Professeur Saidou KANE
Nous avons la mauvaise habitude d’oublier de célébrer les meilleurs de nos fils dont la réussite ici empêche d’aller mourir à Barça. Litanies et tambours devaient résonner du Tagant à Tagaar au Kajoor mais helas les politiciens ont confisqué la scène des éloges KANE DIALLO Diéri
J’ai entendu tard dans le soir les larmes de Rokhaya arroser la route de Tékane tu ne m’as pas dit au revoir moi qui impatientais de te revoir pour te redire ma flamme pour ton savoir prodigieux car tu savais ce que l’école n’enseigne pas tu savais lire les noms et les lieux et les chiffres à Douta Seck
je t’ai vu pour la première fois pour dire entre Silèye Ndiaye le dernier déniankobé et Omar Adama Aysse Tall la lumière des tooroobe notre passé commun autour du fleuve comme jamais sunugalien ne le disait après Cheikh Anta le fils des pharaons nos pères entre seulement et uniquement la science de l’histoire et la beauté de la parole des griots toi de haute noblesse fuutanke par ton esprit illuminé...
Et je buvais tes rappels tel l’élève que je ne cesserai d’être et tu rappelais les maîtres de terre Mbaye de nom et tu disais de Khoudia la collègue que je te présentais l’histoire des Gaye comme si tu lisais dans sa main et je voyais en toi celui qui de Sorbonne à Harvard de Tokyo à Melbourne démelait l’écheveau têtu des négations avec science et art parce que tu disais l’histoire de ta poitrine remplie par le divin secret.
Merci maître .
Un wolof de destin qui n’a jamais traversé le fleuve se souvient et écrit sur la grande page la Mauritanie a perdu un fils les nègres , une étoile.
Que brille donc la succession inévitable comme une flamme pour que des cendres ardentes des veillées de Tékane érudition ,bravoure et pékane ne s’éteignent jamais. J’ai gardé ton numéro Kane Diallo Diéri, je t’appellerai après la prière du soir.
Babacar MBAYE NDAAK, professeur
babakarndaak@yahoo.fr
04 novembre 2006
source:http://ocvidh-mauritanie.asso-web.com/
Nous avons la mauvaise habitude d’oublier de célébrer les meilleurs de nos fils dont la réussite ici empêche d’aller mourir à Barça. Litanies et tambours devaient résonner du Tagant à Tagaar au Kajoor mais helas les politiciens ont confisqué la scène des éloges KANE DIALLO Diéri
J’ai entendu tard dans le soir les larmes de Rokhaya arroser la route de Tékane tu ne m’as pas dit au revoir moi qui impatientais de te revoir pour te redire ma flamme pour ton savoir prodigieux car tu savais ce que l’école n’enseigne pas tu savais lire les noms et les lieux et les chiffres à Douta Seck
je t’ai vu pour la première fois pour dire entre Silèye Ndiaye le dernier déniankobé et Omar Adama Aysse Tall la lumière des tooroobe notre passé commun autour du fleuve comme jamais sunugalien ne le disait après Cheikh Anta le fils des pharaons nos pères entre seulement et uniquement la science de l’histoire et la beauté de la parole des griots toi de haute noblesse fuutanke par ton esprit illuminé...
Et je buvais tes rappels tel l’élève que je ne cesserai d’être et tu rappelais les maîtres de terre Mbaye de nom et tu disais de Khoudia la collègue que je te présentais l’histoire des Gaye comme si tu lisais dans sa main et je voyais en toi celui qui de Sorbonne à Harvard de Tokyo à Melbourne démelait l’écheveau têtu des négations avec science et art parce que tu disais l’histoire de ta poitrine remplie par le divin secret.
Merci maître .
Un wolof de destin qui n’a jamais traversé le fleuve se souvient et écrit sur la grande page la Mauritanie a perdu un fils les nègres , une étoile.
Que brille donc la succession inévitable comme une flamme pour que des cendres ardentes des veillées de Tékane érudition ,bravoure et pékane ne s’éteignent jamais. J’ai gardé ton numéro Kane Diallo Diéri, je t’appellerai après la prière du soir.
Babacar MBAYE NDAAK, professeur
babakarndaak@yahoo.fr
04 novembre 2006
source:http://ocvidh-mauritanie.asso-web.com/