
Les inondations sont de vrais indicateurs de dérèglement climatique,
un plan climat énergie pour l'Afrique de l'Ouest s'impose.
Notre planète ne fait plus de crédit, il faut agir. Les inondations qui continuent de frapper surtout notre région d’Afrique de l’Ouest constituent clairement les conséquences d’un dérèglement des facteurs qui régulent notre planète.
Les catastrophes naturelles se multiplient, les pluies diluviennes qui se sont abattues dans notre sous région ont occasionné des dégâts sans précédent à leur passage. Des milliers d’individus sont morts, d’autres déplacés de leur localités et certains dépourvus de leurs habitats, de leurs biens etc. Ces inondations continuent de causer des problèmes liés à la santé des populations par la prolifération des maladies hydriques.
Tous les pays touchés par ces inondations ont lancé un appel à la solidarité Internationale pour obtenir de l’aide face à une situation à laquelle ils sont impuissants.
La situation qui sévit dans cette région rend encore plus difficile l’exécution de certains programmes de développement, à savoir les projets de lutte contre la pauvreté comme l’ont souligné certains.
Les problèmes liés aux catastrophes naturelles sont mondiaux et doivent être traités à l’échelle internationale. Tous les pays du monde entier doivent agir sans attendre pour faire face à cette bombe à retardement, puisque c’est une conséquence immédiate des changements climatiques.
Il faut rappeler que nous ne disposons pas de planète de rechange pour sauver les générations futures des prochaines catastrophes naturelles. Et malheureusement les pays d’Afrique seront les plus touchés par les conséquences des changements climatiques, puisque les aménagements de nos territoires ne sont pas faits pour supporter d’éventuels phénomènes et nos villes ne disposent pas de protection et de vrais systèmes d’évacuation des eaux de pluies. La plupart de nos villes n’ont pas prévu dans leur plan d’urbanisme des réseaux de collectes des eaux pluviales, ce qui complique d’avantage la situation.
Vu que ce phénomène sera récurrent dans le monde entier et plus précisément dans notre sous région, les gouvernements doivent agir de concert pour définir une stratégie de lutte contre les inondations. Cette lutte doit reposer sur les principes de précaution, de prévention et de protection pour garantir aux populations les plus exposées une meilleure sécurité.
Un partenariat des pays africains s’impose pour faire face aux catastrophes naturelles. Ce partenariat doit définir des stratégies d’amélioration des capacités de prévision, de prévention et de gestion des crises liées aux catastrophes naturelles et des inondations en particulier. Des stratégies allant de la protection des communes, de l’identification des localités les plus vulnérables, mais aussi de vrais plans d’interventions rapides en cas de catastrophes naturelles, comme celle que nos pays connaissent actuellement. Puisque en l’absence d’intervention rapide pendant et après la crise peut encore aggraver la situation comme celle que connait actuellement le village de gourel sellé en Mauritanie.
BECHIR N’DIATH
France
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Sy Boubacar
un plan climat énergie pour l'Afrique de l'Ouest s'impose.
Notre planète ne fait plus de crédit, il faut agir. Les inondations qui continuent de frapper surtout notre région d’Afrique de l’Ouest constituent clairement les conséquences d’un dérèglement des facteurs qui régulent notre planète.
Les catastrophes naturelles se multiplient, les pluies diluviennes qui se sont abattues dans notre sous région ont occasionné des dégâts sans précédent à leur passage. Des milliers d’individus sont morts, d’autres déplacés de leur localités et certains dépourvus de leurs habitats, de leurs biens etc. Ces inondations continuent de causer des problèmes liés à la santé des populations par la prolifération des maladies hydriques.
Tous les pays touchés par ces inondations ont lancé un appel à la solidarité Internationale pour obtenir de l’aide face à une situation à laquelle ils sont impuissants.
La situation qui sévit dans cette région rend encore plus difficile l’exécution de certains programmes de développement, à savoir les projets de lutte contre la pauvreté comme l’ont souligné certains.
Les problèmes liés aux catastrophes naturelles sont mondiaux et doivent être traités à l’échelle internationale. Tous les pays du monde entier doivent agir sans attendre pour faire face à cette bombe à retardement, puisque c’est une conséquence immédiate des changements climatiques.
Il faut rappeler que nous ne disposons pas de planète de rechange pour sauver les générations futures des prochaines catastrophes naturelles. Et malheureusement les pays d’Afrique seront les plus touchés par les conséquences des changements climatiques, puisque les aménagements de nos territoires ne sont pas faits pour supporter d’éventuels phénomènes et nos villes ne disposent pas de protection et de vrais systèmes d’évacuation des eaux de pluies. La plupart de nos villes n’ont pas prévu dans leur plan d’urbanisme des réseaux de collectes des eaux pluviales, ce qui complique d’avantage la situation.
Vu que ce phénomène sera récurrent dans le monde entier et plus précisément dans notre sous région, les gouvernements doivent agir de concert pour définir une stratégie de lutte contre les inondations. Cette lutte doit reposer sur les principes de précaution, de prévention et de protection pour garantir aux populations les plus exposées une meilleure sécurité.
Un partenariat des pays africains s’impose pour faire face aux catastrophes naturelles. Ce partenariat doit définir des stratégies d’amélioration des capacités de prévision, de prévention et de gestion des crises liées aux catastrophes naturelles et des inondations en particulier. Des stratégies allant de la protection des communes, de l’identification des localités les plus vulnérables, mais aussi de vrais plans d’interventions rapides en cas de catastrophes naturelles, comme celle que nos pays connaissent actuellement. Puisque en l’absence d’intervention rapide pendant et après la crise peut encore aggraver la situation comme celle que connait actuellement le village de gourel sellé en Mauritanie.
BECHIR N’DIATH
France
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Sy Boubacar