
Il y a, décidément, beaucoup d’ébullition dans le pays. Les propositions de sortie de crise foisonnent. Ce qui démontre bien deux choses : la première est que pratiquement tout le monde s’accorde sur le fait que nous vivons une crise ardue, la seconde est que nous ne saurions en sortir qu’en trouvant, par nous même une porte de sortie acceptable.
Malheureusement toutes les propositions butent sur une même question ; le mutisme des autorités de fait. Il ne peut y avoir de solution sans l’acceptation claire du Général Ould Abdel Aziz, et aussi bien sûr l’assentiment du FNDD. Seulement, ce dernier a, par la voix de Messaoud Ould Boulkheir, avancé des propositions acceptables car comportant des concessions importantes.
Par contre les autorités et ceux qui disent les soutenir refusent encore toute idée véritable de compromis. Le fait que des députés proches du Général restent cramponnés à des journées de concertation, illusoires fait craindre un dangereux enlisement.
Il est tout de même une vérité que tout le monde doit s’asséner ; il n'y a pas d’avenir acceptable pour le pays si nous ne parvenons pas, d’une manière véritablement consensuelle à trouver une sortie honorable à cette crise.
Malheureusement toutes les propositions butent sur une même question ; le mutisme des autorités de fait. Il ne peut y avoir de solution sans l’acceptation claire du Général Ould Abdel Aziz, et aussi bien sûr l’assentiment du FNDD. Seulement, ce dernier a, par la voix de Messaoud Ould Boulkheir, avancé des propositions acceptables car comportant des concessions importantes.
Par contre les autorités et ceux qui disent les soutenir refusent encore toute idée véritable de compromis. Le fait que des députés proches du Général restent cramponnés à des journées de concertation, illusoires fait craindre un dangereux enlisement.
Il est tout de même une vérité que tout le monde doit s’asséner ; il n'y a pas d’avenir acceptable pour le pays si nous ne parvenons pas, d’une manière véritablement consensuelle à trouver une sortie honorable à cette crise.