Près de 700 personnes environ ont répondu à l’appel du FNDD et du CFD pour dire ensemble « NON au General NON a ceux qui refusent la liberté, l’égalité ». C’est aux environs de 17 heures qu’un important rassemblement a drainé une foule bigarrée à l’ancienne maison des jeunes de Nouakchott. Sur les banderoles on pouvait lire des slogans adressés aux nouvelles autorités du pays que le FNDD et le CFD rendent responsable de la crise actuelle.
Les forces du changement réclamant un retour a l’ordre constitutionnel ont une fois de plus réitéré leur position portant sur le rétablissement du président déchu dans ses fonctions, seul préalable pour une solution de sortie de crise. Les discours prononcés par les différents responsables du front et du CFD ont insisté sur l’impérieuse nécessité de trouver rapidement une voie de salut.
L’obstacle disent-ils, demeure le refus de tout dialogue de la part de la junte dirigé par le Général Mohamed Ould Abdel Aziz. Ils ont appelé tous les mauritaniens sincères de refuser de cautionner la mascarade que veut lui imposer la junte.
L'un des intervenants a déclaré que « nul mauritanien ne doit accepté l’humiliation » et a invité chaque patriote a préservé sa dignité. Ce mot d’ordre a obtenu en toute vraisemblance l’adhésion d’un public en effervescence répondant à chaque fois par des salves d’applaudissements.
Le slogan qui revenait avec insistance sur les banderoles est « un combat plus fort, le Général dehors ». Les intervenants n’ont pas manqués aussi de revenir sur la visite que le Général a effectué à l’université de Nouakchott. Ils ont rappelé le mauvais accueil dont il a fait l’objet de la part des étudiants en colère, ce qui selon eux confirme le refus d’accepter le fait accompli.
Parmi les participants on notait la présence de plusieurs responsables politiques dont d’anciens ministres, de représentants de la société civile. L’ancien ministre Isselmou Ould Abdel Kader qui vient de retrouver sa liberté a été ovationné suite à sa courte intervention déplorant les conditions injustes dans lesquelles se trouvent les autres incarcérés appartenant au camp anti-putsch.
Ce meeting prouve si besoin est, la détermination des forces opposées au coup d’Etat du 6 aout d’aller jusqu’au bout de leur combat.
Houléye Kane
cridem
Les forces du changement réclamant un retour a l’ordre constitutionnel ont une fois de plus réitéré leur position portant sur le rétablissement du président déchu dans ses fonctions, seul préalable pour une solution de sortie de crise. Les discours prononcés par les différents responsables du front et du CFD ont insisté sur l’impérieuse nécessité de trouver rapidement une voie de salut.
L’obstacle disent-ils, demeure le refus de tout dialogue de la part de la junte dirigé par le Général Mohamed Ould Abdel Aziz. Ils ont appelé tous les mauritaniens sincères de refuser de cautionner la mascarade que veut lui imposer la junte.
L'un des intervenants a déclaré que « nul mauritanien ne doit accepté l’humiliation » et a invité chaque patriote a préservé sa dignité. Ce mot d’ordre a obtenu en toute vraisemblance l’adhésion d’un public en effervescence répondant à chaque fois par des salves d’applaudissements.
Le slogan qui revenait avec insistance sur les banderoles est « un combat plus fort, le Général dehors ». Les intervenants n’ont pas manqués aussi de revenir sur la visite que le Général a effectué à l’université de Nouakchott. Ils ont rappelé le mauvais accueil dont il a fait l’objet de la part des étudiants en colère, ce qui selon eux confirme le refus d’accepter le fait accompli.
Parmi les participants on notait la présence de plusieurs responsables politiques dont d’anciens ministres, de représentants de la société civile. L’ancien ministre Isselmou Ould Abdel Kader qui vient de retrouver sa liberté a été ovationné suite à sa courte intervention déplorant les conditions injustes dans lesquelles se trouvent les autres incarcérés appartenant au camp anti-putsch.
Ce meeting prouve si besoin est, la détermination des forces opposées au coup d’Etat du 6 aout d’aller jusqu’au bout de leur combat.
Houléye Kane
cridem