
Le ministère des affaires sociales, de l'enfance et de la famille a organisé dimanche à Nouakchott un atelier sur les obstacles et les perspectives de l'application du code du statut personnel.
Cette rencontre, à laquelle prennent part les responsables concernés par les affaires sociales dans tous les départements de l'Etat (magistrats, médecins, avocats et auxiliaires de l'administration) ainsi que la société civile, a pour objet de sensibiliser les participants sur le rôle de la direction de la famille dans la réconciliation sociale et la coordination entre les différents acteurs gouvernementaux et de la société civile en matière de règlements de différends familiaux et d'application des dispositions du code du statut personnel.
Le Dr. Mohamed Ould Ely Telmoudy, secrétaire général du ministère des affaires sociales de l'enfance et de la famille a, dans un mot pour la circonstance, indiqué que "l'Etat a oeuvré pour mettre en place un arsenal juridique qui garantit la protection de la société et accompagne son mouvement dont notamment le code du statut personnel et la loi sur l'assistance judiciaire en plus de nombreuses stratégies, politiques et plans de développement propres à assurer l'harmonie et la cohésion sociales".
Il a relevé à cet égard que le cadre stratégique de lutte contre la pauvreté et ce qu'il comporte d'accent mis sur la protection de la famille et la garantie de sa prospérité ainsi que les stratégies nationales d'institutionnalisation du genre visent la protection des franges de la société les plus exposées à la précarité.
Le secrétaire général a, en outre, noté que tout effort humain restera à cet égard insuffisant tant qu'il n'aura pas fait l'objet de suivi et d'évaluation et tant qu'on n’aura pas comblé les lacunes et transcendé les obstacles qui se dressent de temps à autre sur sa voie.
Et de faire remarquer l'apparition d'obstacles et de problèmes de coordination après près d'une décennie d'application du code du statut personnel.
Dr. Ould Ely Telmoudy a, enfin, ajouté que les recommandations des participants feront l'objet d'attention de la part du département des affaires sociales, de l'enfance et de la famille afin de favoriser une meilleure application du code et partant, réaliser les aspirations des différents acteurs en particulier les organisations de la société civile qui jouent un rôle pivot en raison de leur lutte pour ces droits et de leur riche expérience sur le terrain.
Pour sa part, M. Mohamed Lemine Ould El Moujtaba, représentant du Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) dans notre pays a précisé que cet atelier s'inscrit au coeur des préoccupations des pouvoirs publics visant à réviser et appliquer le code du statut personnel qui a été adopté en 2000 soulignant la coopération entre le secteur des affaires sociales et le FNUAP.
La cérémonie d'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la justice, M. Mohamedou Ould Tijani.
Source: AMI
Cette rencontre, à laquelle prennent part les responsables concernés par les affaires sociales dans tous les départements de l'Etat (magistrats, médecins, avocats et auxiliaires de l'administration) ainsi que la société civile, a pour objet de sensibiliser les participants sur le rôle de la direction de la famille dans la réconciliation sociale et la coordination entre les différents acteurs gouvernementaux et de la société civile en matière de règlements de différends familiaux et d'application des dispositions du code du statut personnel.
Le Dr. Mohamed Ould Ely Telmoudy, secrétaire général du ministère des affaires sociales de l'enfance et de la famille a, dans un mot pour la circonstance, indiqué que "l'Etat a oeuvré pour mettre en place un arsenal juridique qui garantit la protection de la société et accompagne son mouvement dont notamment le code du statut personnel et la loi sur l'assistance judiciaire en plus de nombreuses stratégies, politiques et plans de développement propres à assurer l'harmonie et la cohésion sociales".
Il a relevé à cet égard que le cadre stratégique de lutte contre la pauvreté et ce qu'il comporte d'accent mis sur la protection de la famille et la garantie de sa prospérité ainsi que les stratégies nationales d'institutionnalisation du genre visent la protection des franges de la société les plus exposées à la précarité.
Le secrétaire général a, en outre, noté que tout effort humain restera à cet égard insuffisant tant qu'il n'aura pas fait l'objet de suivi et d'évaluation et tant qu'on n’aura pas comblé les lacunes et transcendé les obstacles qui se dressent de temps à autre sur sa voie.
Et de faire remarquer l'apparition d'obstacles et de problèmes de coordination après près d'une décennie d'application du code du statut personnel.
Dr. Ould Ely Telmoudy a, enfin, ajouté que les recommandations des participants feront l'objet d'attention de la part du département des affaires sociales, de l'enfance et de la famille afin de favoriser une meilleure application du code et partant, réaliser les aspirations des différents acteurs en particulier les organisations de la société civile qui jouent un rôle pivot en raison de leur lutte pour ces droits et de leur riche expérience sur le terrain.
Pour sa part, M. Mohamed Lemine Ould El Moujtaba, représentant du Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) dans notre pays a précisé que cet atelier s'inscrit au coeur des préoccupations des pouvoirs publics visant à réviser et appliquer le code du statut personnel qui a été adopté en 2000 soulignant la coopération entre le secteur des affaires sociales et le FNUAP.
La cérémonie d'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la justice, M. Mohamedou Ould Tijani.
Source: AMI