Je précise pour l’histoire que je suis le porte-parole de l’OCVIDH, donc logiquement chargé de la communication. Ayant découvert comme tout le monde sur le net les communiqués signés successivement, OCVIDH, Secrétaire Général, Bureau Exécutif et après avoir vainement tiré la sonnette d’alarme, j’ai refusé de me prêter au jeu de leur concepteur et son âme damnée avant que tout cela ne mue en « Coordination » du BE.
Toute cette gesticulation est l’œuvre d’une seule et unique personne qui pense avoir trouvé là une occasion de solder ses comptes n’ayant aucun rapport avec la situation et les raisons invoquées, n’en déplaise aux autres membres du BE qui se sont laissés embarquer dans ce délire. Il suffit de relire ces communiqués fumeux et d’en faire autant avec une seule déclaration de la CAMME pour savoir d’où vient tout ce battage et d’en tirer les conclusions qui s’imposent. Ça eut payé, mais ailleurs…
J’ai toujours pensé que le bon sens finirait par triompher chez certains membres de cette nouvelle « Coordination » du B.E (encore un emprunt au C de la CAMME, les habitudes ont la vie dure). Des Putschistes anti putschistes, il ne manquait plus que ça : «Coordination» du BE ! Pourquoi pas Redressement, Restructuration, Salut national, CMJD ou plus récemment Rectification ? Que sont devenus nos champions de la défense de la légalité constitutionnelle ? Cela ne ressemble t-il pas, à s’y méprendre, à ce qu’on est en train de combattre ? Même politique de blocage, mêmes ambitions : la main basse sur le pays pour certains ou sur l’organisation pour d’autres.
Quel que soit le nom choisi le résultat attendu est le même, le désir d’avoir un contrôle total sur l’organisation afin d’en faire, que la CAMME me pardonne cet emprunt, une antichambre de l’autre organisation pour mieux peser sur la balance dans leurs drailles à l’instar du MDLIM/FNNDD où rien ne justifiait la présence de l’OCVIDH.
Qu’une organisation de défense des droits de l’homme apporte tout le soutien dont il dispose au FNDD me convient parfaitement, intervenir là où les droits de l’homme sont malmenés est l’essence même don existence ; mais de là à vouloir se substituer aux partis politiques et en assurer la coordination…
D’ailleurs aucun membre du BE n’a été consulté pour cela. L’auteur de cette initiative a dû prendre notre silence pour une faiblesse. Et la désillusion d’aujourd’hui expliquerait cette guerre sans merci de l’homme s’estimant bafoué dans son omnipotence. Dans cet ultime sursaut on convoque le ban et l’arrière ban, des membres du BE qui en trois ans, n’ont assisté qu’à une ou deux réunions en raison des blocages des deux membres du bureau et dirigeants de la CAMME dont l’un n'est d’ailleurs que l'ombre de l’autre. On drague la rivière pour se confectionner une « majorité » qu’on s’empresse de qualifier d’ « écrasante » et d’agiter comme un trophée.
Ces deux personnages dignes des Pieds-Nickelés se sont lancés dans un projet sans précédent de contrôle de l'OCVIDH. Pour ce faire, ils collectionnent les bourdes et rebondissent sur des bévues plus grosses les unes que les autres. On ne peut pas dire que la lucidité ait prévalu.
Le paragraphe suivant tiré de l’auto proclamation/convocation du 16 mai trahit par sa maladresse les intentions de notre duo. En effet c’est un copier coller d’un échange qui a dépassé par inadvertance le cadre de la « coordination » :
« Le BE demande …, (à partir de là on ne s’adresse plus aux adhérents mais au groupe des cinq) leur seule particiation à cette réunion trés massivement nous permettra de relever le défi ,d'engager et d'encadrer ensemble les objectifs et les buts de l'organisation qui sont loin d'être atteints, la dâte du 07 juin 2009 est irreversible, nous y gagnerons en crédibilité vis à vis de la majorité de nos adhérents , d'ici là la porte reste ouverte pour une ultime rencontre avec notre président s'il le désire encore une fois. Nous restons determinés et résolument engagés pour la survie denotre organisation ».
