L’artisan incontestable du consensus politique mauritanien, en l’occurrence, le président démocratiquement élu, contraint par le devoir de bonne conscience, à décider volontairement sa démission, pour éviter au pays de s’embraser, doit briguer de nouveau le suffrage des électeurs, à la présidentielle du 18 juillet prochain.
"Le candidat qui rassure" Sidioca ne doit pas hésiter, car, tous les mauritaniens conviennent aujourd’hui, que bien, que chef d’Etat légitime depuis son investiture en mars 2007, il n’a jamais eu les coudées franches pour mener à bon escient les grandes orientations du projet de société pour lequel, il avait été élu, et reconnu localement et à l’étranger de président démocratiquement élu.
Ceci est d’autant plus vrai, si l’on sait, que cette fois, Sidioca ne se présentera pas comme un candidat indépendant ou importé, qui ne connaît aux réalités du pays.
Il sera plus accusé d’homme à la solde des militaires ou de quelque groupe politique que ce soit. Cette fois, il sera entouré et soutenu par les seules troupes et militants qui lui restés constamment fidèles.
Sidioca ne jouit-il pas aujourd’hui d’une grande estime à l’intérieur à l’extérieur du pays ? N’est pas l’homme le plus chéri aujourd’hui par les militants du Fndd, mais également du Rfd, car sans cette salutaire "décision salutaire" de démissionner, tout le monde sera grillé au fourneau de Ould Abdel Aziz.
Il est quasi certain que, si Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, compte se présenter aux futures élections présidentielles, Messaoud, Ould Maouloud, Ould Mansour, Ba Mamadou Alassane et les autres renonceront à leur candidature, pour venir le soutenir sans exception et l’aider à poursuivre les ambitieuses réformes qu’il n’a pas pu réaliser, avant sa destitution, à cause des nombreux blocages faits expressément par une fronde parlementaire, aux visées plutôt personnalisées.
Une fois élu, Sidioca ne sera plus l’otage de quiconque. Il nommera son ministre de la défense, son chef d’état-major particulier, son cabinet qui ne file pas les secrets Etat. Il agira selon cette même conscience nationale et patriotique, qui a caractérisé sa courageuse attitude, devant une impasse politique, dont la solution n’est pas dans la réussite du coup d’Etat, ni moins dans l’isolement international de la Mauritanie.
"Le candidat qui rassure" une fois réélu sur des bases complètement saines, loin des saffagha et mounafighines, pourra se mettre à l’œuvre grandiose de mener le pays à bon port, sans haine, ni rancune.
Sidioca est assuré du soutien des négromauritaniens dans toute leur totalité, car aucun candidat, surtout de la trempe de Ould Taya ne peut les séduire que pour se faire justice.
Sidioca saura également distinguer, ces soutiens sincères des faux, étant donné que tous ces hommes qui avaient fait la campagne électorale en avril 2007, à ses côtés, étaient pour leur majorité, des pions plantés qui, travaillaient par procuration.
Une fois élu, Sidioca saura pardonner à tous, comme il a su démissionner de son propre gré. Il ouvrira au pays les vannes du Golf et de l’Occident, notamment les aides européennes et étatsunienne.
Sidioca doit impérativement se présenter à l’élection présidentielle prochaine, car il n a rien à envier à tous les autres candidats qui ont déjà annoncé leur intention de se lancer dans la course.
Au moins cette fois, on ne dira pas qu’il est un candidat importé ou indépendant, étant donné que son séjour à Lemden et les violences terribles dont il est témoin dans le pays depuis sa destruction constitueront des leçons utiles qui lui permettront de se mettre au travail prometteur attendu par ce peuple meurtri par le cycle infernal de chefs d’Etat sans parole véritable.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
source : Mohamed Ould Mohamed Lemine
cridem
"Le candidat qui rassure" Sidioca ne doit pas hésiter, car, tous les mauritaniens conviennent aujourd’hui, que bien, que chef d’Etat légitime depuis son investiture en mars 2007, il n’a jamais eu les coudées franches pour mener à bon escient les grandes orientations du projet de société pour lequel, il avait été élu, et reconnu localement et à l’étranger de président démocratiquement élu.
Ceci est d’autant plus vrai, si l’on sait, que cette fois, Sidioca ne se présentera pas comme un candidat indépendant ou importé, qui ne connaît aux réalités du pays.
Il sera plus accusé d’homme à la solde des militaires ou de quelque groupe politique que ce soit. Cette fois, il sera entouré et soutenu par les seules troupes et militants qui lui restés constamment fidèles.
Sidioca ne jouit-il pas aujourd’hui d’une grande estime à l’intérieur à l’extérieur du pays ? N’est pas l’homme le plus chéri aujourd’hui par les militants du Fndd, mais également du Rfd, car sans cette salutaire "décision salutaire" de démissionner, tout le monde sera grillé au fourneau de Ould Abdel Aziz.
Il est quasi certain que, si Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, compte se présenter aux futures élections présidentielles, Messaoud, Ould Maouloud, Ould Mansour, Ba Mamadou Alassane et les autres renonceront à leur candidature, pour venir le soutenir sans exception et l’aider à poursuivre les ambitieuses réformes qu’il n’a pas pu réaliser, avant sa destitution, à cause des nombreux blocages faits expressément par une fronde parlementaire, aux visées plutôt personnalisées.
Une fois élu, Sidioca ne sera plus l’otage de quiconque. Il nommera son ministre de la défense, son chef d’état-major particulier, son cabinet qui ne file pas les secrets Etat. Il agira selon cette même conscience nationale et patriotique, qui a caractérisé sa courageuse attitude, devant une impasse politique, dont la solution n’est pas dans la réussite du coup d’Etat, ni moins dans l’isolement international de la Mauritanie.
"Le candidat qui rassure" une fois réélu sur des bases complètement saines, loin des saffagha et mounafighines, pourra se mettre à l’œuvre grandiose de mener le pays à bon port, sans haine, ni rancune.
Sidioca est assuré du soutien des négromauritaniens dans toute leur totalité, car aucun candidat, surtout de la trempe de Ould Taya ne peut les séduire que pour se faire justice.
Sidioca saura également distinguer, ces soutiens sincères des faux, étant donné que tous ces hommes qui avaient fait la campagne électorale en avril 2007, à ses côtés, étaient pour leur majorité, des pions plantés qui, travaillaient par procuration.
Une fois élu, Sidioca saura pardonner à tous, comme il a su démissionner de son propre gré. Il ouvrira au pays les vannes du Golf et de l’Occident, notamment les aides européennes et étatsunienne.
Sidioca doit impérativement se présenter à l’élection présidentielle prochaine, car il n a rien à envier à tous les autres candidats qui ont déjà annoncé leur intention de se lancer dans la course.
Au moins cette fois, on ne dira pas qu’il est un candidat importé ou indépendant, étant donné que son séjour à Lemden et les violences terribles dont il est témoin dans le pays depuis sa destruction constitueront des leçons utiles qui lui permettront de se mettre au travail prometteur attendu par ce peuple meurtri par le cycle infernal de chefs d’Etat sans parole véritable.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
source : Mohamed Ould Mohamed Lemine
cridem