
Le deuxième album de Jam Min Tekki sera sur les bacs le 21 janvier prochain. La sortie est prévue à l’ancienne Maison des jeunes à partir de 20 heures. Googa… porte le titre du premier album dont il est la suite. « Nous continuons dans notre style de dénonciation des injustices sociales. Dans cet opus nous traitons aussi d’autres thèmes de société » a précisé Madou Fall, le ménager du groupe.
Deux ans et demi après son premier single qui a eu un énorme succès, le groupe propose à ses nombreux fans un tube de 12 morceaux :
Néné, Hol Jondo mon en duo avec Baaba Maal ( lead vocal de Daadé Léniol), feelytoubba, Ko min sekbé, fans, Babylon Googa…, Ghuetto, Soldats sans salaires, 89, On insulte le système, Saha métat- très bien travaillés qui évoquent les fossés entre riches et pauvres, les coups d’états indésirables, la langue de bois des hommes politiques, l’émigration négative…
L’enregistrement a été fait en Mauritanie et au Sénégal. Le produit a été finalisé en France, ce qui a occasionné d’énormes dépenses. Le groupe n’a bénéficié d’aucun appui financier même pas de la part du ministère de la Culture qui a été pourtant contacté.
On se rappelle que le trio adoré des jeunes des quartiers pauvres de Nouakchott n’a jamais été en odeur de sainteté avec les milieux nantis à cause de son engagement et la virulence de ses chansons.
Dans le passé, il a fait l’objet d’agressions et de menaces.
Googa… fera sûrement beaucoup couler de la salive !
Yero
source : Yero Amel Ndiaye
Deux ans et demi après son premier single qui a eu un énorme succès, le groupe propose à ses nombreux fans un tube de 12 morceaux :
Néné, Hol Jondo mon en duo avec Baaba Maal ( lead vocal de Daadé Léniol), feelytoubba, Ko min sekbé, fans, Babylon Googa…, Ghuetto, Soldats sans salaires, 89, On insulte le système, Saha métat- très bien travaillés qui évoquent les fossés entre riches et pauvres, les coups d’états indésirables, la langue de bois des hommes politiques, l’émigration négative…
L’enregistrement a été fait en Mauritanie et au Sénégal. Le produit a été finalisé en France, ce qui a occasionné d’énormes dépenses. Le groupe n’a bénéficié d’aucun appui financier même pas de la part du ministère de la Culture qui a été pourtant contacté.
On se rappelle que le trio adoré des jeunes des quartiers pauvres de Nouakchott n’a jamais été en odeur de sainteté avec les milieux nantis à cause de son engagement et la virulence de ses chansons.
Dans le passé, il a fait l’objet d’agressions et de menaces.
Googa… fera sûrement beaucoup couler de la salive !
Yero
source : Yero Amel Ndiaye