Il y a quelques jours à peine, alors que tout augurait une accalmie, un communiqué estampillé coordination du BE indiquait la finalisation du projet pour la prise en main totale de l'association apparaissait dans plusieurs sites mauritaniens.
Pour y parvenir, une AGE est convoquée en totale contradiction avec les textes de l'OCVIDH. Qu'importe, la fin ne justifie-t-elle pas les moyens ? Mais une assemblée générale extraordinaire illégale pourrait-t-elle déboucher sur des conclusions valables ? Bien sûr ils n'en ont cure. Pour eux la seule issue salvatrice consistera en leur main mise sur l'association. Complètement coupés de la réalité, ils pensent tenir le bon bout et y vont avec entrain.
Les textes qui régissent l'OCVIDH sont claires et ne souffrent guère d'ambigüité: seul le président peut convoquer une AGE ou à défaut la moitié des membres plus une voix.
Pour justifier leur convocation ils invoquent la majorité au sein du bureau et leur désir de sauver l'association. Mais de qui ? Cela nous rappelle les dictateurs qui voient des ennemis partout et sont prêts à user flèches de tout bois pour éliminer le danger quitte à l’inventer si nécessaire.
C’est ainsi que toutes les tentatives entreprises par le président pour une rencontre du BE se heurteront à des prétextes aussi fallacieux les uns que les autres ne visant qu’à maintenir un blocage dans le but qu’on sait tous maintenant. La dernière en date du 23 mai, fut rejetée parce que la « Coordination » a décidé de se réunir le 24 mai, le président avait pourtant mentionné son indisponibilité pour cette date. Dans tous les cas ceci n’aura été qu’une pirouette de plus, puisque la réunion de « la majorité écrasante » si chère à mes amis ne s’est pas tenue le 24. La minorité écrasée dans laquelle j’ai été confiné par le délire de mes compagnons à casquettes multiples (CAMME/OCVIDH) n’a vu aucun compte-rendu. Il faut préciser que le président n’a pas exposé, et c’est tout à son honneur, ses démarches sur le net. Les échanges internes existent et seront mis à votre disposition si des contradicteurs concernés le souhaitent.
Revenons à la réunion du « BE» du le 26 avril 2009 concoctée à l'insu de trois de ses membres, alors qu’un appel à une A.G.E. était lancé pour la même date et la même heure depuis des semaines par le président. Cherchez la faille. Une réunion dont je n'ai eu connaissance que le 24 avril à 15 h 05. Pas une correspondance envoyée aux différents membres, à moins qu’une partie du BE n’en ait été volontairement exclue.
J’apprendrai d’ailleurs beaucoup plus tard que notre pentapole avait pris cette décision le 19 avril. Et ils ont l’outrecuidance de se plaindre de l’absence de ceux qui étaient les seuls à ne pas avoir été prévenus à temps ? Que dire de cet acte de sabotage consistant à se réunir ailleurs à cinq au moment où se tient une assemblée générale extraordinaire de l’organisation ?
Cette comédie grotesque n'a que trop duré. Il est tant de freiner nos deux Don Quichotte.
L’assemblée générale extraordinaire s’est déjà tenue à la demande du président de l’organisation, les adhérents y ont assisté avec un esprit de responsabilité et de mesure. Ils ont également fait preuve d’une grande sagesse en mettant sur pied des recommandations de nature à désamorcer la crise et assurer le fonctionnement pérenne de l'OCVIDH.
Je ne saurais terminer sans les remercier.
PS : Que les adhérents de la CAMME me pardonnent d’avoir plusieurs fois cité leur association, la faute est imputable à leurs dirigeants qui n’arrivent pas à comprendre que leur appartenance à l’OCVIDH ne doit pas entrainer une quelconque confusion des fonctions. La CAMME ne peut ni convoquer à une assemblée générale les membres de notre organisation, ni même rédiger les procès verbaux de l’OCVIDH.
