À trois semaines de la Tabaski, la Voie de Dégagement Nord à Dakar se transforme en bergerie. De belles bêtes, entretenues et engraissées durant toute l’année, sont proposées à des prix qui risquent de s’envoler à la veille de la fête du sacrifice.
Amdy Moustapha Samb, éleveur, ne laisse rien au hasard. Pour lui, tout commence le lendemain même de la Tabaski. «Chaque année, dès que la fête est passée, j’achète des moutons que je nourris, vaccine et élève pendant toute l’année pour les proposer l’année suivante. Je mise sur différentes races, notamment les Ladoum, pour répondre aux attentes des clients et permettre à chaque famille d’acquérir un bélier selon ses moyens», explique-t-il, entouré de ses bêtes majestueuses.
Demba Faye, lui aussi éleveur et vendeur, applique une stratégie similaire. Conscient de l’ampleur de la demande, il élève ses moutons tout en s’approvisionnant dans d’autres marchés lorsque le besoin s’en fait sentir. «Il faut savoir anticiper pour ne pas être pris de court à l’approche de la fête», précise-t-il, tout en surveillant son troupeau.
Même si les moutons proposés par Amdy et Demba ont belle allure, les prix restent abordables pour ceux qui souhaitent un bon bélier pour la Tabaski. «Ici, les prix varient entre 250.000 et 650.000 FCFA», affirme Amdy.
Si certains clients cherchent avant tout un animal imposant, d’autres privilégient le rapport qualité-prix. «L’essentiel est de satisfaire les attentes des acheteurs en fonction de leur budget», ajoute Demba Faye, optimiste quant à l’écoulement de son cheptel.
Pour ces vendeurs, la préparation de la Tabaski est un véritable travail de longue haleine, où l’anticipation joue un rôle crucial. L’élevage, l’entretien des bêtes et la planification des achats sont des étapes essentielles pour garantir un bon approvisionnement à l’approche de la fête.
Ainsi, sur la VDN, l’animation est déjà au rendez-vous. Les passants, attirés par les moutons imposants et bien entretenus, s’arrêtent pour discuter avec les vendeurs ou simplement admirer les animaux. L’ambiance est festive, les négociations s’ouvrent et chacun espère trouver son bélier idéal avant la flambée des prix de dernière minute.
Moustapha Cissé (Dakar, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)
Amdy Moustapha Samb, éleveur, ne laisse rien au hasard. Pour lui, tout commence le lendemain même de la Tabaski. «Chaque année, dès que la fête est passée, j’achète des moutons que je nourris, vaccine et élève pendant toute l’année pour les proposer l’année suivante. Je mise sur différentes races, notamment les Ladoum, pour répondre aux attentes des clients et permettre à chaque famille d’acquérir un bélier selon ses moyens», explique-t-il, entouré de ses bêtes majestueuses.
Demba Faye, lui aussi éleveur et vendeur, applique une stratégie similaire. Conscient de l’ampleur de la demande, il élève ses moutons tout en s’approvisionnant dans d’autres marchés lorsque le besoin s’en fait sentir. «Il faut savoir anticiper pour ne pas être pris de court à l’approche de la fête», précise-t-il, tout en surveillant son troupeau.
Même si les moutons proposés par Amdy et Demba ont belle allure, les prix restent abordables pour ceux qui souhaitent un bon bélier pour la Tabaski. «Ici, les prix varient entre 250.000 et 650.000 FCFA», affirme Amdy.
Si certains clients cherchent avant tout un animal imposant, d’autres privilégient le rapport qualité-prix. «L’essentiel est de satisfaire les attentes des acheteurs en fonction de leur budget», ajoute Demba Faye, optimiste quant à l’écoulement de son cheptel.
Pour ces vendeurs, la préparation de la Tabaski est un véritable travail de longue haleine, où l’anticipation joue un rôle crucial. L’élevage, l’entretien des bêtes et la planification des achats sont des étapes essentielles pour garantir un bon approvisionnement à l’approche de la fête.
Ainsi, sur la VDN, l’animation est déjà au rendez-vous. Les passants, attirés par les moutons imposants et bien entretenus, s’arrêtent pour discuter avec les vendeurs ou simplement admirer les animaux. L’ambiance est festive, les négociations s’ouvrent et chacun espère trouver son bélier idéal avant la flambée des prix de dernière minute.
Moustapha Cissé (Dakar, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)