
Le Sénateur Mohcen Ould Elhadj, l'un des plus zélé soutien du Général limogé.
L'Union Africaine n'a guère perdu son temps. Elle appliqué à la lettre son règlement. Juste après l'expiration des 6 mois prévus par ses lois, les décisions ont été prises. Le Président du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) explique, dans un reportage diffusé sur les ondes de rfi, que les sanctions sont prises contre la Junte militaire et ses soutiens politiques et financiers. La liste des sanctionnés, Liste Noire, est en cours d'établissement et le dossier sera transmis très vite au Conseil de Sécurité de l'ONU pour que les sanctionnés soient touchés dans les pays où leurs intérêts sont présents. Il convient de signaler que ces sanctions pourraient aussi toucher les personnalités civiles étrangères qui apportent leur soutien à la Junte. On pense notamment à certains membres des réseaux de la françafrique. Certains avocats dont le métier est d'aider à contourner la volonté des peuples africains.
Comme tout un chacun peut s'en rendre compte, ces sanctions ne visent que les personnes des putschistes, civils et militaires. Elles ne visent pas à affamer le peuple comme les Putschistes aiment à le répéter pour utiliser le peuple comme bouclier. Sauf si l'intérêt du peuple vient à coïncider avec la boulimie de voyage et la frénésie de missions à l'étranger qui s'est emparée de la Junte et de ses soutiens parlementaires.
Un article paru sur le site de Radio France International donne des détails. Pour illustrer cet article, un élément sonore présente les déclarations du Président du CPS, l'ambassadeur de l'Angola, Monsieur Manuel Domingos Augustos.
Nous vous présentons ici le script des déclarations du Président du CPS. "Cette décision sera communiqué au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour qu'elle devienne universelle parce qu'on sait que la plupart des effets de ces sanctions s'appliqueront dans des pays où les gens ont des intérêts soit privés soit même officiels. On ne ferme pas la porte aux efforts pour aboutir à une solution politique pacifique mais les sanctions seront là...On va demandé à la Commission de faire la liste des gens qui vont être affectés par les sanctions ... et après on va voir quels sont les nouveaux développements de la situation".
Source:For-Mauritania
L'Union Africaine n'a guère perdu son temps. Elle appliqué à la lettre son règlement. Juste après l'expiration des 6 mois prévus par ses lois, les décisions ont été prises. Le Président du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) explique, dans un reportage diffusé sur les ondes de rfi, que les sanctions sont prises contre la Junte militaire et ses soutiens politiques et financiers. La liste des sanctionnés, Liste Noire, est en cours d'établissement et le dossier sera transmis très vite au Conseil de Sécurité de l'ONU pour que les sanctionnés soient touchés dans les pays où leurs intérêts sont présents. Il convient de signaler que ces sanctions pourraient aussi toucher les personnalités civiles étrangères qui apportent leur soutien à la Junte. On pense notamment à certains membres des réseaux de la françafrique. Certains avocats dont le métier est d'aider à contourner la volonté des peuples africains.
Comme tout un chacun peut s'en rendre compte, ces sanctions ne visent que les personnes des putschistes, civils et militaires. Elles ne visent pas à affamer le peuple comme les Putschistes aiment à le répéter pour utiliser le peuple comme bouclier. Sauf si l'intérêt du peuple vient à coïncider avec la boulimie de voyage et la frénésie de missions à l'étranger qui s'est emparée de la Junte et de ses soutiens parlementaires.
Un article paru sur le site de Radio France International donne des détails. Pour illustrer cet article, un élément sonore présente les déclarations du Président du CPS, l'ambassadeur de l'Angola, Monsieur Manuel Domingos Augustos.
Nous vous présentons ici le script des déclarations du Président du CPS. "Cette décision sera communiqué au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour qu'elle devienne universelle parce qu'on sait que la plupart des effets de ces sanctions s'appliqueront dans des pays où les gens ont des intérêts soit privés soit même officiels. On ne ferme pas la porte aux efforts pour aboutir à une solution politique pacifique mais les sanctions seront là...On va demandé à la Commission de faire la liste des gens qui vont être affectés par les sanctions ... et après on va voir quels sont les nouveaux développements de la situation".
Source:For-Mauritania