La politique de la deuxième joue ne paie pas chez mes amis.
Mahamadou SY
Porte Parole de l’OCVIDH.
Toute cette gesticulation est l’œuvre d’une seule et unique personne qui pense avoir trouvé là une occasion de solder ses comptes n’ayant aucun rapport avec la situation et les raisons invoquées, n’en déplaise aux autres membres du BE qui se sont laissés embarquer dans ce délire. Il suffit de relire ces communiqués fumeux et d’en faire autant avec une seule déclaration de la CAMME pour savoir d’où vient tout ce battage et d’en tirer les conclusions qui s’imposent. Ça eut payé, mais ailleurs…
J’ai toujours pensé que le bon sens finirait par triompher chez certains membres de cette nouvelle « Coordination » du B.E (encore un emprunt au C de la CAMME, les habitudes ont la vie dure). Des Putschistes anti putschistes, il ne manquait plus que ça : «Coordination» du BE ! Pourquoi pas Redressement, Restructuration, Salut national, CMJD ou plus récemment Rectification ? Que sont devenus nos champions de la défense de la légalité constitutionnelle ? Cela ne ressemble t-il pas, à s’y méprendre, à ce qu’on est en train de combattre ? Même politique de blocage, mêmes ambitions : la main basse sur le pays pour certains ou sur l’organisation pour d’autres.
Quel que soit le nom choisi le résultat attendu est le même, le désir d’avoir un contrôle total sur l’organisation afin d’en faire, que la CAMME me pardonne cet emprunt, une antichambre de l’autre organisation pour mieux peser sur la balance dans leurs drailles à l’instar du MDLIM/FNNDD où rien ne justifiait la présence de l’OCVIDH.
Qu’une organisation de défense des droits de l’homme apporte tout le soutien dont il dispose au FNDD me convient parfaitement, intervenir là où les droits de l’homme sont malmenés est l’essence même don existence ; mais de là à vouloir se substituer aux partis politiques et en assurer la coordination…
D’ailleurs aucun membre du BE n’a été consulté pour cela. L’auteur de cette initiative a dû prendre notre silence pour une faiblesse. Et la désillusion d’aujourd’hui expliquerait cette guerre sans merci de l’homme s’estimant bafoué dans son omnipotence. Dans cet ultime sursaut on convoque le ban et l’arrière ban, des membres du BE qui en trois ans, n’ont assisté qu’à une ou deux réunions en raison des blocages des deux membres du bureau et dirigeants de la CAMME dont l’un n'est d’ailleurs que l'ombre de l’autre. On drague la rivière pour se confectionner une « majorité » qu’on s’empresse de qualifier d’ « écrasante » et d’agiter comme un trophée.
Ces deux personnages dignes des Pieds-Nickelés se sont lancés dans un projet sans précédent de contrôle de l'OCVIDH. Pour ce faire, ils collectionnent les bourdes et rebondissent sur des bévues plus grosses les unes que les autres. On ne peut pas dire que la lucidité ait prévalu.
Le paragraphe suivant tiré de l’auto proclamation/convocation du 16 mai trahit par sa maladresse les intentions de notre duo. En effet c’est un copier coller d’un échange qui a dépassé par inadvertance le cadre de la « coordination » :
« Le BE demande …, (à partir de là on ne s’adresse plus aux adhérents mais au groupe des cinq) leur seule particiation à cette réunion trés massivement nous permettra de relever le défi ,d'engager et d'encadrer ensemble les objectifs et les buts de l'organisation qui sont loin d'être atteints, la dâte du 07 juin 2009 est irreversible, nous y gagnerons en crédibilité vis à vis de la majorité de nos adhérents , d'ici là la porte reste ouverte pour une ultime rencontre avec notre président s'il le désire encore une fois. Nous restons determinés et résolument engagés pour la survie denotre organisation ».
