
Le Chef de l’Etat, Le Général Mohamed Ould Abdel Aziz s’est rendu mardi 10 février 2009, en milieu d’après-midi à l’Université de Nouakchott. C’est la première visite d’un Chef d’Etat dans une enceinte universitaire.
L’université est traditionnellement un bastion du tumulte et de la contestation [il suffit pour s’en convaincre de se souvenir de la visite du Général de Gaulle à l’Ecole Normale Supérieure en 1968, lorsque les étudiants communistes ont refusé de serrer la main à ‘’cette politique’’], cela n’empêche nullement le Chef de l’Etat de venir se rendre compte par lui-même de la situation de l’Université et du sort des étudiants.
A son arrivée, le Président a été salué par des centaines d’étudiants présents dans la cour de l’Université. Dans le grand Amphithéâtre, le Président a eu l’occasion de se réunir avec le corps enseignant, les étudiants, et les représentants du personnel universitaire. Selon certains témoignages, des militants du F.N.D.D auraient porté des banderoles hostiles au Chef de l’Etat, et auraient apporté des sacs contenant divers projectiles en vue d’organiser un "caillassage" en règle du Président et de sa suite.
Ces noirs desseins ne se sont pas réalisés, en dehors du tapage médiatique organisé par certains sites et journaux, soutiens ou nostalgiques de l’ancien pouvoir. En effet, au moment même où le Chef de l’Etat était reçu, et ovationné par les étudiants et les enseignants réunis, des oiseaux de mauvaise augure annonçaient ‘’la visite chahutée du Président à l’Université’’.
Il s’agit d’une manipulation classique, organisée par ceux qui veulent faire barrage à la volonté réformatrice du Chef de l’Etat, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, déterminé à refonder l’Université, en vue d’en faire un pôle d’excellence, à l’avant-garde du renouveau national .
L’enjeu est celui de la capacité des différentes facultés qui composent notre Université à adopter une approche qualité dans leur fonctionnement et leur stratégie éducative, en vue de permettre aux étudiants de disposer de filières avec un haut niveau d’expertise dans les domaines où ils peuvent être utiles au pays en leur donnant les moyens, à la fois matériels et pédagogiques de constituer l’élite de notre administration et de notre superstructure.
Ly Ibrahima
cridem
L’université est traditionnellement un bastion du tumulte et de la contestation [il suffit pour s’en convaincre de se souvenir de la visite du Général de Gaulle à l’Ecole Normale Supérieure en 1968, lorsque les étudiants communistes ont refusé de serrer la main à ‘’cette politique’’], cela n’empêche nullement le Chef de l’Etat de venir se rendre compte par lui-même de la situation de l’Université et du sort des étudiants.
A son arrivée, le Président a été salué par des centaines d’étudiants présents dans la cour de l’Université. Dans le grand Amphithéâtre, le Président a eu l’occasion de se réunir avec le corps enseignant, les étudiants, et les représentants du personnel universitaire. Selon certains témoignages, des militants du F.N.D.D auraient porté des banderoles hostiles au Chef de l’Etat, et auraient apporté des sacs contenant divers projectiles en vue d’organiser un "caillassage" en règle du Président et de sa suite.
Ces noirs desseins ne se sont pas réalisés, en dehors du tapage médiatique organisé par certains sites et journaux, soutiens ou nostalgiques de l’ancien pouvoir. En effet, au moment même où le Chef de l’Etat était reçu, et ovationné par les étudiants et les enseignants réunis, des oiseaux de mauvaise augure annonçaient ‘’la visite chahutée du Président à l’Université’’.
Il s’agit d’une manipulation classique, organisée par ceux qui veulent faire barrage à la volonté réformatrice du Chef de l’Etat, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, déterminé à refonder l’Université, en vue d’en faire un pôle d’excellence, à l’avant-garde du renouveau national .
L’enjeu est celui de la capacité des différentes facultés qui composent notre Université à adopter une approche qualité dans leur fonctionnement et leur stratégie éducative, en vue de permettre aux étudiants de disposer de filières avec un haut niveau d’expertise dans les domaines où ils peuvent être utiles au pays en leur donnant les moyens, à la fois matériels et pédagogiques de constituer l’élite de notre administration et de notre superstructure.
Ly Ibrahima
cridem