
«Le Lt Colonel Mek’halle Ould Mohamed Cheikh, est bien depuis quelques jours aux arrêts, pour malversations constatées après un contrôle», nous a confirmé une source militaire, la soirée du 27 avril. L’officier placé aux arrêts est le commandant du 2eme Bataillon des Commandos, basé à Jreida à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Nouakchott.
Interrogé sur la présence (signalée dans les médias), de l’officier arrêté dans son domicile à Nouakchott, notre source -qui a préféré garder l’anonymat- indique : «Le Lt Colonel Mek’halle n’est pas un grenadier voltigeur, ni un homme de troupe. Il est officier et sa mise aux arrêts peut être exécutée dans son domicile ou dans son bureau.»
Le Lt Colonel Mek’halle était apparu sur les écrans de la Télévision de Mauritanie en août 2004 quelques jours après l’annonce d’une tentative de putsch le 8 août 2004, apparition dans laquelle il avait confirmé sur les ondes, l’existence du complot déjoué.
Interpellé avec une dizaine d’officiers à l’époque, il fut relâché et décoré le 28 novembre 2004 par le président Ould Taya, lors des cérémonies commémoratives de l’indépendance nationale.
On ne sait pour le moment, si sa disgrâce actuelle est définitive, ou si au contraire, elle sera suivie comme dans le passé, par une autre décoration.
Tahalilvia criem
Interrogé sur la présence (signalée dans les médias), de l’officier arrêté dans son domicile à Nouakchott, notre source -qui a préféré garder l’anonymat- indique : «Le Lt Colonel Mek’halle n’est pas un grenadier voltigeur, ni un homme de troupe. Il est officier et sa mise aux arrêts peut être exécutée dans son domicile ou dans son bureau.»
Le Lt Colonel Mek’halle était apparu sur les écrans de la Télévision de Mauritanie en août 2004 quelques jours après l’annonce d’une tentative de putsch le 8 août 2004, apparition dans laquelle il avait confirmé sur les ondes, l’existence du complot déjoué.
Interpellé avec une dizaine d’officiers à l’époque, il fut relâché et décoré le 28 novembre 2004 par le président Ould Taya, lors des cérémonies commémoratives de l’indépendance nationale.
On ne sait pour le moment, si sa disgrâce actuelle est définitive, ou si au contraire, elle sera suivie comme dans le passé, par une autre décoration.
Tahalilvia criem