
Accueil de M. Laghdaf par A. Joyandet cMAEE / A. Arraou)
Le premier round négociations entre Mauritanie et l'Union européenne dans le cadre du Groupe ACP la lumière de l'article 96 de l'Accord de Cotonou, s’est terminé durant les premières heures aujourd’hui à Paris. Les deux partie n’ont pu parvenir à un accord final, d’une part en raison de l'insistance les européens sur le retour de l'ancien président Sidi Mohamed Ould Sheikh Abdallahi à la présidence, d’autre part la partie mauritanienne est restée catégorique sur l’impossibilité de ce retour. Elles ont convenu que la deuxième série de négociations aura lieu dans un mois à Nouakchott.
L’ANI a pu recueillir les détails de la réunion à huis clos des deux parties.
Selon une déclaration faite à la presse par Jean Louis Michel, Commissaire européen chargé du Développement et de l’Action Humanitaire : « Les deux commissions n’ont pu aboutir à un accord. D’une part les européens tiennent au retour du président déchu Sidi Ould Cheikh Abdallahi au pouvoir, cependant que la délégation mauritanienne estime que cela est impossible ».
Au cours de cette même réunion, la délégation mauritanienne a soumis son agenda à l’UE. Un agenda qui comprend l’organisation des élections dans le plus bref délai pour permettre un retour à l’ordre constitutionnel en Mauritanie.
Pour sa part, le Premier Ministre mauritanien Moulay Ould Mohamed Laghdaf qui dirige la délégation mauritanienne, a souligné que « cela n’est qu’un début qui, comme tout commencement serait marqué par des difficultés et les obstacles et cela n’empêche pas d’être optimiste pour l’avenir ».
L’Ani a pu recueillir les détails de ce qui s’et passé au cours de la réunion à huis clos.
L’ouverture de la séance est séance est co-présidée par le secrétaire d'État à la coopération française Alain Joyandet dont le pays exerce la présidence tournante de l'Union Européenne et Cady Désiré Ouédraogo, ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles qui dirige à la délégation de ACP.
Prenant la parole au début de la réunion, le Secrétaire d'État français pour la Coopération a souhaité la bienvenue à toute la présence, avant de présenter les membres de la délégation européenne. Puis, il ajoutera nous sommes venus à la réunion conformément à l'article 96 de l'Accord de Cotonou entre l'Union européenne et les pays ACP en vue de rechercher une solution à la crise actuelle en Mauritanie, avant de dire qu’ils veulent aboutir à une solution consensuelle pour aboutir à un retour à l'ordre constitutionnel, mentionnant la volonté de l’UE de participer à la recherche d’une solution Mauritaniens de la crise actuelle.
Ensuite, le chef de la délégation ACP l’ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles, prendra la parole pour déclarer que la délégation qu’il dirige est venue à Paris accompagnée de la délégation dirigée par le Premier ministre de la République islamique de Mauritanie" pour aider la Mauritanie, avant d’ajouter qu’il considère que ce qui s'est passé était un bouleversement de l'ordre constitutionnel, mais c'est arrivé et il c’est devenu une réalité et qu’il convient de rechercher une solution consensuelle à cette crise est. "
Puis ce sera le Tour du premier Ministre mauritanien Moulay Ould Mohamed Laghdaf qui dirige la délégation de son pays participant à ces pourparlers de prendre la parole. Il a d’abord fait un exposé sur sa vision de la crise et de tous ses développements en soulignant que la responsabilité de cette crise incombe à l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallah qui a commencé par un différend entre lui et sa majorité parlementaire, et a procédé à la nomination du Premier Ministre issu d’un parti caractérisé par le clientélisme. Quand il a perdu sa majorité parlementaire, ajoute le premier ministre, il a provoqué une crise avec les chefs de l'armée.
