
Ouvrant la première séance de cette session au niveau de l’assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir a prononcé un discours dans lequel il a reconnu que la dernière élection présidentielle constitue un acquis à préserver pour le peuple mauritanien et ce « en dépit des réserves » qu’il avait émis sur les résultats de cette élection. Il a également rappelé son refus de présider des séances parlementaires sous le régime issu du coup d’Etat.
Le président de l’assemblée nationale a invité les mauritaniens à tirer les leçons de la dernière crise née du coup d’Etat du 6 août 2008. Il soulignera, à ce propos, qu’ils doivent oeuvrer à :
- Renforcer en premier lieu nos institutions constitutionnelle et démocratiques, afin de les rendre mieux à même de jouer efficacement leur rôle et à résister à toute forme d’hégémonie pouvant les menacer..
- Mettre un terme aux candidatures indépendantes au niveau des deux chambres du parlement et ce en vue de donner plus de crédibilité à la représentation élective(le contrat social doit être entre l’électeur et les institutions démocratiques ainsi que les partis politique). Ould Boulkheir a également appelé à la réalisation des équilibres au niveau des représentants du peuple au sein des communes, avant d’appeler à mettre un terme à l’achat des consciences, ayant , par le passé transformé les élections en «véritable mascarade».
Par ailleurs, le président de l’assemblée nationale a appelé à une reforme profonde et à un « redressement » de l’administration, pour en faire « un outil de gestion et de développement loin des surenchères politiques ». Messaoud a enfin marqué son engagement à rester « un opposant ferme et objectif à la majorité qui gouverne… »
Au niveau de la chambre haute, le président Bâ M’Baré a insisté sur la « pertinence du programme électoral de Mohamed Ould Abdel Aziz » , qui lui a permis d’être élu par les mauritaniens.
Après avoir souligné la fin de la crise politique consacrée par l’election présidentielle de juillet dernier, le président du sénat a appelé à « un dialogue franc entre la majorité et l’opposition, entre le gouvernement et ceux qui critiquent son action…Pour dépasser définitivement la crise que nous avons connue en 2008 ».
source : ANI
via cridem
Le président de l’assemblée nationale a invité les mauritaniens à tirer les leçons de la dernière crise née du coup d’Etat du 6 août 2008. Il soulignera, à ce propos, qu’ils doivent oeuvrer à :
- Renforcer en premier lieu nos institutions constitutionnelle et démocratiques, afin de les rendre mieux à même de jouer efficacement leur rôle et à résister à toute forme d’hégémonie pouvant les menacer..
- Mettre un terme aux candidatures indépendantes au niveau des deux chambres du parlement et ce en vue de donner plus de crédibilité à la représentation élective(le contrat social doit être entre l’électeur et les institutions démocratiques ainsi que les partis politique). Ould Boulkheir a également appelé à la réalisation des équilibres au niveau des représentants du peuple au sein des communes, avant d’appeler à mettre un terme à l’achat des consciences, ayant , par le passé transformé les élections en «véritable mascarade».
Par ailleurs, le président de l’assemblée nationale a appelé à une reforme profonde et à un « redressement » de l’administration, pour en faire « un outil de gestion et de développement loin des surenchères politiques ». Messaoud a enfin marqué son engagement à rester « un opposant ferme et objectif à la majorité qui gouverne… »
Au niveau de la chambre haute, le président Bâ M’Baré a insisté sur la « pertinence du programme électoral de Mohamed Ould Abdel Aziz » , qui lui a permis d’être élu par les mauritaniens.
Après avoir souligné la fin de la crise politique consacrée par l’election présidentielle de juillet dernier, le président du sénat a appelé à « un dialogue franc entre la majorité et l’opposition, entre le gouvernement et ceux qui critiquent son action…Pour dépasser définitivement la crise que nous avons connue en 2008 ».
source : ANI
via cridem