
Un danger nommé Birama Ould Abeidy
M.Birame Ould Dah, membre de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et président de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste en Mauritanie (IRA), a accordé une interview à notre confrère le divan dans laquelle, comme d’habitude, il utilise des mots à peine voilés pour appeler à la violence.
Cet homme connu pour ses diatribes ne cache plus ses intensions de mettre le feu dans le pays. Birama Ould Abeidy ignore la réalité du pays.
Il oublié que parmi les officiers supérieurs de nos forces armées il y’a de nombreux haratins, que dans la haute administration il y’a de nombreux haratins, que parmi les membres du gouvernement il y’a des haratins c’est le cas du ministre de la justice, le ministre de l’intérieur est un haratin, l’ancien premier ministre et actuel médiateur de la République est un haratin.
Birama insulte ainsi les haratins qui occupent les hautes fonctions de l’état comme Messaoud ould Boulkheir le président de l’assemblée nationale, le ministre de l’intérieur qui dirige la sécurité du pays et celui de la justice. Birama a oublié également que les 3 chefs d’état major en Mauritanie sont des négro africains.
Mieux que tout ceci Birama a oublié volontairement que le président de l’assemblée nationale est un haratin comme lui. Ould Abeidy dit dans son interview qu’aucune avancée dans la lutte contre l’esclavage n’existe en Mauritanie.
Ould Abeidy est volontairement aveugle. On lui pose la question de savoir où sont passées tous les textes qui ont été adoptés pour lutter contre l’esclavage. Nous le défions pour nous amener un seul cas d’esclavage en Mauritanie. Les rares cas qui ont été présentés devant la justice ont été traités par celle-ci.
« Qu’ils soient administrateurs, officiers ou hommes d’affaires ; que ça soit à Nouakchott ou à l’intérieur du pays, eux seuls ont droit de porter des armes. Ils organisent au grand jour des tournois de tir à la cible alors qu’un noir ou un haratine pris avec une arme, c’est la prison. De ce fait, les arabo-berbères préparent la guerre civile. L’Etat les arme au détriment des autres comme le régime soudanais qui arme les Janjawides. »
Voila une phrase de ce Ould abeidy qui en dit long sur ses pensées et visées « macabres ». Cet homme veut entrainer la Mauritanie vers une guerre civile. Il doit être mis en quarantaine par les médias car il est un danger pour le pays, sa paix et sa stabilité. Il n’a aucun respect par l’état, son peuple et ses ulémas qu’il a traité de tous les maux.
L’esclavage est le fruit de pratiques ancestrales dangereuses et inhumaines. La Mauritanie à l’instar de la communauté internationale l’a éradiqué. Aujourd’hui la vérité est que les richesses du pays sont entre les mains d’une minorité de citoyens qui est composée d’arabo-berbères, de négro-africains et de Haratins. Tous les pauvres toute couleurs confondues peuvent être considérés comme des esclaves. Ceci n’est pas la particularité des noirs.
Le président Ould Abdel Aziz l’a compris et a placé la lutte contre la pauvreté dans ses priorités car il a approché les pauvres dans le pays qui l’ont consacré président des pauvres.
Trop c’est trop. L’esclavage n’existe que dans la tête du Birama Ould abeidy
source :Le Véridique
M.Birame Ould Dah, membre de la Commission Nationale des Droits de l’Homme et président de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste en Mauritanie (IRA), a accordé une interview à notre confrère le divan dans laquelle, comme d’habitude, il utilise des mots à peine voilés pour appeler à la violence.
Cet homme connu pour ses diatribes ne cache plus ses intensions de mettre le feu dans le pays. Birama Ould Abeidy ignore la réalité du pays.
Il oublié que parmi les officiers supérieurs de nos forces armées il y’a de nombreux haratins, que dans la haute administration il y’a de nombreux haratins, que parmi les membres du gouvernement il y’a des haratins c’est le cas du ministre de la justice, le ministre de l’intérieur est un haratin, l’ancien premier ministre et actuel médiateur de la République est un haratin.
Birama insulte ainsi les haratins qui occupent les hautes fonctions de l’état comme Messaoud ould Boulkheir le président de l’assemblée nationale, le ministre de l’intérieur qui dirige la sécurité du pays et celui de la justice. Birama a oublié également que les 3 chefs d’état major en Mauritanie sont des négro africains.
Mieux que tout ceci Birama a oublié volontairement que le président de l’assemblée nationale est un haratin comme lui. Ould Abeidy dit dans son interview qu’aucune avancée dans la lutte contre l’esclavage n’existe en Mauritanie.
Ould Abeidy est volontairement aveugle. On lui pose la question de savoir où sont passées tous les textes qui ont été adoptés pour lutter contre l’esclavage. Nous le défions pour nous amener un seul cas d’esclavage en Mauritanie. Les rares cas qui ont été présentés devant la justice ont été traités par celle-ci.
« Qu’ils soient administrateurs, officiers ou hommes d’affaires ; que ça soit à Nouakchott ou à l’intérieur du pays, eux seuls ont droit de porter des armes. Ils organisent au grand jour des tournois de tir à la cible alors qu’un noir ou un haratine pris avec une arme, c’est la prison. De ce fait, les arabo-berbères préparent la guerre civile. L’Etat les arme au détriment des autres comme le régime soudanais qui arme les Janjawides. »
Voila une phrase de ce Ould abeidy qui en dit long sur ses pensées et visées « macabres ». Cet homme veut entrainer la Mauritanie vers une guerre civile. Il doit être mis en quarantaine par les médias car il est un danger pour le pays, sa paix et sa stabilité. Il n’a aucun respect par l’état, son peuple et ses ulémas qu’il a traité de tous les maux.
L’esclavage est le fruit de pratiques ancestrales dangereuses et inhumaines. La Mauritanie à l’instar de la communauté internationale l’a éradiqué. Aujourd’hui la vérité est que les richesses du pays sont entre les mains d’une minorité de citoyens qui est composée d’arabo-berbères, de négro-africains et de Haratins. Tous les pauvres toute couleurs confondues peuvent être considérés comme des esclaves. Ceci n’est pas la particularité des noirs.
Le président Ould Abdel Aziz l’a compris et a placé la lutte contre la pauvreté dans ses priorités car il a approché les pauvres dans le pays qui l’ont consacré président des pauvres.
Trop c’est trop. L’esclavage n’existe que dans la tête du Birama Ould abeidy
source :Le Véridique