
Désormais, les asiatiques, notamment les chinois ne seraient pas les seuls consommateurs de la viande des équins dans notre monde. Ce produit qui est non seulement interdit par notre sainte religion, mais aussi très répugné par le commun des mortels.
Selon des informations récentes, un abattoir pour les ânes a été découvert par un élément de la garde à Arafat au moment où il faisait une inspection des occupations illégales (gazra).
L’enquête n’a pas encore livré tous ses secrets, mais tout porte à penser que la cupidité des gains et la cherté de la vie ont poussé des sans scrupules à commercialiser cette viande en la proposant à des consommateurs sans moyens et sans attention.
Mais, la viande et les os des équins se confondraient-ils jusque là avec ceux des caprins, ovins et camelin ? Où bien les téméraires bouchers mélangeaient leur produit avec d’autres non prohibés de même nature pour dissimiler leur vile commerce.
Le journal officiel Chaab qui est le premier a rapporté ces faits de sources proches des gardes, fait savoir que la première découverte de l’abattoir des ânes remonte au mercredi 3 juin courant quand M. Mohamedou Ould Moichine a croisé par hasard dans un lieu inhabité l’assommoir des équins.
En attendant que les choses s’éclaircissent peu, il est fort probable que les clients qui se procuraient une telle viande soient attrapés par des crises de vomissements et de maux de ventre.
Cette répugnante découverte ne peut être que cette partie émergée de l’iceberg qui trompe à la fois la vigilance des autorités et des citoyens sur les nombreuses dérives sociales et économiques qui frappent la capitale
source : Alakhbar via cridem
Selon des informations récentes, un abattoir pour les ânes a été découvert par un élément de la garde à Arafat au moment où il faisait une inspection des occupations illégales (gazra).
L’enquête n’a pas encore livré tous ses secrets, mais tout porte à penser que la cupidité des gains et la cherté de la vie ont poussé des sans scrupules à commercialiser cette viande en la proposant à des consommateurs sans moyens et sans attention.
Mais, la viande et les os des équins se confondraient-ils jusque là avec ceux des caprins, ovins et camelin ? Où bien les téméraires bouchers mélangeaient leur produit avec d’autres non prohibés de même nature pour dissimiler leur vile commerce.
Le journal officiel Chaab qui est le premier a rapporté ces faits de sources proches des gardes, fait savoir que la première découverte de l’abattoir des ânes remonte au mercredi 3 juin courant quand M. Mohamedou Ould Moichine a croisé par hasard dans un lieu inhabité l’assommoir des équins.
En attendant que les choses s’éclaircissent peu, il est fort probable que les clients qui se procuraient une telle viande soient attrapés par des crises de vomissements et de maux de ventre.
Cette répugnante découverte ne peut être que cette partie émergée de l’iceberg qui trompe à la fois la vigilance des autorités et des citoyens sur les nombreuses dérives sociales et économiques qui frappent la capitale
source : Alakhbar via cridem