
J’ai lu dans votre site Mr Kassoum Sidiki, à propos de Oba ma son discours est excellent pas surprenant de la part d’un philosophe. Que dire d’autres ?
Il devrait dépenser autant d’énergie à nous parler de la Mauritanie. J’invite les intellectuels mauritaniens à se pencher sur la situation de notre cher pays. Je ne critique pas la sortie de Mr BA, l’avènement de Oba ma n’est pas ordinaire , le professeur SY Hamdou a ecrit sur le phénoméne avant lui et d’autres peut être le feront encore après lui. Mais il y’a quelque chose de dérangeant à propos de nos intellos, mis à part Sy Hamdou Rabbi dont les contributions régulières toujours pertinentes sur la Mauritanie font plaisir à lire.
Al Kassoum est à encourager et gageons que ses sorties seront plus régulières et plus centrées sur la RIM car à l’heure actuelle le silence des intellectuels négro africains ou pro négres de Mauritanie est plus que suspect. Je pense qu’il est aussi révélateur d’un malaise, celui de gens qui ne savent plus où se situer, tiraillés pour les plus nombreux entre les clins d’œil au pouvoir, la fatigue des années d’exil ou d’une lutte qui commence à être longue.
Il y’a des silences qui devraient nous interpeller, ceux de Abderrahmane Ngaédé, de Boubacar Diagana, de Ibrahima Sall, de Amadou Alpha BA , de Sy Salah Eddine, de Ndiaye Aboubacry, de Sy Moussa, de Ibrahima Mifo, de Diop Moustapha, de Sanghott Abdoulaye, de Mme Habsa Banor, de Kane Hamidine, de Diallo Alpha, de Fatimata Mbaye, de Jamal ould Yessa, de Jamal ould Mohamed, de Me Brahim ould Ebetty, de Boye Alassane , de El Arby ould Saleck, de Wone Abda etc. Ils sont trop nombreux désormais, les muets et «grands diseurs derrière les arénes»
Bocar Diop
Il devrait dépenser autant d’énergie à nous parler de la Mauritanie. J’invite les intellectuels mauritaniens à se pencher sur la situation de notre cher pays. Je ne critique pas la sortie de Mr BA, l’avènement de Oba ma n’est pas ordinaire , le professeur SY Hamdou a ecrit sur le phénoméne avant lui et d’autres peut être le feront encore après lui. Mais il y’a quelque chose de dérangeant à propos de nos intellos, mis à part Sy Hamdou Rabbi dont les contributions régulières toujours pertinentes sur la Mauritanie font plaisir à lire.
Al Kassoum est à encourager et gageons que ses sorties seront plus régulières et plus centrées sur la RIM car à l’heure actuelle le silence des intellectuels négro africains ou pro négres de Mauritanie est plus que suspect. Je pense qu’il est aussi révélateur d’un malaise, celui de gens qui ne savent plus où se situer, tiraillés pour les plus nombreux entre les clins d’œil au pouvoir, la fatigue des années d’exil ou d’une lutte qui commence à être longue.
Il y’a des silences qui devraient nous interpeller, ceux de Abderrahmane Ngaédé, de Boubacar Diagana, de Ibrahima Sall, de Amadou Alpha BA , de Sy Salah Eddine, de Ndiaye Aboubacry, de Sy Moussa, de Ibrahima Mifo, de Diop Moustapha, de Sanghott Abdoulaye, de Mme Habsa Banor, de Kane Hamidine, de Diallo Alpha, de Fatimata Mbaye, de Jamal ould Yessa, de Jamal ould Mohamed, de Me Brahim ould Ebetty, de Boye Alassane , de El Arby ould Saleck, de Wone Abda etc. Ils sont trop nombreux désormais, les muets et «grands diseurs derrière les arénes»
Bocar Diop