
Les négociateurs libyens, et à leur tête Monsieur Ravi Madani, continuent à finaliser le document décrivant le cadre dans lequel les négociations de sortie de crise devront se dérouler. Ce document devrait être signé par les parties prenantes à la crise demain, mercredi. Il ne s'agit nullement de "la proposition libyenne" comme aiment à se le répéter certains média. Il s'agit de définir le cadre et les conditions de la négociation.
Après une première navette où le document proposé par les libyens était sous une forme manuscrite, les parties prenantes et notamment les représentants du Front National pour la Défense de la Démocratie ont demandé à ce qu'une forme plus définitive leur soit proposée. C'est cette mouture qui circule maintenant entre les différentes parties.
Nombre de points sont consignés dans ce document. On site que le cadre de la négociation est la Constitution Mauritanienne, les résolutions de l'Union Africaine et les recommandations du Groupe International de Contact. Pour ce qui est des conditions, la première est la création d'une atmosphère de confiance en procédant à quelques gestes de bonne volonté tels la libération des prisonniers d'opinion, l'arrêt des menaces et des diffamations, l'ouverture de l'accès aux media et le rétablissement des libertés fondamentales (association, manifestation...). Une deuxième condition est l'arrêt ou la suspension de la campagne présidentielle que le Général limogé a entamée.
Le document devrait aussi préciser que les parties prenantes acceptent la médiation du Président de l'Union Africaine et entérinent les recommandations du Groupe de Contact.
Source:For-Mauritania
Après une première navette où le document proposé par les libyens était sous une forme manuscrite, les parties prenantes et notamment les représentants du Front National pour la Défense de la Démocratie ont demandé à ce qu'une forme plus définitive leur soit proposée. C'est cette mouture qui circule maintenant entre les différentes parties.
Nombre de points sont consignés dans ce document. On site que le cadre de la négociation est la Constitution Mauritanienne, les résolutions de l'Union Africaine et les recommandations du Groupe International de Contact. Pour ce qui est des conditions, la première est la création d'une atmosphère de confiance en procédant à quelques gestes de bonne volonté tels la libération des prisonniers d'opinion, l'arrêt des menaces et des diffamations, l'ouverture de l'accès aux media et le rétablissement des libertés fondamentales (association, manifestation...). Une deuxième condition est l'arrêt ou la suspension de la campagne présidentielle que le Général limogé a entamée.
Le document devrait aussi préciser que les parties prenantes acceptent la médiation du Président de l'Union Africaine et entérinent les recommandations du Groupe de Contact.
Source:For-Mauritania