
La première promotion de l’école nationale d’état major de Nouakchott, composée de 16 éléments de l’armée, de la gendarmerie et de la garde nationale, est sortie jeudi après douze mois de formation.
Au cours de la cérémonie, le ministre mauritanien de la défense nationale, M. Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine a souligné l’intérêt qu’il y a d’intégrer dans les programmes de l’école le "maintien de la paix".
Ceci en raison des perspectives de la participation des forces armées mauritaniennes à l’effort international de préservation de la paix et de la sécurité au niveau mondial avec la capacité et les compétences requises.
Pour sa part, le colonel Mohamed Lemine Ould Mohamed, directeur de l’école a souligné que la sortie de cette promotion constitue "une expérience réussie à tous points de vue en dépit des difficultés diverses et de la modestie des moyens".
Créée en 2007 par le CMJD, l’école nationale d’état major permettra de répondre au besoin pressant de formation d’officiers supérieurs mauritaniens sur le cours d’Etat major sur le sol national.
Après la suspension de la coopération militaire avec la France en 1997 par le régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, suite à l’arrestation du capitaine Ely Ould Dah en formation en France, la création de cette école avait été jugée primordiale par les dirigeants militaire.
Ely Ould Dah avait été accusé de torture par des anciens militaires négro-mauritaniens vivant en France.
Outre l’école national d’état major, la Mauritanie possède une école inter-armes de formation des élèves officier à Atar (nord) et une pour la formation des sous-officiers à Néma à l’extrême sud-est.
Trois colonels, anciens membres du CMJD, ont été promus généraux ces six derniers mois par le président Sidi Mohamed Ould CheiKh Abdallahi.
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Source: APA
(M) avomm
Au cours de la cérémonie, le ministre mauritanien de la défense nationale, M. Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine a souligné l’intérêt qu’il y a d’intégrer dans les programmes de l’école le "maintien de la paix".
Ceci en raison des perspectives de la participation des forces armées mauritaniennes à l’effort international de préservation de la paix et de la sécurité au niveau mondial avec la capacité et les compétences requises.
Pour sa part, le colonel Mohamed Lemine Ould Mohamed, directeur de l’école a souligné que la sortie de cette promotion constitue "une expérience réussie à tous points de vue en dépit des difficultés diverses et de la modestie des moyens".
Créée en 2007 par le CMJD, l’école nationale d’état major permettra de répondre au besoin pressant de formation d’officiers supérieurs mauritaniens sur le cours d’Etat major sur le sol national.
Après la suspension de la coopération militaire avec la France en 1997 par le régime de Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, suite à l’arrestation du capitaine Ely Ould Dah en formation en France, la création de cette école avait été jugée primordiale par les dirigeants militaire.
Ely Ould Dah avait été accusé de torture par des anciens militaires négro-mauritaniens vivant en France.
Outre l’école national d’état major, la Mauritanie possède une école inter-armes de formation des élèves officier à Atar (nord) et une pour la formation des sous-officiers à Néma à l’extrême sud-est.
Trois colonels, anciens membres du CMJD, ont été promus généraux ces six derniers mois par le président Sidi Mohamed Ould CheiKh Abdallahi.
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Source: APA
(M) avomm