Trois touristes de nationalité espagnole ont été enlevés, dimanche après-midi dans le nord-ouest de la Mauritanie, sur la route reliant Nouadhibou à Nouakchott, a-t-on appris de source diplomatique et sécuritaire concordantes.
Trois touristes ont été enlevés, dont une femme. Ils étaient à bord d'une voiture, le dernier véhicule d'un convoi qui se dirigeait de Nouadhibou vers Nouakchott", a indiqué à l'AFP une source diplomatique espagnole à Nouadhibou, jointe par téléphone depuis Nouakchott.
Selon cette source, les membres du convoi avaient remis, à la mi-journée, une aide humanitaire à la commune de Nouadhibou et ils transportaient des dons qu'ils devaient déposer dans différentes communes sur leur trajet.
Une source sécuritaire a confirmé l'"enlèvement de touristes", en assurant qu'il avait eu lieu à 130 kilomètres de Nouadhibou, près de la localité de Chelkhett Legtouta.
Selon cette même source sécuritaire, les touristes ont été kidnappés par "des hommes en armes, portant des turbans et qui circulaient à bord d'un véhicule 4x4".
Les forces armées mauritaniennes déjà positionnées dans la région ont été mobilisées et des renforts ont été envoyés sur place, a indiqué cette source sécuritaire, affirmant qu'il serait "difficile, pour les ravisseurs, de s'échapper".
Une source militaire avait indiqué il y a quelques jours à l'AFP que l'armée mauritanienne avait achevé de réorganiser et renforcer ses bases dans le nord du pays, pour faire face à la menace terroriste. Il s'agissait notamment de sécuriser le tourisme mais aussi les recherches pétrolières dans le bassin de Taoudenni, menées en particulier par le groupe français Total.
Cet enlèvement de touristes occidentaux dans le nord-ouest de la Mauritanie intervient quatre jours après celui d'un ressortissant français, kidnappé dans la nuit de mercredi à jeudi, dans le nord-est du Mali, pays voisin.
Une source sécuritaire malienne avait assuré vendredi à l'AFP que le Français enlevé dans le nord-est du Mali était retenu dans le désert du Sahara par des "islamistes armés" appartenant à "l'aile dure" d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Plusieurs Occidentaux ont été kidnappés ces derniers mois dans le Sahel avant d'être acheminés dans le nord du Mali et libérés après le versements probables de rançons. Mais, en juin, la branche maghrébine d'Al-Qaïda a annoncé, pour la première fois, avoir tué un otage occidental, le touriste britannique Edwin Dyer.
Source: TV5
Trois touristes ont été enlevés, dont une femme. Ils étaient à bord d'une voiture, le dernier véhicule d'un convoi qui se dirigeait de Nouadhibou vers Nouakchott", a indiqué à l'AFP une source diplomatique espagnole à Nouadhibou, jointe par téléphone depuis Nouakchott.
Selon cette source, les membres du convoi avaient remis, à la mi-journée, une aide humanitaire à la commune de Nouadhibou et ils transportaient des dons qu'ils devaient déposer dans différentes communes sur leur trajet.
Une source sécuritaire a confirmé l'"enlèvement de touristes", en assurant qu'il avait eu lieu à 130 kilomètres de Nouadhibou, près de la localité de Chelkhett Legtouta.
Selon cette même source sécuritaire, les touristes ont été kidnappés par "des hommes en armes, portant des turbans et qui circulaient à bord d'un véhicule 4x4".
Les forces armées mauritaniennes déjà positionnées dans la région ont été mobilisées et des renforts ont été envoyés sur place, a indiqué cette source sécuritaire, affirmant qu'il serait "difficile, pour les ravisseurs, de s'échapper".
Une source militaire avait indiqué il y a quelques jours à l'AFP que l'armée mauritanienne avait achevé de réorganiser et renforcer ses bases dans le nord du pays, pour faire face à la menace terroriste. Il s'agissait notamment de sécuriser le tourisme mais aussi les recherches pétrolières dans le bassin de Taoudenni, menées en particulier par le groupe français Total.
Cet enlèvement de touristes occidentaux dans le nord-ouest de la Mauritanie intervient quatre jours après celui d'un ressortissant français, kidnappé dans la nuit de mercredi à jeudi, dans le nord-est du Mali, pays voisin.
Une source sécuritaire malienne avait assuré vendredi à l'AFP que le Français enlevé dans le nord-est du Mali était retenu dans le désert du Sahara par des "islamistes armés" appartenant à "l'aile dure" d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Plusieurs Occidentaux ont été kidnappés ces derniers mois dans le Sahel avant d'être acheminés dans le nord du Mali et libérés après le versements probables de rançons. Mais, en juin, la branche maghrébine d'Al-Qaïda a annoncé, pour la première fois, avoir tué un otage occidental, le touriste britannique Edwin Dyer.
Source: TV5