu’enfin notre pays puisse se hisser dans le panthéon des nations respectables.
En somme nous appelons à une dose de VERITE POLITIQUE et de lucidité et d’équité d’abord, avant de l’administration de prescriptions inadéquates. La Mauritanie a besoin d’une RECONCILIATION qui passe forcément par L’INTEGRATION EFFECTIVE DES NOIRS dans leur pays.
Cette exigence est FONDAMENTALE et elle appelle à une redéfinition de ce que doit être un ETAT MAURITANIEN : Son rôle, ses missions pour les différentes composantes, l’exercice des pouvoirs etc.
Et tout partenaire qui travaillerait à sortir le pays de la crise actuelle, sans l’élargir (cette crise) à l’exigence liée à la résolution de la question de la cohabitation fera fausse route.
Les mauritaniens noirs, et bien sûr beaucoup d’autres nos compatriotes arabes, sont fatigués des tromperies politiques et de ces cycles infernaux de crises qui, en vérité, puisent toute leur force dans l’irrésolution de la question nationale telle que posée par l’AJD/MR, question qui est antérieure à cette prétendue crise institutionnelle créée, de toutes pièces, par les éléments d’un même Club.
A la place de la formule, "Retour a la légalité" qui trahi l'histoire, nous préférons, le concept encore in opérationnel du Retour de la Mauritanie a un Etat Africain et Arabe Garant d'une Vie Sociale réglementée et organisée et qui admet et reconnait nos differences
Adama NGAIDE.
USA. New-York