
La Mauritanie a obtenu auprès de ses partenaires au développement, des investissements de l’ordre de 104 millions de dollars, environ 26 milliards 133 millions d’ouguiya (253 ouguiyas égal un dollar américain) pour réaliser des projets de développement des secteurs vitaux, a appris APA, mardi de source officielle.
L’annonce a été faite mardi à Nouakchott par le directeur des financements et de l’évaluation au ministère des affaires économiques et du développement, M. El Hacen Ould Boukhreiss, cité par l’agence mauritanienne d’information AMI (officiel), qui précise que ses financements ont été obtenus suivant une approche fondée sur ‘’le dialogue constructif soutenu par une vision claire et une étude approfondie’’.
Il a ajouté que parmi ces projets figurent l’aménagement de la zone est irriguée du Lac R’Kiz, le financement complémentaire du projet de centrale électrique de Nouakchott, un autre du projet de financement complémentaire de la route Atar - Tidjikdja, du projet de financement du programme de lutte contre la pauvreté dans le milieu rural et des projets d’assistance technique et d’appui institutionnel au secteur des transports ainsi que du financement complémentaire de la faculté des sciences et techniques de Nouakchott.
Ces projets couvrent des secteurs vitaux, tels l’énergie, la santé, l’enseignement et le développement rural, indique M. Ould Boukhreiss.
Au sujet des organismes donateurs, Ould Boukhreiss a relevé que la contribution du Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) consacré au financement complémentaire du projet d’extension de la centrale électrique de Nouakchott se chiffre à 9 milliards 158 millions d’ouguiya et vise à combler le déficit en énergie.
Le financement du FADES vise aussi à renforcer la capacité de la centrale à travers l’acquisition de nouveaux groupes électrogènes d’une capacité globale de 36 mégawatts.
Il a, aussi, noté que le fonds international de développement agricole a financé le projet de programme de lutte contre la pauvreté dans le monde rural en appuyant les filières agricoles en Mauritanie pour près de 3 milliards 360 millions d’ouguiya.
Le fonds saoudien de développement a octroyé à la Mauritanie un crédit portant sur le financement complémentaire de la route Atar - Tidjikja sur un tronçon de 340 kilomètres d’un montant de 5 milliards 216 millions d’ouguiya.
L’aménagement de la zone irriguée est du lac R’Kiz (Trarza), au sud, vise l’amélioration des revenus des agriculteurs et l’augmentation de leur production rizicole sur financement de la Banque Islamique de Développement (BID) dans le cadre de deux conventions de crédit dont la première est de 580 millions d’UM et la seconde de 2 milliards 924 millions d’UM.
L’Association Internationale pour le développement (IDA) a présenté un crédit à la Mauritanie d’un milliard 120 millions d’UM pour le financement du projet d’assistance technique et d’appui institutionnel au secteur des transports au profit des sous secteurs des transports terrestre, aérien et maritime mauritanien.
A travers ces financements, les autorités de Nouakchott entendent convaincre l’opinion publique de la reprise de la coopération internationale, suspendue au lendemain du putsch de 2008 contre le président élu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi après 15 mois de son investiture
source : Agence de Presse Africaine
via cridem
L’annonce a été faite mardi à Nouakchott par le directeur des financements et de l’évaluation au ministère des affaires économiques et du développement, M. El Hacen Ould Boukhreiss, cité par l’agence mauritanienne d’information AMI (officiel), qui précise que ses financements ont été obtenus suivant une approche fondée sur ‘’le dialogue constructif soutenu par une vision claire et une étude approfondie’’.
Il a ajouté que parmi ces projets figurent l’aménagement de la zone est irriguée du Lac R’Kiz, le financement complémentaire du projet de centrale électrique de Nouakchott, un autre du projet de financement complémentaire de la route Atar - Tidjikdja, du projet de financement du programme de lutte contre la pauvreté dans le milieu rural et des projets d’assistance technique et d’appui institutionnel au secteur des transports ainsi que du financement complémentaire de la faculté des sciences et techniques de Nouakchott.
Ces projets couvrent des secteurs vitaux, tels l’énergie, la santé, l’enseignement et le développement rural, indique M. Ould Boukhreiss.
Au sujet des organismes donateurs, Ould Boukhreiss a relevé que la contribution du Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES) consacré au financement complémentaire du projet d’extension de la centrale électrique de Nouakchott se chiffre à 9 milliards 158 millions d’ouguiya et vise à combler le déficit en énergie.
Le financement du FADES vise aussi à renforcer la capacité de la centrale à travers l’acquisition de nouveaux groupes électrogènes d’une capacité globale de 36 mégawatts.
Il a, aussi, noté que le fonds international de développement agricole a financé le projet de programme de lutte contre la pauvreté dans le monde rural en appuyant les filières agricoles en Mauritanie pour près de 3 milliards 360 millions d’ouguiya.
Le fonds saoudien de développement a octroyé à la Mauritanie un crédit portant sur le financement complémentaire de la route Atar - Tidjikja sur un tronçon de 340 kilomètres d’un montant de 5 milliards 216 millions d’ouguiya.
L’aménagement de la zone irriguée est du lac R’Kiz (Trarza), au sud, vise l’amélioration des revenus des agriculteurs et l’augmentation de leur production rizicole sur financement de la Banque Islamique de Développement (BID) dans le cadre de deux conventions de crédit dont la première est de 580 millions d’UM et la seconde de 2 milliards 924 millions d’UM.
L’Association Internationale pour le développement (IDA) a présenté un crédit à la Mauritanie d’un milliard 120 millions d’UM pour le financement du projet d’assistance technique et d’appui institutionnel au secteur des transports au profit des sous secteurs des transports terrestre, aérien et maritime mauritanien.
A travers ces financements, les autorités de Nouakchott entendent convaincre l’opinion publique de la reprise de la coopération internationale, suspendue au lendemain du putsch de 2008 contre le président élu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi après 15 mois de son investiture
source : Agence de Presse Africaine
via cridem