
Décidément, il n'est pas bon être américain et vouloir circuler en Mauritanie par les temps qui courent. Le célèbre journaliste américain du New-York times, Monsieur Nicholas Schmidle, en a fait l'amère expérience aujourd'hui. De retour de Lemden, où il interviewait le Président de la République, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le journaliste fut arrêté une première fois et interrogé à Alèg pendant deux heures avant d'être relâché. Mais, sur la route du retour vers Nouakchott, il fut, de nouveau, arrêté à Boutilimitt où il est toujours interrogé.
Lors de la première arrestation, en début d'après midi, le journaliste, qui était en compagnie du correspondant de la Voix de l'Amérique, Monsieur Sidya Ould Sidya et du fils du Président, Monsieur Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, fut intercepté par une unité de la Gendarmerie au niveau d"Aghchorguitt puis conduit à Alèg. Il sera relâché après avoir accepté les excuses du chef de poste qui lui expliqua que, depuis que des occidentaux furent assassinés dans la région, la gendarmerie a reçu l'ordre de les arrêter systématiquement...pour les mettre à l'abri!
A 100 Km plus loin, en direction de Nouakchott, le poste de police est en train d'appliquer la même consigne. On ne sait combien de temps il faudra pour expliquer au journaliste américain que c'est pour sa sécurité que la police mauritanienne le met aux arrêts. Le souci est qu'avant d'arriver à Nouakchott, il y a, au moins cinq ou six autres points de contrôle...
For Mauritania
Lors de la première arrestation, en début d'après midi, le journaliste, qui était en compagnie du correspondant de la Voix de l'Amérique, Monsieur Sidya Ould Sidya et du fils du Président, Monsieur Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, fut intercepté par une unité de la Gendarmerie au niveau d"Aghchorguitt puis conduit à Alèg. Il sera relâché après avoir accepté les excuses du chef de poste qui lui expliqua que, depuis que des occidentaux furent assassinés dans la région, la gendarmerie a reçu l'ordre de les arrêter systématiquement...pour les mettre à l'abri!
A 100 Km plus loin, en direction de Nouakchott, le poste de police est en train d'appliquer la même consigne. On ne sait combien de temps il faudra pour expliquer au journaliste américain que c'est pour sa sécurité que la police mauritanienne le met aux arrêts. Le souci est qu'avant d'arriver à Nouakchott, il y a, au moins cinq ou six autres points de contrôle...
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