
NOUAKCHOTT (AFP) — Le dirigeant libyen et président de l'Union africaine (UA), Mouammar Kadhafi, a affirmé jeudi à Nouakchott que le dossier des sanctions contre la Mauritanie était "clos" car les putschistes sont "déterminés" à organiser une élection présidentielle le 6 juin.
"Je me suis assuré que les autorités militaires (junte) sont déterminées à organiser des élections présidentielles le 6 juin, ce dossier (des sanctions) est désormais clos", a déclaré M. Kadhafi à la presse, avant son départ de Nouakchott.
"Le problème est terminé, le dossier clos, parce que ce qui est recherché c'est le retour à la vie civile" a encore expliqué le dirigeant libyen, qui a mené pendant trois jours une médiation à Nouakchott pour tenter de résoudre la crise née du coup d'Etat du 6 août.
Ce putsch, qui avait renversé le premier président démocratiquement élu du pays, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, avait été condamné par la communauté internationale.
Et le 5 février, l'UA avait décidé de prendre des sanctions ciblées contre les membres civils et militaires de la junte, comprenant notamment "une prohibition des déplacements des membres civils et militaires de la junte, le refus systématique des visas, le contrôle des comptes bancaires".
Source: AFP
"Je me suis assuré que les autorités militaires (junte) sont déterminées à organiser des élections présidentielles le 6 juin, ce dossier (des sanctions) est désormais clos", a déclaré M. Kadhafi à la presse, avant son départ de Nouakchott.
"Le problème est terminé, le dossier clos, parce que ce qui est recherché c'est le retour à la vie civile" a encore expliqué le dirigeant libyen, qui a mené pendant trois jours une médiation à Nouakchott pour tenter de résoudre la crise née du coup d'Etat du 6 août.
Ce putsch, qui avait renversé le premier président démocratiquement élu du pays, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, avait été condamné par la communauté internationale.
Et le 5 février, l'UA avait décidé de prendre des sanctions ciblées contre les membres civils et militaires de la junte, comprenant notamment "une prohibition des déplacements des membres civils et militaires de la junte, le refus systématique des visas, le contrôle des comptes bancaires".
Source: AFP