
photo: manif du 23 avril 2011 à Paris
Le PLEJ attire l’attention du pouvoir en place sur certains problèmes, à l’occasion du 22ème anniversaire des évènements d’avril 89-90-91 et en vue d’une meilleure consolidation de l’Unité nationale.
C’est animé par le souci de voir régner dans notre pays : liberté, égalité et justice, que le parti PLEJ- comme l’indiquent ses sigles, veut rappeler sa position concernant les domaines suivants :
I/ les terres : le PLEJ insiste pour que ce soit l’Etat lui-même qui donne des moyens aux propriétaires de ces terres, pour les mettre eux-mêmes en valeur, plutôt que de faire exploiter les mêmes terres par des étrangers.
II/ Le problème global des déportés, qui fut le cheval de bataille du PLEJ, n’est toujours pas encore entièrement réglé.
Dans ce cadre :
1/ Le problèmes des déportés, au Mali reste encore entier, Ils sont toujours au Mali. Des mesures doivent être prises, pour leur retour tous, comme on l’a fait pour les déportés au Sénégal.
2/ La scolarisation des fils des déportés n’est pas encore entièrement réglée. Des mesures doivent être prises pour leur scolarisation : (obtention d’écoles et d’enseignants).
3/ Des pièces d’Etat civil doivent être remises à tous les déportés revenus dans leur pays. Certains parmi ces déportés, n’ont pas encore obtenu ces pièces d’état civil.
4/ Le PLEJ insiste pour que les déportés au Sénégal, nouveaux candidats au retour, dans leur pays d’origine puissent revenir.
5/ Il existe encore certains déportés déjà inscrits comme candidats au retour, et qui n’ont pas pu encore revenir. L’Etat doit prendre des dispositions pour faciliter leur Retour. En ce qui concerne le retour des déportés en général, la liste ne doit pas être close.
6/ Les mauritaniens déportés et revenus au pays de leur propre gré avant la chute de Mawouya, n’ont pas encore retrouvé tous leurs biens et leurs droits : (terres , bétail, emploi, pièces d’état civil, Etc…). Ces déportés doivent recouvrer tous leurs droits.
7/ Les fonctionnaires déportés et revenus au pays, doivent être réintégrés dans leurs emplois ou jouir de leurs droits à la retraite, avec la reconstitution de leur carrière.
III/ Le problème du passif humanitaire :
- Toutes les veuves n’ont pas encore bénéficié de leur indemnisation.
- Le cas des veuves des civils n’a pas encore été réglé. Il s’agit elles aussi de veuves dont le problème doit être réglé.
Cela dit : On ne peut pas parler du problème de déportés et de passif humanitaire, sans souligner ce qui suit :
Il est temps que ces déportés et ces victimes du passif humanitaire puissent prendre conscience qu’il y a des partis et des mouvements politiques ainsi que des organisations de la société civile, qui les ont aidé plus de 20 ans durant et qu’ils doivent en conséquence aider ces partis, mouvements et organisations, à pouvoir mieux les aider à leur tour.
Il est inadmissible, incompréhensible en effet que certains déportés ou victimes du passif humanitaire envoient à l’Assemblée nationale ou au Sénat ceux qui ne vont pas parler de leur cas ou qui ont déjà soutenu le pouvoir qui a été leur bourreau : C’est incompréhensible ! Il n’est que temps que ces victimes de la répression le comprennent.
Le PLEJ profite de cet anniversaire du moi d’Avril pour féliciter tous ceux qui, de près ou de loin, ont agi en faveur des victimes de ces années sombres de notre histoire.
Par le PLEJ : le 25 avril 2011 à Nouakchott.
Source: cridem.org
C’est animé par le souci de voir régner dans notre pays : liberté, égalité et justice, que le parti PLEJ- comme l’indiquent ses sigles, veut rappeler sa position concernant les domaines suivants :
I/ les terres : le PLEJ insiste pour que ce soit l’Etat lui-même qui donne des moyens aux propriétaires de ces terres, pour les mettre eux-mêmes en valeur, plutôt que de faire exploiter les mêmes terres par des étrangers.
II/ Le problème global des déportés, qui fut le cheval de bataille du PLEJ, n’est toujours pas encore entièrement réglé.
Dans ce cadre :
1/ Le problèmes des déportés, au Mali reste encore entier, Ils sont toujours au Mali. Des mesures doivent être prises, pour leur retour tous, comme on l’a fait pour les déportés au Sénégal.
2/ La scolarisation des fils des déportés n’est pas encore entièrement réglée. Des mesures doivent être prises pour leur scolarisation : (obtention d’écoles et d’enseignants).
3/ Des pièces d’Etat civil doivent être remises à tous les déportés revenus dans leur pays. Certains parmi ces déportés, n’ont pas encore obtenu ces pièces d’état civil.
4/ Le PLEJ insiste pour que les déportés au Sénégal, nouveaux candidats au retour, dans leur pays d’origine puissent revenir.
5/ Il existe encore certains déportés déjà inscrits comme candidats au retour, et qui n’ont pas pu encore revenir. L’Etat doit prendre des dispositions pour faciliter leur Retour. En ce qui concerne le retour des déportés en général, la liste ne doit pas être close.
6/ Les mauritaniens déportés et revenus au pays de leur propre gré avant la chute de Mawouya, n’ont pas encore retrouvé tous leurs biens et leurs droits : (terres , bétail, emploi, pièces d’état civil, Etc…). Ces déportés doivent recouvrer tous leurs droits.
7/ Les fonctionnaires déportés et revenus au pays, doivent être réintégrés dans leurs emplois ou jouir de leurs droits à la retraite, avec la reconstitution de leur carrière.
III/ Le problème du passif humanitaire :
- Toutes les veuves n’ont pas encore bénéficié de leur indemnisation.
- Le cas des veuves des civils n’a pas encore été réglé. Il s’agit elles aussi de veuves dont le problème doit être réglé.
Cela dit : On ne peut pas parler du problème de déportés et de passif humanitaire, sans souligner ce qui suit :
Il est temps que ces déportés et ces victimes du passif humanitaire puissent prendre conscience qu’il y a des partis et des mouvements politiques ainsi que des organisations de la société civile, qui les ont aidé plus de 20 ans durant et qu’ils doivent en conséquence aider ces partis, mouvements et organisations, à pouvoir mieux les aider à leur tour.
Il est inadmissible, incompréhensible en effet que certains déportés ou victimes du passif humanitaire envoient à l’Assemblée nationale ou au Sénat ceux qui ne vont pas parler de leur cas ou qui ont déjà soutenu le pouvoir qui a été leur bourreau : C’est incompréhensible ! Il n’est que temps que ces victimes de la répression le comprennent.
Le PLEJ profite de cet anniversaire du moi d’Avril pour féliciter tous ceux qui, de près ou de loin, ont agi en faveur des victimes de ces années sombres de notre histoire.
Par le PLEJ : le 25 avril 2011 à Nouakchott.
Source: cridem.org