
L’irruption d’une bande de canailles, de généraux dans le corps malade de notre démocratie n’est rien d’autre que l’inoculation de substances caryolytiques en chacun d’entre nous, d’autan que nous en formons les cellules vivantes.
En claire, la bande, le quarteron de parvenus est putatif, notre devoir de citoyens responsables en ces circonstances est de les combattre, jusqu’à ce que la rigueur justement de nos lois leurs rappelle l’issue qui mène, pelles, pioches aux mains et chaines aux pieds au fond d’un bagne au profit de travaux d’utilités publics, en supplément d’une prise de conscience.
Quelque soit le choix de la voie, en vue de légitimer l’exercice d’une parcelle du pouvoir du peuple par le sieur Mohamed ould Abdel Aziz, en lieux et places du chef de l’état de la République Islamique de Mauritanie, Monsieur Sidi Ould Cheikh Abdallah, entre autre chef suprême des armées, il s’agit de faux et usage de faux. Contrairement à l’affirmation péremptoire du chef de bande, l’institution qui depuis toujours est souillée jusqu’à l’os, est l’armée. L’acte qu’ils viennent de poser illustre trop bien cette triste réalité.
Pour peu que le chérif du basep se souvienne que l’uniforme dans laquelle se drape son corps, comme les épaulettes dont les étoiles dorées lui montent jusqu’à la tête sont les biens du peuple ; eh-bien il aura compris s’être mis à dos tout le monde et que le tout milite contre lui et sa clique, au même titre que ses amis du moment.
Disons au général des cabarets lugubres des fosses communes hélas encore charriant du magnât humain dans le désert que absolument rien ne pourra le soustraire de notre justice comme de celle ayant prééminence sur cette dernière. L’amoncellement immonde d’innocentes victimes parmi nous devait donner à une grande frange de nos politiques une haute idée du droit humain, et pour tout dire du droit, il se trouve que l’usurpation de la fonction et du lieu de l’exercice du président de la république et des fonctions du chef d’état major de l’armée, de la gendarmerie et de la garde est une mise à l’épreuve, qui nous commande de ne point transiger.
Ils doivent répondre de leurs responsabilités autrement l’idée du passif humanitaire et de l’esclavage relèveraient tout simplement de gesticulations dont l’usage par certains se limiterait à l’orée de la conviction; un moyen malhonnête pour accéder à un mieux être scintillant .Les accolades qui condamnent à avoir des accointances avec la pègre militaire doivent être abandonnées, car le combat politique se veut loyal à moins que l’on ne veuille faire siens les actes de la junte. Il est impératif d’expurger à l’instant la bande de canailles, de généraux, pour les renvoyer au trou jusqu’à l’oubli.
Maïkor Niokor DIOUF
___________
(M) avomm
En claire, la bande, le quarteron de parvenus est putatif, notre devoir de citoyens responsables en ces circonstances est de les combattre, jusqu’à ce que la rigueur justement de nos lois leurs rappelle l’issue qui mène, pelles, pioches aux mains et chaines aux pieds au fond d’un bagne au profit de travaux d’utilités publics, en supplément d’une prise de conscience.
Quelque soit le choix de la voie, en vue de légitimer l’exercice d’une parcelle du pouvoir du peuple par le sieur Mohamed ould Abdel Aziz, en lieux et places du chef de l’état de la République Islamique de Mauritanie, Monsieur Sidi Ould Cheikh Abdallah, entre autre chef suprême des armées, il s’agit de faux et usage de faux. Contrairement à l’affirmation péremptoire du chef de bande, l’institution qui depuis toujours est souillée jusqu’à l’os, est l’armée. L’acte qu’ils viennent de poser illustre trop bien cette triste réalité.
Pour peu que le chérif du basep se souvienne que l’uniforme dans laquelle se drape son corps, comme les épaulettes dont les étoiles dorées lui montent jusqu’à la tête sont les biens du peuple ; eh-bien il aura compris s’être mis à dos tout le monde et que le tout milite contre lui et sa clique, au même titre que ses amis du moment.
Disons au général des cabarets lugubres des fosses communes hélas encore charriant du magnât humain dans le désert que absolument rien ne pourra le soustraire de notre justice comme de celle ayant prééminence sur cette dernière. L’amoncellement immonde d’innocentes victimes parmi nous devait donner à une grande frange de nos politiques une haute idée du droit humain, et pour tout dire du droit, il se trouve que l’usurpation de la fonction et du lieu de l’exercice du président de la république et des fonctions du chef d’état major de l’armée, de la gendarmerie et de la garde est une mise à l’épreuve, qui nous commande de ne point transiger.
Ils doivent répondre de leurs responsabilités autrement l’idée du passif humanitaire et de l’esclavage relèveraient tout simplement de gesticulations dont l’usage par certains se limiterait à l’orée de la conviction; un moyen malhonnête pour accéder à un mieux être scintillant .Les accolades qui condamnent à avoir des accointances avec la pègre militaire doivent être abandonnées, car le combat politique se veut loyal à moins que l’on ne veuille faire siens les actes de la junte. Il est impératif d’expurger à l’instant la bande de canailles, de généraux, pour les renvoyer au trou jusqu’à l’oubli.
Maïkor Niokor DIOUF
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(M) avomm