
Selon le reporter de l’ANI, les prix des légumes et du poisson connaissent, ces derniers jours, à Nouakchott, une flambée sans précédent, allant, parfois jusqu’au quadruple du prix en période normale.
Cette hausse incontrôlée des prix concerne particulièrement les légumineuses à consommation courante, notamment les carottes, les choux pommés, les tomates, les navets, les concombres. Au marché des légumes de la capitale, dit marché « Lehmomum», une tomate de 25 grammes coûte 150 ouguiyas, cependant que le kg de choux a atteint 1400 ouguiyas, après avoir coûté, en temps normal, 150 ouguiyas seulement. Ceci est valable pour les carotte, les aubergine.
Selon les marchands de légumes interrogés par le reporter de l’ANI, cette hausse est, en grande partie, consécutive aux dernières pluies diluviennes ayant détruit les zones où se cultivaient les légumes de part et d’autre du fleuve Sénégal. Par conséquent la chaîne de distribution de ces denrées en provenance de la vallée fleuve ou du côté sénégalais a été complètement interrompue. Les importateurs ont, alors fait recours à l’exportation de légumes en provenance du Maroc ou de la péninsule ibérique. Ce qui a provoqué, indirectement, la flambée des prix actuelle.
Il faut noter que, par rapport aux autres produits alimentaires, tels que la viande, les prix sont restés stable, à l’exception du poisson qui connaît une montée en flèche. Le kg congelé de poisson de qualité moyenne atteint 1400 UM. Ce que les vendeurs expliquent par la baisse de la consommation du poisson et la mauvaise pêche.
Source: ANI
Cette hausse incontrôlée des prix concerne particulièrement les légumineuses à consommation courante, notamment les carottes, les choux pommés, les tomates, les navets, les concombres. Au marché des légumes de la capitale, dit marché « Lehmomum», une tomate de 25 grammes coûte 150 ouguiyas, cependant que le kg de choux a atteint 1400 ouguiyas, après avoir coûté, en temps normal, 150 ouguiyas seulement. Ceci est valable pour les carotte, les aubergine.
Selon les marchands de légumes interrogés par le reporter de l’ANI, cette hausse est, en grande partie, consécutive aux dernières pluies diluviennes ayant détruit les zones où se cultivaient les légumes de part et d’autre du fleuve Sénégal. Par conséquent la chaîne de distribution de ces denrées en provenance de la vallée fleuve ou du côté sénégalais a été complètement interrompue. Les importateurs ont, alors fait recours à l’exportation de légumes en provenance du Maroc ou de la péninsule ibérique. Ce qui a provoqué, indirectement, la flambée des prix actuelle.
Il faut noter que, par rapport aux autres produits alimentaires, tels que la viande, les prix sont restés stable, à l’exception du poisson qui connaît une montée en flèche. Le kg congelé de poisson de qualité moyenne atteint 1400 UM. Ce que les vendeurs expliquent par la baisse de la consommation du poisson et la mauvaise pêche.
Source: ANI