Ould Mohamed Laghdaf poursuivra : «Vous êtes bien conscients du fait que la Mauritanie vit une crise politique, et vous êtes prêts à la recherche d'une solution avec toutes les parties et les partenaires, en particulier l'Union Européenne pour la recherche d'une solution à la crise ».
Le premier ministre parlera des états généraux de la démocratie, pour la démocratie qui, selon lui, seront ouverts à toutes les parties, aux intellectuels, aux notabilités et aux partenaires internationaux qui souhaitent aider la Mauritanie à sortir de la crise.
Le commissaire européen chargé du développement et de l'Action humanitaire Jean-Louis Michel Prendra alors la parole pour poser plusieurs questions telles que: Quand sera la libération de l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallah et le ministre Yahya Ould Ahmed Elwaghf? y a- t-il un agenda pour la période de transition et quels en sont les détails? Les Militaires seront-ils candidats aux prochaines élections présidentielles? Est-ce que les états généraux de la démocratie seront une assemblée constituante pour un pays devenu sans constitution Et quelles sont les garanties qui pourraient être avancées par le gouvernement à propos du fait que tout le monde y prendra part?
Ce sera encore le tour de Ould Mohamed Laghdhaf de reprendre la parole pour apporter les réponses aux questions du haut fonctionnaire européen. Il dira que l’ancien président est dans une situation qui serait proche de la résidence surveillé et non en prison comme certains ont tendance à le dire et il sera libéré dans les plus brefs délais, dés que les conditions sécuritaires le permettent. Il dira que l'ancien Premier Ministre Yahya Ould Ahmed Elwaghf est Placé en résidence surveillée dans sa ville natale. Concernant l’agenda de la transition, Ould Mohamed Laghdaf dira qu'ils ont tiré les leçons de ce qui s’est passé durant le coup d'Etat du 3 août 2005, quand un conseil militaire a imposé, à tort, son propre agenda. Aujourd’hui, nous voulons que le peuple mauritanien et ses représentants puissent, eux-mêmes, définir l’agenda sur lequel ils seront d’accord. Nous n’interviendrons en aucun moment pour changer quoi que ce soit et nous-nos engageons à respecter toutes les dispositions prévues par cet agenda.
Après Ould Mohamed Laghdaf, ce sera au tour du secrétaire d’Etat français à la coopération de prendre la parole pour déclarer que la réunion a fait ressortir une nette divergence de points de vue entre les États européens et mauritanien à propos de la légitimité constitutionnelle. Les premiers considèrent le renversement du président, l'arrestation et la détention du Premier ministre comme une violation de la légalité constitutionnelle, pendant que les seconds que ce qui s'est passé est un simple changement au niveau de la direction nationale. Il ajoutera que les mauritaniens estiment que les institutions démocratiques du pays continuent à fonctionner normalement. Il convient maintenant, ajoute-t-il, d’entendre toutes les parties, y compris l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, avant de souligner que les européens sont prêts à participer à la Feuille de route qui réunira l’accord de toutes les parties mauritaniennes concernées.
Le ministre français demandera au premier ministre mauritanien si, une fois en Mauritanie, lui et le commissaire européen Louis Michèle seront autorisés à rencontrer le président Ould Cheikh Abdallahi dans son lieu de détention ? Ce à quoi le premier ministre répondra par le fait que ce sera possible, ajoutant que personne ne sera empêché de le rencontrer, avant de conclure que tout le monde doit comprendre est un pays qui jouit de toute sa souveraineté et de son indépendance et qu’il reviendra, en dernier ressort aux mauritaniens de statuer sur l’avenir de leur pays, malgré leur disponibilité permanente à coopérer avec les autres.
