Le rapport sur le trafic d’être humains, présenté mardi par Hillary Clinton, est le 9ème que le gouvernement américain publie depuis 2000 et le premier depuis l’arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche.
L’édition 2009 du rapport du Département d’Etat est plus sévère que celle de l’an dernier, puisque 52 pays sont montrés du doigt par Washington, au lieu de 40 seulement l’an passé.
"Mettre un terme au marché mondial d’être humains est une priorité pour les Etats-Unis", déclare Madame Clinton, la ministre américaine des Affaires étrangères.
Si le trafic d’être humains est jugé désormais préoccupant par les Etats-Unis en Angola et au Sénégal, il est considéré si inquiétant dans sept autres pays africains qu’il amène le ministère américain des Affaires étrangères à placer ces pays sur sa liste noire.
Les pays africains qui figurent depuis mardi sur la liste noire des pays qui pratiquent le plus l’esclavage, le travail forcé, la prostitution forcée et d’autres formes de trafic d’êtres humains sont la Mauritanie, le Niger, le Tchad, le Zimbabwe, l’Erythème et le Swaziland.
Jusqu’a présent, un seul pays africain figurait sur la liste noire du Département d’Etat, à savoir le Soudan, aux côtés de pays qui sont des alliés des Etats-Unis comme l’Arabie Saoudite et le Koweït et de pays qui ont depuis longtemps des relations hostiles avec les Etats-Unis, notamment, l’Iran, la Corée du Nord, la Birmanie et Cuba.
Les pays qui sont inscrits sur la liste noire du Département d’Etat sur deux années consécutives risquent des sanctions américaines, en particulier la suppression de l’aide humanitaire, la suppression de certaines aides commerciales et l’opposition des Etats-Unis à la délivrance de prêts par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.
Selon le Département d’Etat, la hausse du chômage qui accompagne la crise économique et financière mondiale pourrait provoquer une augmentation du trafic d’êtres humains à travers le monde.
Cependant, le Département d’Etat estime que la situation s’est suffisamment améliorée, au regard du trafic d’êtres humains, en Algérie, au Qatar, au sultanat d’Oman et en Moldavie pour retirer ces quatre pays de la liste noire.
Source: bbc.co.uk
L’édition 2009 du rapport du Département d’Etat est plus sévère que celle de l’an dernier, puisque 52 pays sont montrés du doigt par Washington, au lieu de 40 seulement l’an passé.
"Mettre un terme au marché mondial d’être humains est une priorité pour les Etats-Unis", déclare Madame Clinton, la ministre américaine des Affaires étrangères.
Si le trafic d’être humains est jugé désormais préoccupant par les Etats-Unis en Angola et au Sénégal, il est considéré si inquiétant dans sept autres pays africains qu’il amène le ministère américain des Affaires étrangères à placer ces pays sur sa liste noire.
Les pays africains qui figurent depuis mardi sur la liste noire des pays qui pratiquent le plus l’esclavage, le travail forcé, la prostitution forcée et d’autres formes de trafic d’êtres humains sont la Mauritanie, le Niger, le Tchad, le Zimbabwe, l’Erythème et le Swaziland.
Jusqu’a présent, un seul pays africain figurait sur la liste noire du Département d’Etat, à savoir le Soudan, aux côtés de pays qui sont des alliés des Etats-Unis comme l’Arabie Saoudite et le Koweït et de pays qui ont depuis longtemps des relations hostiles avec les Etats-Unis, notamment, l’Iran, la Corée du Nord, la Birmanie et Cuba.
Les pays qui sont inscrits sur la liste noire du Département d’Etat sur deux années consécutives risquent des sanctions américaines, en particulier la suppression de l’aide humanitaire, la suppression de certaines aides commerciales et l’opposition des Etats-Unis à la délivrance de prêts par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.
Selon le Département d’Etat, la hausse du chômage qui accompagne la crise économique et financière mondiale pourrait provoquer une augmentation du trafic d’êtres humains à travers le monde.
Cependant, le Département d’Etat estime que la situation s’est suffisamment améliorée, au regard du trafic d’êtres humains, en Algérie, au Qatar, au sultanat d’Oman et en Moldavie pour retirer ces quatre pays de la liste noire.
Source: bbc.co.uk