Le gouvernement mauritanien a fixé, pour compter du 3 février, 35 nouveaux points de contrôlé et de passage obligatoires sur l'ensemble des frontières du territoire mauritanien pour un meilleur contrôle des entrées dans le pays, a annoncé un communiqué diffusé par la radio d'Etat.
Cette mesure concerne des check points situés sur les frontières du pays avec le Sénégal, le Mali, l'Algérie et le Maroc (Sahara occidental).
Un arrêté ministère de l'intérieur, publié sous le sceau de l' urgence dans le journal officiel, a appelé tous les étrangers qui ne seraient pas passés par l'un de ces points de "se mettre en règle" et de déclarer leur présence sur le territoire mauritanien.
"Tous ceux qui ne se seront pas conformés seront considérés en situation irrégulière et traités en tant que tels", précise le texte de l'arrêté.
Cette disposition intervient à un moment où, face aux enlèvements d'étrangers survenus en novembre et décembre derniers, Nouakchott est en train de renforcer son dispositif de surveillance des routes et des frontières à travers le déploiement de plusieurs unités mobiles.
Le territoire mauritanien, vaste de plus d'un million de km2 et à plus de 60% inhabité, reste difficile à surveiller, surtout pour une armée dont les effectifs ne dépasse pas les 10.000 hommes et ne disposant pas de couverture radar suffisante.
Source: xinhua
Cette mesure concerne des check points situés sur les frontières du pays avec le Sénégal, le Mali, l'Algérie et le Maroc (Sahara occidental).
Un arrêté ministère de l'intérieur, publié sous le sceau de l' urgence dans le journal officiel, a appelé tous les étrangers qui ne seraient pas passés par l'un de ces points de "se mettre en règle" et de déclarer leur présence sur le territoire mauritanien.
"Tous ceux qui ne se seront pas conformés seront considérés en situation irrégulière et traités en tant que tels", précise le texte de l'arrêté.
Cette disposition intervient à un moment où, face aux enlèvements d'étrangers survenus en novembre et décembre derniers, Nouakchott est en train de renforcer son dispositif de surveillance des routes et des frontières à travers le déploiement de plusieurs unités mobiles.
Le territoire mauritanien, vaste de plus d'un million de km2 et à plus de 60% inhabité, reste difficile à surveiller, surtout pour une armée dont les effectifs ne dépasse pas les 10.000 hommes et ne disposant pas de couverture radar suffisante.
Source: xinhua