
Selon des sources bien informées, le groupe connu sous l’appellation de l’ensemble des cadres de l’est appartenant au parti Adil, comprenant plusieurs dizaines de membres du conseil national de ce parti, élargi à des anciens responsables du nord et du sud, a tenu une réunion le dimanche, consacrée à la crise actuelle.
Cette réunion qui s’est tenu de 14 heures à 03heures du matin, a abouti à la constitution d’une commission de quinze membres chargée de faire un diagnostic de la situation actuelle et d’élaborer des propositions pouvant garantir la sortie pays de la crise. Cette commission devra soumettre ces propositions au président de la République.
Selon ces mêmes sources, la réunion s’est tenue au domicile du sénateur de Tichitt Sid’Ahmed Ould Bneijara a été marquée par la présence de 50 personnalités, dont des membres fondateur de cet ensemble, notamment L’ancien Premier Ministre Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna ; L’ancien ambassadeur Ahmedou Ould SidiOuld Hanenna ; Mohamed Ould Didi ; Meimoun Ould Abdi Ould Jeyed ;Khattar Ould Cheikh Ahmed ; Mouloud Ould Sidi Abdalla ; Rachid Ould Saleh ; Sidi Ould Ahmed Deya ; Yahya Ould Menkouss ; Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Radhi ; Sidi Mohamed Ould Abderrahmane ; Dah Ould Abdeljelil ; Cheikh Sid’Ahmed Ould Bab Min et Sid’ahmed Ould Bneijar.
Plusieurs autres personnalités issues d’autres régions, ont rejoint le groupe au cours de cette réunion. Parmi ce dernier groupe figure Veyah Ould Mayouf, l’ancien sénateur de Rosso Ehbib Ould Ely, le bâtonnier de l’ordre des avocats Me Ahmed Ould Youssouf, l’ancien secrétaire fédérale du PRDS en Inchiri Kenhe Ould Haimdoune, l’ancien Ministre Levdhal Ould Abdelwedoud, l’ancien Ministre Baham Ould Mohamed Laghdhaf, l’ancien administrateur El Arbi Ould Kerkoub, Mohamed Mahmoud Ould Deih, Ebi Ould Doussou, l’ancien secretaire genéral du MEN Moctar Ould Hmeida, l’avocat Mohamed Elmamy Ould Ahmed Salem, Mohamed Ould Kerballi, Diabira Maroufa, Izidbih Ould Bebana, Moctar Ould Salek… et d’autres.
Au cours de cette réunion un ordre de jour a été présenté aux participants, comportant les point à débattre, notamment l’ouverture d’un dialogue national auquel devraient prendre part des représentants de toute la classe politique, en vue de trouver une issue pour la crise que traverse le pays actuellement. Par ailleurs les participant ont mentionné que le programme électoral du président de la République est resté lettre morte, en dehors du retour des réfugiés et de la loi incriminant l’esclavage qui seraient, selon eux, en faveur de certains « acteurs fanatiques ».
Ils ont, à cette occasion, affirmé avoir élaboré des propositions pouvant sortir le pays de la crise, comprenant la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, ainsi que la mise sur pied d’une commission chargé du contrôle et du suivi de l’exécution du plan d’urgence qui supplanterait l’administration, qu’ils ont qualifié d’incapable depoursuivre la gestion de ce plan.
Sur un plan sécuritaire, le groupe a considéré que la situation que traverse le pays constitue une crise sans précédent qui requière de la part des pouvoirs publics la prise de plusieurs dispositions pratiques, notamment l’amélioration des conditions et des capacités opérationnelles des forces de l’ordre, ainsi que leur restructuration, seules conditions pouvant permettre à ces forces de pouvoir faire face à toutes les menaces intérieures et extérieures. Ils ont insisté sur le fait qu’ils considèrent que le devoir leur dicte d’adresser de tels conseils au Président de la République. D’autre, plusieurs membres de cette assemblée ont critiqué sévèrement l’action du gouvernement de Zein Ould Zeidan, en même temps que d’autres avaient considéré que ces critiques devraient être adressées à celui serait, initialement, responsable de la mise en place de ce gouvernement et qui tient encore à le maintenir, dans une allusion claire au président Sidi Cheikh Abdellahi.
Certains intervenants ont critiqué la direction, en exil, du mouvement des FLAM qualifiant ses membres de fanatiques et d’ennemis de la paix sociale.
A la fin de cette réunion, il a été décidé de créer une commission de quinze membres, jouant le rôle de la coordination de cet ensemble et qui se compose comme suit : Président Yahya Ould Menkouss, vice-président Veyah Ould Mayouf en plus des membres ; Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna, Sid’Ahmed Ould Bneijara, Dah Ould Abdeljelil, Nagi Ould Mohamed Limam, Khattar Ould Cheikh Ahmed, Diabira Maroufa, Ahmedou Ould Sidi Ould Hanenna, Ebi Ould Doussou, Levdhal Ould Abdelwedoud, Mohamed Ould Ahmed Salem, El Arbi Ould Kerkoub et Bouh Ould Moctar Ould M’Haimed.
