
Le réseau africain des journalistes environnementaux (RAJE) organise au palais des congrès, durant les journées du 24 et 25 février une conférence sous le thème « l’Afrique face aux enjeux de l’environnement ».
Cette conférence dont le coup d’envoi a été donné par le premier ministre Zein Ould Zeidane, est marquée par la présence de centaines de journalistes venus d’Afrique australe, de l’océan indien et de l’Afrique du nord.
Prenant la parole à cette occasion, le président du réseau des journalistes environnementaux, M ; Sid’Elmoctar Ould Cheiguer a dressé un tableau sombre de la situation environnementale dans le monde, il dira « l’on se rappelle encore des Tsunami et de l’anticyclone Caterina. Il y a d’autres Tsunami et d’autres Caterina plus dangereux en Afrique ; il s’agit de la désertification et de la dégradation du milieu naturel qui ne cessent de gagner du terrain. Notre objectif principal est de convaincre les décideurs afin qu’il prennent les mesures nécessaires pour empêcher la dégradation de l’écosystème ».O:uld CHeiguer poursuivra en tirant la sonnette d’alarme pour le danger imminent qui guette le continent, il précise : « dans 50 ans, si des disposition urgentes ne sont pas engaagées, les conséquences de la dégradation de l’écosystème seront irréversibles ».
Dans la journée, plusieurs communications seront présentées par des personnalités du monde environnemental sur des thèmes se rapportant à l’environnement et le rôle que doit jouer le journaliste dans la sensibilisation des décideurs et des populations sur l’importance des questions relevant de l’environnement.
Source: ANI
(M)
Cette conférence dont le coup d’envoi a été donné par le premier ministre Zein Ould Zeidane, est marquée par la présence de centaines de journalistes venus d’Afrique australe, de l’océan indien et de l’Afrique du nord.
Prenant la parole à cette occasion, le président du réseau des journalistes environnementaux, M ; Sid’Elmoctar Ould Cheiguer a dressé un tableau sombre de la situation environnementale dans le monde, il dira « l’on se rappelle encore des Tsunami et de l’anticyclone Caterina. Il y a d’autres Tsunami et d’autres Caterina plus dangereux en Afrique ; il s’agit de la désertification et de la dégradation du milieu naturel qui ne cessent de gagner du terrain. Notre objectif principal est de convaincre les décideurs afin qu’il prennent les mesures nécessaires pour empêcher la dégradation de l’écosystème ».O:uld CHeiguer poursuivra en tirant la sonnette d’alarme pour le danger imminent qui guette le continent, il précise : « dans 50 ans, si des disposition urgentes ne sont pas engaagées, les conséquences de la dégradation de l’écosystème seront irréversibles ».
Dans la journée, plusieurs communications seront présentées par des personnalités du monde environnemental sur des thèmes se rapportant à l’environnement et le rôle que doit jouer le journaliste dans la sensibilisation des décideurs et des populations sur l’importance des questions relevant de l’environnement.
Source: ANI
(M)