M.Eric Chevalier, le porte-parole des AE
4 - MAURITANIE.
(Une question relative à la médiation de l'Union africaine et du rôle de la Libye, en tant que présidence de l'Union africaine en exercice, qui a entamé une médiation entre les protagonistes de la crise. Il semble que le président Kadhafi a déclaré récemment à Nouakchott qu'il était favorable à l'agenda électoral fixé unilatéralement par les militaires, alors que dans les déclarations du comité de contact international, il était clairement dit qu'aucune mesure unilatérale ne saurait être acceptée dans ce dossier et qu'elle serait contre-productive. Quelle est la position de la France sur cette position ?)
La position de la France est celle qui a été exprimée lors de la réunion qui s'est tenue à Paris le 20 février. Cette position française est celle agréée collectivement par la communauté internationale.
Le principe de cette tentative de médiation par la présidence en exercice de l'Union africaine avait été adopté lors de la réunion du 20 février. Cette médiation n'a pas permis d'aboutir au résultat espéré pour l'instant. C'est maintenant la commission paix et sécurité de l'Union africaine qui doit être saisie du sujet.
* Monsieur Eric Chevalier
source : France Diplomatie / Ministère des Affaires Etrangères
(Une question relative à la médiation de l'Union africaine et du rôle de la Libye, en tant que présidence de l'Union africaine en exercice, qui a entamé une médiation entre les protagonistes de la crise. Il semble que le président Kadhafi a déclaré récemment à Nouakchott qu'il était favorable à l'agenda électoral fixé unilatéralement par les militaires, alors que dans les déclarations du comité de contact international, il était clairement dit qu'aucune mesure unilatérale ne saurait être acceptée dans ce dossier et qu'elle serait contre-productive. Quelle est la position de la France sur cette position ?)
La position de la France est celle qui a été exprimée lors de la réunion qui s'est tenue à Paris le 20 février. Cette position française est celle agréée collectivement par la communauté internationale.
Le principe de cette tentative de médiation par la présidence en exercice de l'Union africaine avait été adopté lors de la réunion du 20 février. Cette médiation n'a pas permis d'aboutir au résultat espéré pour l'instant. C'est maintenant la commission paix et sécurité de l'Union africaine qui doit être saisie du sujet.
* Monsieur Eric Chevalier
source : France Diplomatie / Ministère des Affaires Etrangères