Une personne a été tuée et quatre autres blessées lundi, suite à l’explosion d’une mine sur la frontière entre le Maroc et la Mauritanie, a appris Xinhua de source sécuritaire mauritanienne.
L’engin a explosé au passage d’une voiture transportant cinq personnes dans la zone tampon dite "Ghandahar" sur la frontière entre le Maroc et la Mauritanie, non loin de la ville de Nouadhibou capitale économique, où les blessés ont été évacués, précise-t-on de même source.
Aucune indication n’a été obtenue sur l’identité des victimes ni sur la provenance et la destination du véhicule.
Selon des sources militaires, cette zone est connue pour être truffée de mines terrestres de tous genres. Par le passé, des explosions pareilles y étaient enregistrées au passage de voitures, qui quittent souvent les axes routiers fréquentés pour échapper aux check-points.
Des champs de mines avaient été installés sur les frontières mauritano-marocaines lors de la guerre du Sahara occidental. On notifie tous les ans des cas d’explosion de mines antichars ou antipersonnel, causant des victimes.
Un programme de déminage est mis en exécution par l’armée mauritanienne depuis plus de sept ans en collaboration avec l’ Allemagne et les Etats-Unis. Il comporte des activités de prévention et de sensibilisation des populations du nord du pays sur le dangers des mines.
La Mauritanie est signataire de la convention internationale sur l’interdiction de l’usage des mines antipersonnel.
Source: Xinhua
L’engin a explosé au passage d’une voiture transportant cinq personnes dans la zone tampon dite "Ghandahar" sur la frontière entre le Maroc et la Mauritanie, non loin de la ville de Nouadhibou capitale économique, où les blessés ont été évacués, précise-t-on de même source.
Aucune indication n’a été obtenue sur l’identité des victimes ni sur la provenance et la destination du véhicule.
Selon des sources militaires, cette zone est connue pour être truffée de mines terrestres de tous genres. Par le passé, des explosions pareilles y étaient enregistrées au passage de voitures, qui quittent souvent les axes routiers fréquentés pour échapper aux check-points.
Des champs de mines avaient été installés sur les frontières mauritano-marocaines lors de la guerre du Sahara occidental. On notifie tous les ans des cas d’explosion de mines antichars ou antipersonnel, causant des victimes.
Un programme de déminage est mis en exécution par l’armée mauritanienne depuis plus de sept ans en collaboration avec l’ Allemagne et les Etats-Unis. Il comporte des activités de prévention et de sensibilisation des populations du nord du pays sur le dangers des mines.
La Mauritanie est signataire de la convention internationale sur l’interdiction de l’usage des mines antipersonnel.
Source: Xinhua