Depuis quelques temps, notre parti est traversé par un débat interne sur sa position au sujet du coup d’Etat du 06 août dernier. Le moins qu’on puisse dire c’est que cela a permis une large expression des opinions les plus diverses. L’incompréhension suscitée chez certains militants par notre position de neutralité justifiait d’avoir ce débat.
En revanche, cela ne justifiait nullement que des militants du parti, de surcroît membres d’instances importantes, se soient crus en droit de fustiger notre position sur la place publique, surtout lorsqu’on sait que celle-ci est légitimée par un vote majoritaire. Nous pensons que nul ne doit pouvoir se soustraire à la nécessaire solidarité de groupe qui sous-tend par définition la logique même d’un parti politique. Dans cette ambiance un peu particulière, il n’est pas de trop de rappeler que la consolidation de notre jeune parti, et par-dessus tout son unité, constituent pour nous une préoccupation majeure. Le triste spectacle offert par certains camarades, s’attaquant au meilleur instrument de conquête politique que l’histoire ait mis à la disposition de notre idéal d’unité et de réconciliation nationales, n’est pas de nature à renforcer l’efficience de notre lutte.
Le temps est venu de prendre la mesure des enjeux et d’observer par conséquent une certaine discipline. Dans cette perspective, et au nom de la section France de l’AJD/MR, j’en appelle au sens des responsabilités de tous les militants du parti en France comme partout ailleurs, pour observer la discipline la plus rigoureuse vis-à-vis de notre formation, derrière le président Ibrahima Moctar SARR.
Les attaques personnelles contre le président du parti, et les allusions malencontreuses sur la sphère privée de sa vie, sont pour le moins inacceptables. Nous ne pouvons en permanence patauger dans une sorte d’esthétique de la contestation du chef. En revanche, nous gagnerions à apprendre une éthique de la solidarité partisane.
Par ma voix, la section AJD/MR réitère son attachement à l’unité du parti et son soutien sans faille au président Ibrahima Moctar SARR. Nous lui témoignons de notre entière confiance et appelons les camarades à s’extraire des querelles de clochers qui ne font que fragiliser notre formation.
Bocar Oumar BA
Président de la section AJD/MR France.
En revanche, cela ne justifiait nullement que des militants du parti, de surcroît membres d’instances importantes, se soient crus en droit de fustiger notre position sur la place publique, surtout lorsqu’on sait que celle-ci est légitimée par un vote majoritaire. Nous pensons que nul ne doit pouvoir se soustraire à la nécessaire solidarité de groupe qui sous-tend par définition la logique même d’un parti politique. Dans cette ambiance un peu particulière, il n’est pas de trop de rappeler que la consolidation de notre jeune parti, et par-dessus tout son unité, constituent pour nous une préoccupation majeure. Le triste spectacle offert par certains camarades, s’attaquant au meilleur instrument de conquête politique que l’histoire ait mis à la disposition de notre idéal d’unité et de réconciliation nationales, n’est pas de nature à renforcer l’efficience de notre lutte.
Le temps est venu de prendre la mesure des enjeux et d’observer par conséquent une certaine discipline. Dans cette perspective, et au nom de la section France de l’AJD/MR, j’en appelle au sens des responsabilités de tous les militants du parti en France comme partout ailleurs, pour observer la discipline la plus rigoureuse vis-à-vis de notre formation, derrière le président Ibrahima Moctar SARR.
Les attaques personnelles contre le président du parti, et les allusions malencontreuses sur la sphère privée de sa vie, sont pour le moins inacceptables. Nous ne pouvons en permanence patauger dans une sorte d’esthétique de la contestation du chef. En revanche, nous gagnerions à apprendre une éthique de la solidarité partisane.
Par ma voix, la section AJD/MR réitère son attachement à l’unité du parti et son soutien sans faille au président Ibrahima Moctar SARR. Nous lui témoignons de notre entière confiance et appelons les camarades à s’extraire des querelles de clochers qui ne font que fragiliser notre formation.
Bocar Oumar BA
Président de la section AJD/MR France.