Alors que le monde commémore la journée du 3 mai, fête de la presse, la Mauritanie est indexée pour le recul impressionnant qu’a connu la liberté d’expression depuis la date sinitsre du 6 août 2008.
A la même date, l’année passée, la liberté d’expression était sans limite, bénéficiant même aux médias d’Etat, dont certains accusaient ouvertement le Président de la République et son gouvernement de les traiter avec « laxisme » ! Aujourd’hui, ils ont été réduits à des porte-voix pour la propagande du général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz, dont ils sont désormais entièrement dédiés aux éloges, tâche qu’ils exécutent avec une vulgarité et un manque d’imagination sans pareils !
Récemment, un témoignage de Freedom House, a tiré la sonnette d’alarme quant au niveau atteint par le recul des libertés dans notre pays et en particulier la liberté d’expression. Le général limogé ne s’est pas seulement contenté d’instrumentaliser les organes de presse publics, mais il a également soumis la presse privée écrite et certains correspondants de la presse étrangère à une pression terrible – et multiforme.
L’inspecteur Ould Mejid dans le collimateur des défenseurs des droits de l’homme et bientôt de la justice ?
La promotion surprise du nouvel officier des forces de répression, Monsieur Ould Nejib, naguère simple sous officier, a surpris plus d’un observateur. L’officier fraîchement promu n’est connu, en effet, que pour avoir dirigé les charges par la police des manifestations pacifiques des forces démocratiques, opérations au cours desquelles il s’est distingué par sa cruauté et sa férocité.
Depuis quelques semaines, des défenseurs des droits de l’homme sont en train de recueillir les informations nécessaires sur son comportement de plus en plus décrié, et sur la violence inouïe avec laquelle il exécute les ordres de ses chefs putschistes. Ce travail de collecte d’informations est en rapport, dit une source proche des concernés, avec une action que compte entreprendre un juge étranger, très prochainement contre ce tortionnaire.
Le cycle infernal de la barbarie avec lequel le pays a malheureusement renoué ces derniers temps attire de plus en plus l’attention des défenseurs des droits de l’homme dans le monde, surtout depuis les maltraitances commises contre les parlementaires à leur tête Monsieur Messaoud Ould Boulkheïr, président de l’Assemblée nationale, les femmes des Forces démocratiques et les dirigeants des partis politiques qui manifestaient pacifiquement.
On se rappelle aussi l’indignation planétaire suscitée par l’agression contre Monsieur Boubacar Ould Messaoud, Président de SOS Esclaves et dont l’auteur n’est autre le même Ould Nejib et ses hommes. D’autres auteurs de violences au cours de ces charges sont aussi en train d’être répertoriés.
L’ère de l’impunité étant bel et bien révolue, les auteurs d’actes de violence contre les manifestants pacifiques n’ont qu’à savoir à quoi s’en tenir désormais.
source;Baba ould Jiddou
A la même date, l’année passée, la liberté d’expression était sans limite, bénéficiant même aux médias d’Etat, dont certains accusaient ouvertement le Président de la République et son gouvernement de les traiter avec « laxisme » ! Aujourd’hui, ils ont été réduits à des porte-voix pour la propagande du général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz, dont ils sont désormais entièrement dédiés aux éloges, tâche qu’ils exécutent avec une vulgarité et un manque d’imagination sans pareils !
Récemment, un témoignage de Freedom House, a tiré la sonnette d’alarme quant au niveau atteint par le recul des libertés dans notre pays et en particulier la liberté d’expression. Le général limogé ne s’est pas seulement contenté d’instrumentaliser les organes de presse publics, mais il a également soumis la presse privée écrite et certains correspondants de la presse étrangère à une pression terrible – et multiforme.
L’inspecteur Ould Mejid dans le collimateur des défenseurs des droits de l’homme et bientôt de la justice ?
La promotion surprise du nouvel officier des forces de répression, Monsieur Ould Nejib, naguère simple sous officier, a surpris plus d’un observateur. L’officier fraîchement promu n’est connu, en effet, que pour avoir dirigé les charges par la police des manifestations pacifiques des forces démocratiques, opérations au cours desquelles il s’est distingué par sa cruauté et sa férocité.
Depuis quelques semaines, des défenseurs des droits de l’homme sont en train de recueillir les informations nécessaires sur son comportement de plus en plus décrié, et sur la violence inouïe avec laquelle il exécute les ordres de ses chefs putschistes. Ce travail de collecte d’informations est en rapport, dit une source proche des concernés, avec une action que compte entreprendre un juge étranger, très prochainement contre ce tortionnaire.
Le cycle infernal de la barbarie avec lequel le pays a malheureusement renoué ces derniers temps attire de plus en plus l’attention des défenseurs des droits de l’homme dans le monde, surtout depuis les maltraitances commises contre les parlementaires à leur tête Monsieur Messaoud Ould Boulkheïr, président de l’Assemblée nationale, les femmes des Forces démocratiques et les dirigeants des partis politiques qui manifestaient pacifiquement.
On se rappelle aussi l’indignation planétaire suscitée par l’agression contre Monsieur Boubacar Ould Messaoud, Président de SOS Esclaves et dont l’auteur n’est autre le même Ould Nejib et ses hommes. D’autres auteurs de violences au cours de ces charges sont aussi en train d’être répertoriés.
L’ère de l’impunité étant bel et bien révolue, les auteurs d’actes de violence contre les manifestants pacifiques n’ont qu’à savoir à quoi s’en tenir désormais.
source;Baba ould Jiddou