
Le long de l’axe goudronné qui passe devant le domicile de Sidi Ould Cheikh Abdellahi, est pris d’assaut par ses partisans. Ils sont pour là pour marquer leur soutien avec Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Ce matin d’autres personnes s’étaient regroupées sur ce même axe pour dire leur “colère” contre l’ancien président et appeler qu’il soit jugé. Des individus, qui dit-on, agissaient sous les ordres de la junte qui voit d’un mauvais œil, Sidi revenir à Nouakchott, pour mobiliser contre le complot survenu au mois dernier.
Á en croire, For Mauritania, un site d’information, résolument engagé contre le putsch «on pouvait noter, parmi les encadrants de cette drôle de manifestation, des hauts fonctionnaires de l’État tel Monsieur Isselkou Ould Mohamedou Ould Tolba (Haut cadre de l’Éducation Nationale)». «Ainsi si nous sommes réunis ici, cette après-midi, c’est pour montrer que le président démocratiquement élu bénéficie d’un réel soutien», confient les partisans de Sidi.
Le Front de son cote a publié un communiqué pour condamne fermement «l’agression contre le domicile de Son Excellence le Président de la République». Parmi les manifestants qui ont pris la peine de se regrouper cette après- midi, figurent des responsables des partis politiques regroupés sous la bannière du FNDD. Pour eux le retour de Sidi est imminent. Les ordres lâchés par la junte et les soi-disant manifestants contre son retour vers la capitale n’y changeront rien du tout.
«Nous réserverons le droit de riposter»
«Sidi Ould Cheikh Abdellahi reviendra à Nouakchott avec l’engagement et la détermination fermes pour faire échec au putsch », lâche d’entrée Mokhtar Ould Samba le porte-parole du Président démocratiquement présent parmi les manifestants qui ont pris faut et cause pour cause Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Quant à la stratégie qu’il va mettre en œuvre pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel, elle sera basée sur des moyens et voies pacifiques en d’autres la mobilisation et la conscientisation du peuple contre le coup d’État en mettant en exergue les dangers liés au putsch», poursuit-il.
«Nous ne chercherons pas la confrontation avec les forces du général.Nous nous limiterons à des moyens pacifiques pour montrer notre refus du coup d’État et faire triompher notre cause. Et pour ça nous sommes prêts à subir la répression pourvu que le putsch échoue». «La junte joue avec le feu. En agissant comme elle le fait aujourd’hui, elle risque de provoquer des tensions tribales. Sidi grâce à son statut de Cheikh bénéficie d’un soutien fort», confie pour sa part le secrétaire général de Tawassoul. «La confrontation d’avec la junte vue la situation est inévitable», lâche-t-il.
«Nous n’irons provoquer personne. Mais au cas où la junte en viendrait à user de la répression nous réserverons le droit de nous défendre», conclut-il. Rappelons que les manifestations contre le Président démocratiquement élu ont commencé des le lendemain de sa libération.
Les premières manifestations d’hostilités ont eu lieu dans les localités de Kankossa, théâtre d’émeutes ourdies des gens malintentionnées aux desseins les plus sombres, et de Tintane, où il y a eu un déluge en 2007.
Depuis quelques jours on assiste à des manifestations devant le domicile de Sidi dont le but et dissuader le président démocratiquement élu à revenir à Nouakchott pour tenter de faire échec au putsch. Mais apparemment ces manifestations n’ont pas apporté les fruits escomptés, car au FNDD on discute déjà des modalités du retour de Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Samba Camara
source : Biladi
Ce matin d’autres personnes s’étaient regroupées sur ce même axe pour dire leur “colère” contre l’ancien président et appeler qu’il soit jugé. Des individus, qui dit-on, agissaient sous les ordres de la junte qui voit d’un mauvais œil, Sidi revenir à Nouakchott, pour mobiliser contre le complot survenu au mois dernier.
Á en croire, For Mauritania, un site d’information, résolument engagé contre le putsch «on pouvait noter, parmi les encadrants de cette drôle de manifestation, des hauts fonctionnaires de l’État tel Monsieur Isselkou Ould Mohamedou Ould Tolba (Haut cadre de l’Éducation Nationale)». «Ainsi si nous sommes réunis ici, cette après-midi, c’est pour montrer que le président démocratiquement élu bénéficie d’un réel soutien», confient les partisans de Sidi.
Le Front de son cote a publié un communiqué pour condamne fermement «l’agression contre le domicile de Son Excellence le Président de la République». Parmi les manifestants qui ont pris la peine de se regrouper cette après- midi, figurent des responsables des partis politiques regroupés sous la bannière du FNDD. Pour eux le retour de Sidi est imminent. Les ordres lâchés par la junte et les soi-disant manifestants contre son retour vers la capitale n’y changeront rien du tout.
«Nous réserverons le droit de riposter»
«Sidi Ould Cheikh Abdellahi reviendra à Nouakchott avec l’engagement et la détermination fermes pour faire échec au putsch », lâche d’entrée Mokhtar Ould Samba le porte-parole du Président démocratiquement présent parmi les manifestants qui ont pris faut et cause pour cause Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Quant à la stratégie qu’il va mettre en œuvre pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel, elle sera basée sur des moyens et voies pacifiques en d’autres la mobilisation et la conscientisation du peuple contre le coup d’État en mettant en exergue les dangers liés au putsch», poursuit-il.
«Nous ne chercherons pas la confrontation avec les forces du général.Nous nous limiterons à des moyens pacifiques pour montrer notre refus du coup d’État et faire triompher notre cause. Et pour ça nous sommes prêts à subir la répression pourvu que le putsch échoue». «La junte joue avec le feu. En agissant comme elle le fait aujourd’hui, elle risque de provoquer des tensions tribales. Sidi grâce à son statut de Cheikh bénéficie d’un soutien fort», confie pour sa part le secrétaire général de Tawassoul. «La confrontation d’avec la junte vue la situation est inévitable», lâche-t-il.
«Nous n’irons provoquer personne. Mais au cas où la junte en viendrait à user de la répression nous réserverons le droit de nous défendre», conclut-il. Rappelons que les manifestations contre le Président démocratiquement élu ont commencé des le lendemain de sa libération.
Les premières manifestations d’hostilités ont eu lieu dans les localités de Kankossa, théâtre d’émeutes ourdies des gens malintentionnées aux desseins les plus sombres, et de Tintane, où il y a eu un déluge en 2007.
Depuis quelques jours on assiste à des manifestations devant le domicile de Sidi dont le but et dissuader le président démocratiquement élu à revenir à Nouakchott pour tenter de faire échec au putsch. Mais apparemment ces manifestations n’ont pas apporté les fruits escomptés, car au FNDD on discute déjà des modalités du retour de Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Samba Camara
source : Biladi