
Dans la journées d’Hier, des organisation de droits humains dont l’Association des Femmes Chefs de Familles(AFCF) et SOS esclaves, ont rendu visite aux familles de Sidi Ould Cheikh Abdellahi et de ses codétenus pour s’enquérir de leur situation.
Selon Aminettou Mint Elmoctar présidente de L’AFCF, cette visite a permis de relever des détails concernant l’état de santé fragile de certains détenus, notamment Sid Ould Cheikh Abdellahi, Ahmed Ould Sidi Baba, ancien président du Conseil National Economique et Social et Moussa Fall ancien directeur de l’Agence d’insertion des rapatriés, qui vivaient sous régime alimentaire particulier.
Les familles de ces deux derniers détenus ont affirmé que les deux hommes, diabétiques, sont privés de nourritures et soins conformes aux prescriptions médicales qu’ils suivaient auparavant.
La famille de Ould Ahmed Elwaghv affirmé n’avoir, jusqu’à présent, obtenu aucune information sur lui depuis son arrestation le lundi passé.
Par ailleurs, la Présidente de l’AFCF a déclaré à l’ANI que : « En tant que organisation de lutte pour les droits humains, nous demandons à ce que ces détenus soient libérés dans les plus brefs délais et nous mettons les militaires devant leurs responsabilités , quant aux risques graves que pourraient encourir ces personnes malades ».
Selon Aminettou Mint Elmoctar présidente de L’AFCF, cette visite a permis de relever des détails concernant l’état de santé fragile de certains détenus, notamment Sid Ould Cheikh Abdellahi, Ahmed Ould Sidi Baba, ancien président du Conseil National Economique et Social et Moussa Fall ancien directeur de l’Agence d’insertion des rapatriés, qui vivaient sous régime alimentaire particulier.
Les familles de ces deux derniers détenus ont affirmé que les deux hommes, diabétiques, sont privés de nourritures et soins conformes aux prescriptions médicales qu’ils suivaient auparavant.
La famille de Ould Ahmed Elwaghv affirmé n’avoir, jusqu’à présent, obtenu aucune information sur lui depuis son arrestation le lundi passé.
Par ailleurs, la Présidente de l’AFCF a déclaré à l’ANI que : « En tant que organisation de lutte pour les droits humains, nous demandons à ce que ces détenus soient libérés dans les plus brefs délais et nous mettons les militaires devant leurs responsabilités , quant aux risques graves que pourraient encourir ces personnes malades ».