![Plusieurs chefs d’accusation contre un groupe de présumés terroristes Plusieurs chefs d’accusation contre un groupe de présumés terroristes](https://www.avomm.com/photo/art/default/948888-1177957.jpg?v=1289455090)
Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Les membres d’un groupe de 23 présumés terroristes (22 Mauritaniens et un étranger de type arabe) incarcérés à titre préventif doivent répondre de plusieurs chefs d’inculpation, selon un communiqué du Parquet général de Mauritanie rendu public mardi.
Ces personnes sont accusées d’affiliation à un mouvement terroriste international, d’assassinat, atteinte à la sûreté de l’Etat, port illégal d’armes, d’uniformes et d’insignes militaires, association de malfaiteurs, organisations de bandes terroristes, attaque et résistance contre les forces de l’ordre, massacre, dévastation, atteinte aux intérêts d’un Etat étranger...
Les actes ainsi spécifiés sont prévus et punis par les dispositions du Code pénal (CP) et de la loi réprimant les actes terroristes adoptée en juillet 2005.
Cinq personnes ont été placées sous contrôle judiciaire.
Après l’audition des présumés terroristes au niveau du Parquet et par le juge d’instruction, ce dernier a émis trois mandats d’arrêts internationaux contre des présumés terroristes en fuite.
Parmi les personnes accusées d’avoir commis les infractions ci-dessus figurent notamment Sidi Ould Sidna et Maarouf Ould Haiba, respectivement présumé membre d’un commando et commanditaire de l’assassinat de quatre touristes français. Un attentat perpétré le 24 décembre 2007 près de la ville d’Aleg (250 kilomètres au sud-est de Nouakchott).
Est également considéré comme membre du groupe d’individus incarcérés Khadim Ould Seman, émir de la bande et commanditaire présumé d’un attentat contre l’ambassade d’Israël (février 2008).
Le territoire de la Mauritanie, rappelle-t-on, a été le théâtre de plusieurs attentats attribués à des terroristes islamistes.
Ces personnes sont accusées d’affiliation à un mouvement terroriste international, d’assassinat, atteinte à la sûreté de l’Etat, port illégal d’armes, d’uniformes et d’insignes militaires, association de malfaiteurs, organisations de bandes terroristes, attaque et résistance contre les forces de l’ordre, massacre, dévastation, atteinte aux intérêts d’un Etat étranger...
Les actes ainsi spécifiés sont prévus et punis par les dispositions du Code pénal (CP) et de la loi réprimant les actes terroristes adoptée en juillet 2005.
Cinq personnes ont été placées sous contrôle judiciaire.
Après l’audition des présumés terroristes au niveau du Parquet et par le juge d’instruction, ce dernier a émis trois mandats d’arrêts internationaux contre des présumés terroristes en fuite.
Parmi les personnes accusées d’avoir commis les infractions ci-dessus figurent notamment Sidi Ould Sidna et Maarouf Ould Haiba, respectivement présumé membre d’un commando et commanditaire de l’assassinat de quatre touristes français. Un attentat perpétré le 24 décembre 2007 près de la ville d’Aleg (250 kilomètres au sud-est de Nouakchott).
Est également considéré comme membre du groupe d’individus incarcérés Khadim Ould Seman, émir de la bande et commanditaire présumé d’un attentat contre l’ambassade d’Israël (février 2008).
Le territoire de la Mauritanie, rappelle-t-on, a été le théâtre de plusieurs attentats attribués à des terroristes islamistes.