
Les peurs sont donc tout à fait légitimes.
Un état qui ne défend pas la justice et la vérité ne peut pas mériter la confiance de son peuple.
Aziz pour que le peuple te fasse confiance il faudrait lui donner des gages à ce qu’il puisse te faire confiance.
Le jeunes ne sont pas dupes et ont montré le chemin de l’honneur et de la dignité
Dans un entretien réalisé par Oumar Amadou M’baye, Mr. Mohamed Saïd Ould Hamody, ambassadeur retraité et ex-président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme Mauritanienne (Cndh) disait et je cite :
"Le président de la république, a présenté des excuses à Kaédi, pendant la prière d’avril 2009, je pense qu’il l’a fait au nom de l’Etat. Reconnaissons que l’Etat est comme une mère, personne ne peut se fâcher contre sa mère…"
Une mère laisse t’elle tuer ses propres enfants en ayant la possibilité de les protéger?
Une mère laisse t’elle pendre ses enfants un jour aussi symbolique que son jour national symbole de cohésion et d’unité de ses fils sans aucune protestation de sa part ?
Une fois l’horreur accomplis reste-t-elle muette cette mère là ?
Cette mère quand elle a les plein pouvoirs et qu’elle a repris ses esprits, se garde t’elle d'enquêter sur les mobiles et les auteurs des meurtres gratuits de ses propres fils ?
Quel bizarre de mère cette mère là ?
Les orphelins et les veuves écoutent, lisent et observent.
La communauté des victimes écoute, lit et observe.
Il ne s'agit point de désir de revanche. Il s'agit de soif de justice.
Une mère qui aime ses enfants va t’elle les priver de ce breuvage salutaire ?
Une mère qui se comporte de la sorte n'est elle pas cher oncle suspecte ?
N’a-t-elle pas quelque chose à se reprocher ?
Et dire que tout ceci a duré des années, dure encore sous l’œil bien veillant de cette mère là.
Et dire que ces atrocités n’ont touché qu’un pan de la fratrie.
Quelle bizarre de mère cette mère là ?
Ne nous est-il pas légitime de nous demander si devant cette mère nous appartenons à la même fratrie ?
Les jeunes ne sont pas dupes et sont au courant de tout ce qui s’est passé.
Leur a-t-on laissé d’autre choix que de montrer le chemin de l’honneur et de la dignité en bravant la soldatesque de cette mère qui ne les a jamais défendus
AZIZ pour que le peuple te fasse confiance il faudrait bien que tu aies le courage de s’attaquer aux véritables maux du pays qui prennent leurs sources dans les crimes non jugés, non élucidés, impunis. Aziz ces crimes sont pires que les crimes économiques.
Aurais-tu le courage de t’attaquer aux vrais maux de ce pays ?
Si tu n’as pas participé à ces atrocités dont les souvenirs gangrènent le pays pourquoi alors ne traques tu pas les auteurs comme tu semble bien le faire pour les terroristes ?
Ne sont-ils pas aux yeux de leurs victimes, aussi terroriste que le mot ?
Aziz ces maux hante notre mémoire et tant que l’impunité et l’absence de vérité sur ces atrocités régnera nos mémoires seront hantés.
Es tu otage du système que les sans scrupules ont conçu ?
Aziz que protèges-tu ?
Qui protèges-tu ? Le système ou les victimes du système ?
ALAHOU YAGHLAM.
Djibril BA
Source: Djibril BA
Un état qui ne défend pas la justice et la vérité ne peut pas mériter la confiance de son peuple.
Aziz pour que le peuple te fasse confiance il faudrait lui donner des gages à ce qu’il puisse te faire confiance.
Le jeunes ne sont pas dupes et ont montré le chemin de l’honneur et de la dignité
Dans un entretien réalisé par Oumar Amadou M’baye, Mr. Mohamed Saïd Ould Hamody, ambassadeur retraité et ex-président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme Mauritanienne (Cndh) disait et je cite :
"Le président de la république, a présenté des excuses à Kaédi, pendant la prière d’avril 2009, je pense qu’il l’a fait au nom de l’Etat. Reconnaissons que l’Etat est comme une mère, personne ne peut se fâcher contre sa mère…"
Une mère laisse t’elle tuer ses propres enfants en ayant la possibilité de les protéger?
Une mère laisse t’elle pendre ses enfants un jour aussi symbolique que son jour national symbole de cohésion et d’unité de ses fils sans aucune protestation de sa part ?
Une fois l’horreur accomplis reste-t-elle muette cette mère là ?
Cette mère quand elle a les plein pouvoirs et qu’elle a repris ses esprits, se garde t’elle d'enquêter sur les mobiles et les auteurs des meurtres gratuits de ses propres fils ?
Quel bizarre de mère cette mère là ?
Les orphelins et les veuves écoutent, lisent et observent.
La communauté des victimes écoute, lit et observe.
Il ne s'agit point de désir de revanche. Il s'agit de soif de justice.
Une mère qui aime ses enfants va t’elle les priver de ce breuvage salutaire ?
Une mère qui se comporte de la sorte n'est elle pas cher oncle suspecte ?
N’a-t-elle pas quelque chose à se reprocher ?
Et dire que tout ceci a duré des années, dure encore sous l’œil bien veillant de cette mère là.
Et dire que ces atrocités n’ont touché qu’un pan de la fratrie.
Quelle bizarre de mère cette mère là ?
Ne nous est-il pas légitime de nous demander si devant cette mère nous appartenons à la même fratrie ?
Les jeunes ne sont pas dupes et sont au courant de tout ce qui s’est passé.
Leur a-t-on laissé d’autre choix que de montrer le chemin de l’honneur et de la dignité en bravant la soldatesque de cette mère qui ne les a jamais défendus
AZIZ pour que le peuple te fasse confiance il faudrait bien que tu aies le courage de s’attaquer aux véritables maux du pays qui prennent leurs sources dans les crimes non jugés, non élucidés, impunis. Aziz ces crimes sont pires que les crimes économiques.
Aurais-tu le courage de t’attaquer aux vrais maux de ce pays ?
Si tu n’as pas participé à ces atrocités dont les souvenirs gangrènent le pays pourquoi alors ne traques tu pas les auteurs comme tu semble bien le faire pour les terroristes ?
Ne sont-ils pas aux yeux de leurs victimes, aussi terroriste que le mot ?
Aziz ces maux hante notre mémoire et tant que l’impunité et l’absence de vérité sur ces atrocités régnera nos mémoires seront hantés.
Es tu otage du système que les sans scrupules ont conçu ?
Aziz que protèges-tu ?
Qui protèges-tu ? Le système ou les victimes du système ?
ALAHOU YAGHLAM.
Djibril BA
Source: Djibril BA