
Il n’existe plus de dracunculose en Mauritanie, a affirmé un responsable sanitaire mauritanien à l’occasion de la tenue, lundi à Nouakchott, d’un atelier de validation du rapport national de certification de l’éradication du ver de Guinée.
Le dernier cas a été enregistré en 2004, a précisé le président de la Commission nationale d’éradication du ver de Guinée, le Dr Bâ Mamadou Lamine au journal Horizons (quotidien d’Etat) dans son édition de lundi.
Il a rappelé que l’OMS avait décidé depuis les années 90 d’éradiquer cette maladie en arrêtant son circuit de transmission, indiquant que des mesures importantes ont été prises, en particulier la purification de l’eau de boisson.
« Nous avons la chance que les pays voisins en sont indemnes, sauf le Mali où il existe quelques cas dans sa frontière avec le Niger », a souligné le Dr Bâ qui a expliqué qu’une certification par une organisation indépendante reste nécessaire afin d’avoir la preuve qu’il n’y a plus de transmission dans le pays.
Pour s’assurer de la disparition complète de la maladie, l’OMS offre une récompense à toute personne qui trouverait un cas de ver de Guinée en Mauritanie.
L’atelier en question a pour objectif d’étudier le rapport de certification qui sera validé et transmis à l’OMS qui enverra en Mauritanie, dans deux ou trois mois, une équipe internationale de certification indépendante.
Cette équipe se rendra dans toutes les régions du pays pour s’assurer qu’il n’y a pas de risque de réinfection avant de déclarer la Mauritanie pays indemne du ver de Guinée.
La dracunculose, maladie déformante et invalidante, est provoquée par le ver de Guinée résultant essentiellement de l’utilisation des eaux impropres.
Source: APA
(M)
Le dernier cas a été enregistré en 2004, a précisé le président de la Commission nationale d’éradication du ver de Guinée, le Dr Bâ Mamadou Lamine au journal Horizons (quotidien d’Etat) dans son édition de lundi.
Il a rappelé que l’OMS avait décidé depuis les années 90 d’éradiquer cette maladie en arrêtant son circuit de transmission, indiquant que des mesures importantes ont été prises, en particulier la purification de l’eau de boisson.
« Nous avons la chance que les pays voisins en sont indemnes, sauf le Mali où il existe quelques cas dans sa frontière avec le Niger », a souligné le Dr Bâ qui a expliqué qu’une certification par une organisation indépendante reste nécessaire afin d’avoir la preuve qu’il n’y a plus de transmission dans le pays.
Pour s’assurer de la disparition complète de la maladie, l’OMS offre une récompense à toute personne qui trouverait un cas de ver de Guinée en Mauritanie.
L’atelier en question a pour objectif d’étudier le rapport de certification qui sera validé et transmis à l’OMS qui enverra en Mauritanie, dans deux ou trois mois, une équipe internationale de certification indépendante.
Cette équipe se rendra dans toutes les régions du pays pour s’assurer qu’il n’y a pas de risque de réinfection avant de déclarer la Mauritanie pays indemne du ver de Guinée.
La dracunculose, maladie déformante et invalidante, est provoquée par le ver de Guinée résultant essentiellement de l’utilisation des eaux impropres.
Source: APA
(M)