
Le peuple mauritanien doit exiger la restauration immédiate d’un Etat de droit et s’opposer à l’usurpation du pouvoir par la junte, pour éviter de faire sombrer la Mauritanie dans un cycle infernal d’incertitudes. C’est le Sos lancé par le comité de solidarité avec les victimes de violation des droits humains.
Le peuple mauritanien doit continuer de s’opposer à l’usurpation du pouvoir par la junte et exiger la restauration immédiate de l’ordre constitutionnel. Faute de quoi, La Mauritanie va sombrer dans un cycle infernal d’incertitudes, sur fond de pratiques arbitraires et injustes.
C’est le Sos qui a été lancé par les organisations de la société civile. Celles-ci font remarquer que les questions d’intérêt national, comme la protection des Droits de l’homme ou l’égal accès des citoyens aux postes de responsabilité, sont toujours esquivées.
Selon la présidente du comité de solidarité avec les victimes des violations des droits humains, Lala Aïcha Sy, toutes les composantes de la nation, et notamment dans ses franges sociales, doivent faire leur introspection et opérer un sursaut patriotique afin de sauver le pays du chaos.
A en croire cette militante déterminée des droits humains, le combat contre les dérives arbitraires, l’injustice et l’exclusion peut certes être de longue haleine, mais le peuple doit se mobiliser davantage pour se ‘prémunir d’un avenir très incertain’. Selon elle, il n’y a pas d’autre voie possible pour faire échec aux lourdes menaces qui pèsent sur les espaces de liberté aujourd’hui confisqués par le pouvoir, issu du putsch du 6 août 2008.
Mme Lala Aïcha en veut pour preuve la répression aveugle des manifestations anti-putschistes et l’interdiction des nombreuses actions de protestation contre le régime d’exception, instauré par le Haut conseil d’Etat. Selon elle, si le coup d’Etat peut avoir quelque chose de positif, c’est bien l’apparition d’une élite politique consciente et prête à défendre les valeurs démocratiques de la Mauritanie.
Néanmoins, elle estime qu’il faut encore travailler pour canaliser au mieux toutes les sensibilités à la base. Ces sensibilités sont opposées à l’arbitraire et à l’injustice. Ce à quoi, dit-elle, le Front national de la défense pour la démocratie (Fndd), dont elle est membre, s’active depuis quelques mois.
Abou KANE
source : Walfadjri
Le peuple mauritanien doit continuer de s’opposer à l’usurpation du pouvoir par la junte et exiger la restauration immédiate de l’ordre constitutionnel. Faute de quoi, La Mauritanie va sombrer dans un cycle infernal d’incertitudes, sur fond de pratiques arbitraires et injustes.
C’est le Sos qui a été lancé par les organisations de la société civile. Celles-ci font remarquer que les questions d’intérêt national, comme la protection des Droits de l’homme ou l’égal accès des citoyens aux postes de responsabilité, sont toujours esquivées.
Selon la présidente du comité de solidarité avec les victimes des violations des droits humains, Lala Aïcha Sy, toutes les composantes de la nation, et notamment dans ses franges sociales, doivent faire leur introspection et opérer un sursaut patriotique afin de sauver le pays du chaos.
A en croire cette militante déterminée des droits humains, le combat contre les dérives arbitraires, l’injustice et l’exclusion peut certes être de longue haleine, mais le peuple doit se mobiliser davantage pour se ‘prémunir d’un avenir très incertain’. Selon elle, il n’y a pas d’autre voie possible pour faire échec aux lourdes menaces qui pèsent sur les espaces de liberté aujourd’hui confisqués par le pouvoir, issu du putsch du 6 août 2008.
Mme Lala Aïcha en veut pour preuve la répression aveugle des manifestations anti-putschistes et l’interdiction des nombreuses actions de protestation contre le régime d’exception, instauré par le Haut conseil d’Etat. Selon elle, si le coup d’Etat peut avoir quelque chose de positif, c’est bien l’apparition d’une élite politique consciente et prête à défendre les valeurs démocratiques de la Mauritanie.
Néanmoins, elle estime qu’il faut encore travailler pour canaliser au mieux toutes les sensibilités à la base. Ces sensibilités sont opposées à l’arbitraire et à l’injustice. Ce à quoi, dit-elle, le Front national de la défense pour la démocratie (Fndd), dont elle est membre, s’active depuis quelques mois.
Abou KANE
source : Walfadjri