
Boidiel Ould Houmeid, proche collaborateur du président renversé en Mauritanie, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, a indiqué à APA que ce dernier ne pose aucune condition pour signer le décret désignant le gouvernement d’union nationale.
Ministre secrétaire général de la présidence de la république au moment du coup d’Etat du 6 août dernier en Mauritanie, Ould Houmeid n’a pas précisé si le Président déchu pose ou non des conditions pour la signature de sa demission volontaire.
L’accord conclu le 2 juin dernier à Dakar entre les parties impliquées dans la crise issue du coup d’Etat, prévoit que le President Ould Cheikh Abdellahi signe le décret désignant le gouvernement et dépose par la suite, sa démission volontaire.
Des sources concordantes avaient auparavant indiqué que le Président renversé conditionne la signature du décret et l’annonce de sa démission par la dissolution du Haut conseil d’Etat au pouvoir et le retour au Palais présidentiel.
L’accord de Dakar porte sur la désignation d’un gouvernement d’union nationale et d’une commission électorale répartie entre les trios pôles politiques principaux de la crise.
Il s’agit en l’occurrence du camp de l’ex président du Haut conseil d’Etat, le général Mohamed Ould Abdelaziz, du Front national de défense de la démocratie (FNDD) et du Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah.
Toujours selon le même accord, l’élection présidentielle initialement fixée au 6 juin passé a été reportée au 18 juillet prochain.
Source: APA
Ministre secrétaire général de la présidence de la république au moment du coup d’Etat du 6 août dernier en Mauritanie, Ould Houmeid n’a pas précisé si le Président déchu pose ou non des conditions pour la signature de sa demission volontaire.
L’accord conclu le 2 juin dernier à Dakar entre les parties impliquées dans la crise issue du coup d’Etat, prévoit que le President Ould Cheikh Abdellahi signe le décret désignant le gouvernement et dépose par la suite, sa démission volontaire.
Des sources concordantes avaient auparavant indiqué que le Président renversé conditionne la signature du décret et l’annonce de sa démission par la dissolution du Haut conseil d’Etat au pouvoir et le retour au Palais présidentiel.
L’accord de Dakar porte sur la désignation d’un gouvernement d’union nationale et d’une commission électorale répartie entre les trios pôles politiques principaux de la crise.
Il s’agit en l’occurrence du camp de l’ex président du Haut conseil d’Etat, le général Mohamed Ould Abdelaziz, du Front national de défense de la démocratie (FNDD) et du Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah.
Toujours selon le même accord, l’élection présidentielle initialement fixée au 6 juin passé a été reportée au 18 juillet prochain.
Source: APA