L'ambassadeur malien à Bruxelles à Bruxelles, en même temps membre de la délégation ACP devra prendre la parole pour dire que tout le monde doit comprendre l'importance fondamentale du rôle de la Mauritanie dans la sécurité et la stabilité de la région, évoquant la guerre du Sahara occidental et les répercussions négatives qu’elle aurait sur la région. Il a également parlé des groupes armés qui opèrent Dans le Sahara, mentionnant la menace qu’ils représentent pour la sécurité dans la zone. Ila également souligné que « Le monde doit comprendre que la stabilité de la Mauritanie constitue une garantie de la sécurité des pays de l'Afrique subsaharienne , ce qui doit être pris en compte », ajoutant que lors de sa visite à Nouakchott, « un membre de la délégation des pays ACP, a tenu des réunions avec toutes les parties, et assurez-vous que tout le monde a eu une solide et ferme volonté de parvenir à une solution consensuelle à la crise ». Et le diplomate malien d’Ajouter: «Nous sommes pour une solution participative, et je pense que les Mauritaniens sont prêts à nous rejoindre, et les partenaires internationaux ne devraient pas être un obstacle pour eux ».
Puis transmettre la parole sera donnée à l'ambassadeur de Samoa à Bruxelles Touala Saloni Chon Tung, membre de la délégation ACP ayant, aupravant, présidé la délégation de son organisation en Mauritanie qui a appelé chacun à réfléchir à l'avenir, en ajoutant que le proverbe dit que « si le lait se verse, il ne peut plus revenir comme il était ». Il se posera la question « Que s'est-il passé en Mauritanie ? » Violation de la Constitution, mais la question est de rétablir l'ordre constitutionnel de manière convenue par tous les Mauritaniens.
Ensuite la parole sera donnée, pour une deuxième fois à l’ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles,chef de la délégation ACP qui dira que :«En tant que représentants de la communauté internationale, nous sommes prêts à nous rendre en Mauritanie une fois de plus afin de contribuer à la recherche d'une solution à la crise ».
Puis ce sera au tour du secrétaire d’Etat français à la coopération de reprendre la parole de nouveau à prendre la parole pour souligner que les négociations restent ouvertes et quil se rendra en Mauritanie pour écouter les autres parties, y compris l'ancien président, avant de reprendre la prochaine série de négociations.
Par ailleurs, un groupe de manifestants pour et contre le coup d’Etat a constitué un attroupement devant l’entrée du siège de la Banque Mondiale, où se tenait les négociations arborant des banderoles portant des slogans de deux camps(soutien et opposition).
L’ANI a pu recueillir les détails de la réunion à huis clos des deux parties.
Selon une déclaration faite à la presse par Jean Louis Michel, Commissaire européen chargé du Développement et de l’Action Humanitaire : « Les deux commissions n’ont pu aboutir à un accord. D’une part les européens tiennent au retour du président déchu Sidi Ould Cheikh Abdallahi au pouvoir, cependant que la délégation mauritanienne estime que cela est impossible ».
Au cours de cette même réunion, la délégation mauritanienne a soumis son agenda à l’UE. Un agenda qui comprend l’organisation des élections dans le plus bref délai pour permettre un retour à l’ordre constitutionnel en Mauritanie.
Pour sa part, le Premier Ministre mauritanien Moulay Ould Mohamed Laghdaf qui dirige la délégation mauritanienne, a souligné que « cela n’est qu’un début qui, comme tout commencement serait marqué par des difficultés et les obstacles et cela n’empêche pas d’être optimiste pour l’avenir ».
L’Ani a pu recueillir les détails de ce qui s’et passé au cours de la réunion à huis clos.
L’ouverture de la séance est séance est co-présidée par le secrétaire d'État à la coopération française Alain Joyandet dont le pays exerce la présidence tournante de l'Union Européenne et Cady Désiré Ouédraogo, ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles qui dirige à la délégation de ACP.
