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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Contrôles au faciès : «Ce qui m’a choqué, c’est d’entendre que la Mauritanie est un État raciste»


Le 26 septembre 2025, RFI diffusait l’appel de quinze partis politiques et organisations de la société civile mauritanienne dénonçant « les contrôles au faciès et le non-respect des droits des migrants dans le pays ». À l’origine de ce communiqué collectif : l’arrestation de l’écrivain Ibrahima Ba le 19 septembre, interpellé alors qu’il se promenait non loin de son domicile. Ces propos ont vivement surpris le député Adama Dieng, membre du parti présidentiel Insaf, qui s'est dit « choqué ».

Sur notre antenne, Kaaw Touré, porte-parole des Forces progressistes du changement, dénonçait une « politique de ségrégation » en Mauritanie. Pour les signataires, cette arrestation « est révélatrice de l’horreur que vivent de nombreux migrants subsahariens et les Négro-Africains mauritaniens ».

Ces propos ont vivement surpris le député Adama Dieng, membre du parti présidentiel Insaf, qui a souhaité répondre en son nom propre. Tout en admettant quelques « bavures », il rejette catégoriquement l’accusation d’un État raciste. « C’est une caricature simpliste et insultante ! Contrôler son pays, c’est sécuriser la population. L’essentiel est que l’État sanctionne les auteurs, dans la transparence », affirme-t-il au micro de notre journaliste du service Afrique de RFI Liza Fabbian.

Le député insiste également : ces contrôles ne visent pas uniquement les Subsahariens. « Que vous soyez Sénégalais, Gambien, Guinéen ou même étranger, c’est la même chose. J’ai vu des Marocains et même un Chinois contrôlés ».

Pour lui, « les politiciens profitent de toutes les situations. Chaque fois qu’il y a un problème, on l’utilise pour taper sur le pouvoir. On est toujours en campagne électorale ».

Ces déclarations font suite à l’arrestation de l’écrivain Ibrahima Ba le 19 septembre 2025. Sur les réseaux sociaux, il dénonçait une détention « arbitraire », et avoir été « jeté en cellule comme un délinquant », privé de ses droits.



Source : RFI
Mercredi 1 Octobre 2025 - 16:32
Mercredi 1 Octobre 2025 - 16:34
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