
Les victimes des événements de 89/91, réunies dans la coalition «Les marginalisés», ont marché, aujourd'hui à Nouakchott, de « Mauritanie couleur » jusqu’à l’Assemblée nationale, dénonçant l’indifférence, le mépris, l’arbitraire, l’injustice...» à leur encontre.
Ils ont également déploré, dans une lettre remise aux députés (de l’opposition), «la misère dans laquelle vit, selon eux, une partie des mauritaniens, dont le seul tort a été «en 89, d’être noirs ou d’appartenir à une opinion opposée au régime».
Les contestataires sont remontés après avoir «entrepris, en vain, de multiples démarches auprès du ministère de la Fonction publique », a en charge de leur dossier, et après avoir « déposé plusieurs correspondances à la Présidence de la République, des demandes d’audiences, des lettres ouvertes et organisé des sit-in devant les gris du palais. Tout, dans le but de trouver des solutions consensuelles dans le droit et la justice.»
Les victimes déplorent aussi que leur dossier, «déposé depuis plus d’un mois auprès de madame la ministre de la Fonction publique, pour le transmettre au comité interministériel, demeure toujours bloqué sans qu’on ne sache les raisons».
Par ailleurs, ils estiment que « les agents (victimes) relevant des établissements publics, parapublics et privés, qui ne sont pas concernés par les résultats du recensement du 03 au 14 janvier 2010, devront bénéficier des mêmes dispositions attribuées aux fonctionnaires de la Fonction publique auprès de leur institution d’origine.»
Source: alakhbar
Ils ont également déploré, dans une lettre remise aux députés (de l’opposition), «la misère dans laquelle vit, selon eux, une partie des mauritaniens, dont le seul tort a été «en 89, d’être noirs ou d’appartenir à une opinion opposée au régime».
Les contestataires sont remontés après avoir «entrepris, en vain, de multiples démarches auprès du ministère de la Fonction publique », a en charge de leur dossier, et après avoir « déposé plusieurs correspondances à la Présidence de la République, des demandes d’audiences, des lettres ouvertes et organisé des sit-in devant les gris du palais. Tout, dans le but de trouver des solutions consensuelles dans le droit et la justice.»
Les victimes déplorent aussi que leur dossier, «déposé depuis plus d’un mois auprès de madame la ministre de la Fonction publique, pour le transmettre au comité interministériel, demeure toujours bloqué sans qu’on ne sache les raisons».
Par ailleurs, ils estiment que « les agents (victimes) relevant des établissements publics, parapublics et privés, qui ne sont pas concernés par les résultats du recensement du 03 au 14 janvier 2010, devront bénéficier des mêmes dispositions attribuées aux fonctionnaires de la Fonction publique auprès de leur institution d’origine.»
Source: alakhbar