Cette même commission a été mandatée pour l’élaboration des propositions , qu’elle devra soumettre au président Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Les résultats de la rencontre de la commission des quinze avec le président de la République feront l’objet d’une réunion, qui se tiendra à ce effet.
Source: ANI
(M)
Cette réunion qui s’est tenu de 14 heures à 03heures du matin, a abouti à la constitution d’une commission de quinze membres chargée de faire un diagnostic de la situation actuelle et d’élaborer des propositions pouvant garantir la sortie pays de la crise. Cette commission devra soumettre ces propositions au président de la République.
Selon ces mêmes sources, la réunion s’est tenue au domicile du sénateur de Tichitt Sid’Ahmed Ould Bneijara a été marquée par la présence de 50 personnalités, dont des membres fondateur de cet ensemble, notamment L’ancien Premier Ministre Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna ; L’ancien ambassadeur Ahmedou Ould SidiOuld Hanenna ; Mohamed Ould Didi ; Meimoun Ould Abdi Ould Jeyed ;Khattar Ould Cheikh Ahmed ; Mouloud Ould Sidi Abdalla ; Rachid Ould Saleh ; Sidi Ould Ahmed Deya ; Yahya Ould Menkouss ; Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Radhi ; Sidi Mohamed Ould Abderrahmane ; Dah Ould Abdeljelil ; Cheikh Sid’Ahmed Ould Bab Min et Sid’ahmed Ould Bneijar.
Plusieurs autres personnalités issues d’autres régions, ont rejoint le groupe au cours de cette réunion. Parmi ce dernier groupe figure Veyah Ould Mayouf, l’ancien sénateur de Rosso Ehbib Ould Ely, le bâtonnier de l’ordre des avocats Me Ahmed Ould Youssouf, l’ancien secrétaire fédérale du PRDS en Inchiri Kenhe Ould Haimdoune, l’ancien Ministre Levdhal Ould Abdelwedoud, l’ancien Ministre Baham Ould Mohamed Laghdhaf, l’ancien administrateur El Arbi Ould Kerkoub, Mohamed Mahmoud Ould Deih, Ebi Ould Doussou, l’ancien secretaire genéral du MEN Moctar Ould Hmeida, l’avocat Mohamed Elmamy Ould Ahmed Salem, Mohamed Ould Kerballi, Diabira Maroufa, Izidbih Ould Bebana, Moctar Ould Salek… et d’autres.
Au cours de cette réunion un ordre de jour a été présenté aux participants, comportant les point à débattre, notamment l’ouverture d’un dialogue national auquel devraient prendre part des représentants de toute la classe politique, en vue de trouver une issue pour la crise que traverse le pays actuellement. Par ailleurs les participant ont mentionné que le programme électoral du président de la République est resté lettre morte, en dehors du retour des réfugiés et de la loi incriminant l’esclavage qui seraient, selon eux, en faveur de certains « acteurs fanatiques ».
Ils ont, à cette occasion, affirmé avoir élaboré des propositions pouvant sortir le pays de la crise, comprenant la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, ainsi que la mise sur pied d’une commission chargé du contrôle et du suivi de l’exécution du plan d’urgence qui supplanterait l’administration, qu’ils ont qualifié d’incapable depoursuivre la gestion de ce plan.
Sur un plan sécuritaire, le groupe a considéré que la situation que traverse le pays constitue une crise sans précédent qui requière de la part des pouvoirs publics la prise de plusieurs dispositions pratiques, notamment l’amélioration des conditions et des capacités opérationnelles des forces de l’ordre, ainsi que leur restructuration, seules conditions pouvant permettre à ces forces de pouvoir faire face à toutes les menaces intérieures et extérieures. Ils ont insisté sur le fait qu’ils considèrent que le devoir leur dicte d’adresser de tels conseils au Président de la République. D’autre, plusieurs membres de cette assemblée ont critiqué sévèrement l’action du gouvernement de Zein Ould Zeidan, en même temps que d’autres avaient considéré que ces critiques devraient être adressées à celui serait, initialement, responsable de la mise en place de ce gouvernement et qui tient encore à le maintenir, dans une allusion claire au président Sidi Cheikh Abdellahi.
Certains intervenants ont critiqué la direction, en exil, du mouvement des FLAM qualifiant ses membres de fanatiques et d’ennemis de la paix sociale.
A la fin de cette réunion, il a été décidé de créer une commission de quinze membres, jouant le rôle de la coordination de cet ensemble et qui se compose comme suit : Président Yahya Ould Menkouss, vice-président Veyah Ould Mayouf en plus des membres ; Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna, Sid’Ahmed Ould Bneijara, Dah Ould Abdeljelil, Nagi Ould Mohamed Limam, Khattar Ould Cheikh Ahmed, Diabira Maroufa, Ahmedou Ould Sidi Ould Hanenna, Ebi Ould Doussou, Levdhal Ould Abdelwedoud, Mohamed Ould Ahmed Salem, El Arbi Ould Kerkoub et Bouh Ould Moctar Ould M’Haimed.
Cette même commission a été mandatée pour l’élaboration des propositions , qu’elle devra soumettre au président Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Les résultats de la rencontre de la commission des quinze avec le président de la République feront l’objet d’une réunion, qui se tiendra à ce effet.
Source: ANI
(M)