Il y a quelques jours à peine, alors que tout augurait une accalmie, un communiqué estampillé coordination du BE indiquait la finalisation du projet pour la prise en main totale de l'association apparaissait dans plusieurs sites mauritaniens.
Pour y parvenir, une AGE est convoquée en totale contradiction avec les textes de l'OCVIDH. Qu'importe, la fin ne justifie-t-elle pas les moyens ? Mais une assemblée générale extraordinaire illégale pourrait-t-elle déboucher sur des conclusions valables ? Bien sûr ils n'en ont cure. Pour eux la seule issue salvatrice consistera en leur main mise sur l'association. Complètement coupés de la réalité, ils pensent tenir le bon bout et y vont avec entrain.
Les textes qui régissent l'OCVIDH sont claires et ne souffrent guère d'ambigüité: seul le président peut convoquer une AGE ou à défaut la moitié des membres plus une voix.
Pour justifier leur convocation ils invoquent la majorité au sein du bureau et leur désir de sauver l'association. Mais de qui ? Cela nous rappelle les dictateurs qui voient des ennemis partout et sont prêts à user flèches de tout bois pour éliminer le danger quitte à l’inventer si nécessaire.
C’est ainsi que toutes les tentatives entreprises par le président pour une rencontre du BE se heurteront à des prétextes aussi fallacieux les uns que les autres ne visant qu’à maintenir un blocage dans le but qu’on sait tous maintenant. La dernière en date du 23 mai, fut rejetée parce que la « Coordination » a décidé de se réunir le 24 mai, le président avait pourtant mentionné son indisponibilité pour cette date. Dans tous les cas ceci n’aura été qu’une pirouette de plus, puisque la réunion de « la majorité écrasante » si chère à mes amis ne s’est pas tenue le 24. La minorité écrasée dans laquelle j’ai été confiné par le délire de mes compagnons à casquettes multiples (CAMME/OCVIDH) n’a vu aucun compte-rendu. Il faut préciser que le président n’a pas exposé, et c’est tout à son honneur, ses démarches sur le net. Les échanges internes existent et seront mis à votre disposition si des contradicteurs concernés le souhaitent.
Revenons à la réunion du « BE» du le 26 avril 2009 concoctée à l'insu de trois de ses membres, alors qu’un appel à une A.G.E. était lancé pour la même date et la même heure depuis des semaines par le président. Cherchez la faille. Une réunion dont je n'ai eu connaissance que le 24 avril à 15 h 05. Pas une correspondance envoyée aux différents membres, à moins qu’une partie du BE n’en ait été volontairement exclue.
J’apprendrai d’ailleurs beaucoup plus tard que notre pentapole avait pris cette décision le 19 avril. Et ils ont l’outrecuidance de se plaindre de l’absence de ceux qui étaient les seuls à ne pas avoir été prévenus à temps ? Que dire de cet acte de sabotage consistant à se réunir ailleurs à cinq au moment où se tient une assemblée générale extraordinaire de l’organisation ?
Cette comédie grotesque n'a que trop duré. Il est tant de freiner nos deux Don Quichotte.
L’assemblée générale extraordinaire s’est déjà tenue à la demande du président de l’organisation, les adhérents y ont assisté avec un esprit de responsabilité et de mesure. Ils ont également fait preuve d’une grande sagesse en mettant sur pied des recommandations de nature à désamorcer la crise et assurer le fonctionnement pérenne de l'OCVIDH.
Je ne saurais terminer sans les remercier.
PS : Que les adhérents de la CAMME me pardonnent d’avoir plusieurs fois cité leur association, la faute est imputable à leurs dirigeants qui n’arrivent pas à comprendre que leur appartenance à l’OCVIDH ne doit pas entrainer une quelconque confusion des fonctions. La CAMME ne peut ni convoquer à une assemblée générale les membres de notre organisation, ni même rédiger les procès verbaux de l’OCVIDH.
La politique de la deuxième joue ne paie pas chez mes amis.
Mahamadou SY
Porte Parole de l’OCVIDH.