Prenant la parole au début de la réunion, le Secrétaire d'État français pour la Coopération a souhaité la bienvenue à toute la présence, avant de présenter les membres de la délégation européenne. Puis, il ajoutera nous sommes venus à la réunion conformément à l'article 96 de l'Accord de Cotonou entre l'Union européenne et les pays ACP en vue de rechercher une solution à la crise actuelle en Mauritanie, avant de dire qu’ils veulent aboutir à une solution consensuelle pour aboutir à un retour à l'ordre constitutionnel, mentionnant la volonté de l’UE de participer à la recherche d’une solution Mauritaniens de la crise actuelle.
Ensuite, le chef de la délégation ACP l’ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles, prendra la parole pour déclarer que la délégation qu’il dirige est venue à Paris accompagnée de la délégation dirigée par le Premier ministre de la République islamique de Mauritanie" pour aider la Mauritanie, avant d’ajouter qu’il considère que ce qui s'est passé était un bouleversement de l'ordre constitutionnel, mais c'est arrivé et il c’est devenu une réalité et qu’il convient de rechercher une solution consensuelle à cette crise est. "
Puis ce sera le Tour du premier Ministre mauritanien Moulay Ould Mohamed Laghdaf qui dirige la délégation de son pays participant à ces pourparlers de prendre la parole. Il a d’abord fait un exposé sur sa vision de la crise et de tous ses développements en soulignant que la responsabilité de cette crise incombe à l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallah qui a commencé par un différend entre lui et sa majorité parlementaire, et a procédé à la nomination du Premier Ministre issu d’un parti caractérisé par le clientélisme. Quand il a perdu sa majorité parlementaire, ajoute le premier ministre, il a provoqué une crise avec les chefs de l'armée.
Ould Mohamed Laghdaf poursuivra : «Vous êtes bien conscients du fait que la Mauritanie vit une crise politique, et vous êtes prêts à la recherche d'une solution avec toutes les parties et les partenaires, en particulier l'Union Européenne pour la recherche d'une solution à la crise ».
Le premier ministre parlera des états généraux de la démocratie, pour la démocratie qui, selon lui, seront ouverts à toutes les parties, aux intellectuels, aux notabilités et aux partenaires internationaux qui souhaitent aider la Mauritanie à sortir de la crise.
Le commissaire européen chargé du développement et de l'Action humanitaire Jean-Louis Michel Prendra alors la parole pour poser plusieurs questions telles que: Quand sera la libération de l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallah et le ministre Yahya Ould Ahmed Elwaghf? y a- t-il un agenda pour la période de transition et quels en sont les détails? Les Militaires seront-ils candidats aux prochaines élections présidentielles? Est-ce que les états généraux de la démocratie seront une assemblée constituante pour un pays devenu sans constitution Et quelles sont les garanties qui pourraient être avancées par le gouvernement à propos du fait que tout le monde y prendra part?
Ce sera encore le tour de Ould Mohamed Laghdhaf de reprendre la parole pour apporter les réponses aux questions du haut fonctionnaire européen. Il dira que l’ancien président est dans une situation qui serait proche de la résidence surveillé et non en prison comme certains ont tendance à le dire et il sera libéré dans les plus brefs délais, dés que les conditions sécuritaires le permettent. Il dira que l'ancien Premier Ministre Yahya Ould Ahmed Elwaghf est Placé en résidence surveillée dans sa ville natale. Concernant l’agenda de la transition, Ould Mohamed Laghdaf dira qu'ils ont tiré les leçons de ce qui s’est passé durant le coup d'Etat du 3 août 2005, quand un conseil militaire a imposé, à tort, son propre agenda. Aujourd’hui, nous voulons que le peuple mauritanien et ses représentants puissent, eux-mêmes, définir l’agenda sur lequel ils seront d’accord. Nous n’interviendrons en aucun moment pour changer quoi que ce soit et nous-nos engageons à respecter toutes les dispositions prévues par cet agenda.
