
Nous avons lu sur Cridem un pamphlet qui n’a rien avoir avec l’information, comme il est de coutume d’apprendre ces derniers jours dans tous les organes de presse officielle usurpée par la junte militaire en place, depuis le 06 Août.
Nous voudrions dire, au nom du droit à l’information objective, honnête et transparente, à ces anonymes rédacteurs qui n’ont pas le courage de signer leur « propagande » et de parler au peuple à visage découvert que nous avons, nous en ravanche, au sein du Front, habitué nos concitoyens et le monde entier à la franchise et l’honnêteté.
C’est pourquoi une nouvelle fois nous revenons, ici, et en toute humilité, au-delà de la surenchère, de la contrevérité et des propos diffamatoires qui caractérisent le camp désespéré, acculé et désemparé des antidémocrates et anticonstitutionnels, pour dire exactement ce qui s’est passé à Acra, au Ghana.
Nous affirmons que la délégation du gouvernement légitime au sommet des ACP à Acra, sous la houlette de Monsieur Koréra Issagha, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage a été bien accréditée pour représenter la Mauritanie et qu’elle a été traitée au même pied d’égalité que la délégation présidée par notre ex ambassadeur à Bruxelles.
L’attitude des organisateurs a vexé la délégation des putschistes laquelle, humiliée a, en effet, choisi de se retirer du sommet en signe de protestation. Saisi, le général a intimidé à ses messagers de rester et de participer aux travaux. Car, il ne s’attendait pas, eu égard à son esseulement, à être accepté par des pays dont les menaces de sanctions planent sur son régime comme l’épée de Damoclès.
Parler d’interpellation et de menace est diffamatoire et inexact. C’est un traitement de régime policier de ceux qui ne peuvent pas supporter l’élan contestataire des peuples ou l’exercice de leur droit à manifester et à s’exprimer et qui ne peut jamais être celui du Ghana. Ce n’est pas, d’ailleurs, cet Etat démocratique qui va céder au chantage d’une bande d’officiers démis et dont l’agitation n’a suscité que réprobation et condamnation, à l’intérieur et à l’extérieur.
Alors, il est l’heure que ceux qui lancent des injures anonymes et, de façon illusoire et basse, tentent de faire croire aux Mauritaniens que les putschistes sont acceptés dans le concert des nations, de savoir que le Ghana est un Etat membre de l’Union Africaine ; et que celle-ci ne reconnaît pas les trois mousquetaires du palais ocre dont elle exige, rapidement, le départ.
De qui se moque-t-il donc notre journaliste travesti ? Il est dépassé le temps de la désinformation. Car les médias, pas ceux confisqué en Mauritanie, mais ceux qui diffusent à travers le monde, informent et bien d’ailleurs ce peuple otage de la propagande des officiers démis.
Nouakchott, le 1 Octobre 2008
Commission de Communication du FNDD
Nous voudrions dire, au nom du droit à l’information objective, honnête et transparente, à ces anonymes rédacteurs qui n’ont pas le courage de signer leur « propagande » et de parler au peuple à visage découvert que nous avons, nous en ravanche, au sein du Front, habitué nos concitoyens et le monde entier à la franchise et l’honnêteté.
C’est pourquoi une nouvelle fois nous revenons, ici, et en toute humilité, au-delà de la surenchère, de la contrevérité et des propos diffamatoires qui caractérisent le camp désespéré, acculé et désemparé des antidémocrates et anticonstitutionnels, pour dire exactement ce qui s’est passé à Acra, au Ghana.
Nous affirmons que la délégation du gouvernement légitime au sommet des ACP à Acra, sous la houlette de Monsieur Koréra Issagha, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage a été bien accréditée pour représenter la Mauritanie et qu’elle a été traitée au même pied d’égalité que la délégation présidée par notre ex ambassadeur à Bruxelles.
L’attitude des organisateurs a vexé la délégation des putschistes laquelle, humiliée a, en effet, choisi de se retirer du sommet en signe de protestation. Saisi, le général a intimidé à ses messagers de rester et de participer aux travaux. Car, il ne s’attendait pas, eu égard à son esseulement, à être accepté par des pays dont les menaces de sanctions planent sur son régime comme l’épée de Damoclès.
Parler d’interpellation et de menace est diffamatoire et inexact. C’est un traitement de régime policier de ceux qui ne peuvent pas supporter l’élan contestataire des peuples ou l’exercice de leur droit à manifester et à s’exprimer et qui ne peut jamais être celui du Ghana. Ce n’est pas, d’ailleurs, cet Etat démocratique qui va céder au chantage d’une bande d’officiers démis et dont l’agitation n’a suscité que réprobation et condamnation, à l’intérieur et à l’extérieur.
Alors, il est l’heure que ceux qui lancent des injures anonymes et, de façon illusoire et basse, tentent de faire croire aux Mauritaniens que les putschistes sont acceptés dans le concert des nations, de savoir que le Ghana est un Etat membre de l’Union Africaine ; et que celle-ci ne reconnaît pas les trois mousquetaires du palais ocre dont elle exige, rapidement, le départ.
De qui se moque-t-il donc notre journaliste travesti ? Il est dépassé le temps de la désinformation. Car les médias, pas ceux confisqué en Mauritanie, mais ceux qui diffusent à travers le monde, informent et bien d’ailleurs ce peuple otage de la propagande des officiers démis.
Nouakchott, le 1 Octobre 2008
Commission de Communication du FNDD