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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Benoît XVI, devant l'ONU, demande aux Etats de protéger leurs populations

"La promotion des droits de l'Homme demeure la stratégie la plus efficace pour éliminer les inégalités entre pays et entre groupes sociaux", a encore dit le pape, évoquant le 60e anniversaire cette année de la Déclaration universelle de ces droits.


Benoît XVI, devant l'ONU, demande aux Etats de protéger leurs populations
Le pape Benoît XVI a rappelé vendredi aux Etats leur devoir de protéger leurs populations victimes de violations des droits de l'Homme, faute de quoi la communauté internationale était fondée à intervenir.

Dans un discours devant l'Assemblée générale de l'ONU, il a également plaidé pour l'action collective face aux problèmes du monde, déplorant que le multilatéralisme restait "subordonné aux décisions d'un petit nombre".

"Tout Etat a le devoir primordial de protéger sa population contre les violations graves et répétées des droits de l'Homme, de même que des conséquences de crises humanitaires liées à des causes naturelles ou provoquées par l'action de l'Homme", a affirmé le pape dans le grand amphithéâtre bondé de l'Assemblée de l'ONU.

"S'il arrive que les Etats ne soient pas en mesure d'assurer une telle protection, il revient à la communauté internationale d'intervenir avec les moyens juridiques prévus par la Charte des Nations unies et par d'autres instruments internationaux", a ajouté Benoît XVI.

Cette action, "dans la mesure où elle est respectueuse des principes qui fondent l'ordre international, ne devrait jamais être interprêtée comme une coercition injustifiée ou une limitation de la souveraineté", a-t-il poursuivi.

"A l'inverse, c'est l'indifférence ou la non-intervention qui cause de réels dommages", a-t-il assuré.

Ce concept de "responsabilité de protéger" a été adopté par les dirigeants du monde lors d'un sommet en 2005, dans le cadre d'une vaste réforme de l'ONU. Traumatisée par son échec lors du génocide au Rwanda en 1994, l'organisation mondiale voulait en éviter une possible répétition.

"La promotion des droits de l'Homme demeure la stratégie la plus efficace pour éliminer les inégalités entre pays et entre groupes sociaux", a encore dit le pape, évoquant le 60e anniversaire cette année de la Déclaration universelle de ces droits.

Evoquant par ailleurs "le paradoxe évident d'un consensus multilatéral qui continue à être en crise parce qu'il est encore subordonné aux décisions d'un petit nombre" Benoît XVI a affirmé que "les problèmes du monde exigent, de la part de la communauté internationale, des interventions sous forme d'actions communes".

"Les questions de sécurité, les objectifs de développement, la réduction des inégalités... la protection de l'environnement, des ressources et du climat, requièrent que tous les responsables de la vie internationale agissent de concert et soient prêts à travailler en toute bonne foi, dans le respect du droit, pour promouvoir la solidarité dans les zones les plus fragiles de la planète", a ajouté Benoît XVI.

"Je pense en particulier à certains pays d'Afrique et d'autres continent qui restent encore en marge d'un authentique développement intégral, et qui risquent ainsi de ne faire l'expérience que des effets négatifs de la mondialisation", a-t-il expliqué.

De nombreux Etats membres de l'ONU, notamment parmi les pays en développement, se plaignent des pouvoirs exorbitants détenus par les grandes puissances dans la gestion des affaires du monde, notamment au Conseil de sécurité.


Source: courrierint
(M)
Vendredi 18 Avril 2008 - 18:43
Vendredi 18 Avril 2008 - 18:51
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