Après Ould Mohamed Laghdaf, ce sera au tour du secrétaire d’Etat français à la coopération de prendre la parole pour déclarer que la réunion a fait ressortir une nette divergence de points de vue entre les États européens et mauritanien à propos de la légitimité constitutionnelle. Les premiers considèrent le renversement du président, l'arrestation et la détention du Premier ministre comme une violation de la légalité constitutionnelle, pendant que les seconds que ce qui s'est passé est un simple changement au niveau de la direction nationale. Il ajoutera que les mauritaniens estiment que les institutions démocratiques du pays continuent à fonctionner normalement. Il convient maintenant, ajoute-t-il, d’entendre toutes les parties, y compris l'ancien Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, avant de souligner que les européens sont prêts à participer à la Feuille de route qui réunira l’accord de toutes les parties mauritaniennes concernées.
Le ministre français demandera au premier ministre mauritanien si, une fois en Mauritanie, lui et le commissaire européen Louis Michèle seront autorisés à rencontrer le président Ould Cheikh Abdallahi dans son lieu de détention ? Ce à quoi le premier ministre répondra par le fait que ce sera possible, ajoutant que personne ne sera empêché de le rencontrer, avant de conclure que tout le monde doit comprendre est un pays qui jouit de toute sa souveraineté et de son indépendance et qu’il reviendra, en dernier ressort aux mauritaniens de statuer sur l’avenir de leur pays, malgré leur disponibilité permanente à coopérer avec les autres.
L'ambassadeur malien à Bruxelles à Bruxelles, en même temps membre de la délégation ACP devra prendre la parole pour dire que tout le monde doit comprendre l'importance fondamentale du rôle de la Mauritanie dans la sécurité et la stabilité de la région, évoquant la guerre du Sahara occidental et les répercussions négatives qu’elle aurait sur la région. Il a également parlé des groupes armés qui opèrent Dans le Sahara, mentionnant la menace qu’ils représentent pour la sécurité dans la zone. Ila également souligné que « Le monde doit comprendre que la stabilité de la Mauritanie constitue une garantie de la sécurité des pays de l'Afrique subsaharienne , ce qui doit être pris en compte », ajoutant que lors de sa visite à Nouakchott, « un membre de la délégation des pays ACP, a tenu des réunions avec toutes les parties, et assurez-vous que tout le monde a eu une solide et ferme volonté de parvenir à une solution consensuelle à la crise ». Et le diplomate malien d’Ajouter: «Nous sommes pour une solution participative, et je pense que les Mauritaniens sont prêts à nous rejoindre, et les partenaires internationaux ne devraient pas être un obstacle pour eux ».
Puis transmettre la parole sera donnée à l'ambassadeur de Samoa à Bruxelles Touala Saloni Chon Tung, membre de la délégation ACP ayant, aupravant, présidé la délégation de son organisation en Mauritanie qui a appelé chacun à réfléchir à l'avenir, en ajoutant que le proverbe dit que « si le lait se verse, il ne peut plus revenir comme il était ». Il se posera la question « Que s'est-il passé en Mauritanie ? » Violation de la Constitution, mais la question est de rétablir l'ordre constitutionnel de manière convenue par tous les Mauritaniens.
Ensuite la parole sera donnée, pour une deuxième fois à l’ambassadeur du Burkina Faso à Bruxelles,chef de la délégation ACP qui dira que :«En tant que représentants de la communauté internationale, nous sommes prêts à nous rendre en Mauritanie une fois de plus afin de contribuer à la recherche d'une solution à la crise ».
Puis ce sera au tour du secrétaire d’Etat français à la coopération de reprendre la parole de nouveau à prendre la parole pour souligner que les négociations restent ouvertes et quil se rendra en Mauritanie pour écouter les autres parties, y compris l'ancien président, avant de reprendre la prochaine série de négociations.
Par ailleurs, un groupe de manifestants pour et contre le coup d’Etat a constitué un attroupement devant l’entrée du siège de la Banque Mondiale, où se tenait les négociations arborant des banderoles portant des slogans de deux camps(soutien et opposition).